Texte : Jean Pecquet
Nova de thoracicis
lacteis Dissertatio
(1654)
Expérience iii, note 3.
Note [3]

Pour une comparaison vraiment convaincante, c’est du lait, et non de l’eau, que Jean Pecquet aurait dû mêler au vin. Il aurait aussi pu tirer bien meilleur argument de la lactescence du sérum qui s’observe dans les heures qui suivent un repas (v. le 3e point de la note [34], 4e partie de la première Responsio de Jean ii Riolan), mais ce phénomène n’était alors ni tenu pour normal ni correctement interprété.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean Pecquet
Nova de thoracicis
lacteis Dissertatio
(1654)
Expérience iii, note 3.

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(Consulté le 09/12/2025)

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