Note [7]
« Pourtant, qui connaît sa propre grandeur peine à se convaincre qu’on l’a blessé », abrégé de Sénèque le Jeune, De la Constance du sage, chapitre x :
Sapiens autem a nullo contemnitur, magnitudinem suam novit nullique tantum de se licere renuntiat sibi et omnis has, quas non miserias animorum sed molestias dixerim, non uincit sed ne sentit quidem[Personne pourtant ne méprise le sage : il connaît sa propre grandeur ; il pense que nul n’a plus de pouvoir sur lui que lui-même ; non seulement il surmonte entièrement ces mots d’esprit que j’appellerais des méchancetés, mais il ne les sent même pas].
Pour justifier les bonnes intentions de Jean Pecquet à l’égard de Jean ii Riolan, une note marginale d’Hyginus Thalassius renvoie au chapitre i des Experimenta nova anatomica, pages 3‑4.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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