Note [41]
Il va sans dire que le sang de la mère est ici celui qui irrigue son fœtus. En résumant l’avant-dernier paragraphe de la page 88 et le premier de la page 89 (chapitre xii, Dissertatio anatomica, 1654), Jean ii Riolan a rendu l’argument de Jean Pecquet encore moins intelligible qu’il ne l’était déjà.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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