Note [52]
Ce vibrant hommage rendu à Jean ii Riolan a le ton de la sincérité. Il reconnaît et expose honnêtement les mérites qui lui valaient un éminent et indéniable renom dans l’Europe entière.
Dans sa Responsio ad Pecquetianos, Riolan n’a pourtant ménagé ni Pierre De Mercenne ni Hyginus Thalassius, son alter ego. Il n’a surtout pas eu l’honnêteté de reconnaître la valeur de sa proposition sur la double qualité du chyle, alors qu’il a porté Charles Le Noble aux nues pour avoir soumis la même hypothèse dans sa lettre de 1655.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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