Note [26]
Horace, L’Art poétique, vers 5, à propos d’un peintre qui, dans ses portraits, aurait l’idée de mélanger les traits d’un homme à ceux d’animaux :
« À ce spectacle, pourriez-vous, mes amis, ne pas éclater de rire ? »
Cette autre saillie poétique de Jean ii Riolan ouvre sa critique sur les pages 84‑86 de la Dissertatio anatomica, chapitre xi (1654), sur les voies, en effet fantaisistes, dont Jean Pecquet supposait l’existence pour expliquer l’évacuation très rapide de certains aliments et médicaments, solides ou liquides, après leur absorption.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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