Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
seconde Responsio
au livre de Jean Pecquet (1654)
4. Seconde partie

Note [12]

Virgile, Énéide, chant vi, vers 205‑206 : « Tel est le gui des bois qui a coutume de reverdir dans la froidure du solstice hivernal, sur les arbres qui ne l’ont pas semé. »

Jean ii Riolan pensait que Samuel Sorbière avait tenu la plume de Jean Pecquet pour l’épître dédicatoire de sa Nova Dissertatio (1654), adressée à Thomas Bartholin.


Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
seconde Responsio
au livre de Jean Pecquet (1654)
4. Seconde partie, note 12.

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(Consulté le 08/12/2025)

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