| Note [28] | |
« Après avoir sillonné “ les champs du regard humain ” ». Pour introduire enfin ses propres observations sur les voies du chyle, mais sans en revendiquer la primeur, Jacques Mentel voulait laborieusement enjoliver sa prose avec deux mots tirés de trois vers d’Ovide {a} (Métamorphoses, livre xv, vers 62‑65) sur Pythagore : {b} Sponte erat isque licet cæli regione remotos |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Lettres de soutien adressées à Jean Pecquet : Jacques Mentel (1651, modifiée en 1654), note 28. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0046&cln=28 (Consulté le 09/12/2025) |