Annexe : Autographe français de Jean Pecquet
sur sa propre découverte
(hiver 1651-1652)
Note [19]
Ce passage comparant les pores aqueux des reins et du foie, qui filtrent sélectivement les sels dissous dans le sang (v. note [6], Dissertatio anatomica, chapitre xii), est difficile à déchiffrer et à comprendre, sauf à prendre « refuir » dans le sens ancien de refuser (attesté par Trévoux), pour dire que, selon la configuration des sels, les pores en refoulent certains (« uns chacuns ») et en laissent passer d’autres.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale 4.0 International.