Note [4]
Dans son commentaire sur le chapitre ii des Experimenta nova anatomica, Jean ii Riolan a déjà insisté sur ce propos de Jean Pecquet : v. note [10] de la précédente section de sa première Responsio.
Quant aux différences entre l’homme et les autres mammifères, Riolan prête à sourire car il s’est singulièrement acharné à prouver la présence d’un réseau artériel admirable dans le crâne humain, alors qu’il n’existe que dans celui de certains quadrupèdes ; et cela lui a valu les vigoureuses critiques de Johann Jakob Wepfer, dans son livre sur l’apoplexie (Schaffhouse, 1658, v. note Patin 3/616).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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