Note [12]
Virgile, Énéide, chant vi, vers 205‑206 : « Tel est le gui des bois qui a coutume de reverdir dans la froidure du solstice hivernal, sur les arbres qui ne l’ont pas semé. »
Jean ii Riolan pensait que Samuel Sorbière avait tenu la plume de Jean Pecquet pour l’épître dédicatoire de sa Nova Dissertatio (1654), adressée à Thomas Bartholin.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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