Note [44]
La mauvaise foi de Jean ii Riolan et sa déplorable intelligence de la circulation harvéenne (v. notes Patin 18/192 et [4], lettre de Riolan à la Compagnie des docteurs régents de la Faculté de médecine de Paris) atteignaient ici un sommet d’absurdité.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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