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« Pourtant, qui connaît sa propre grandeur peine à se convaincre qu’on l’a blessé », abrégé de Sénèque le Jeune, De la Constance du sage, chapitre x : Sapiens autem a nullo contemnitur, magnitudinem suam novit nullique tantum de se licere renuntiat sibi et omnis has, quas non miserias animorum sed molestias dixerim, non uincit sed ne sentit quidem Pour justifier les bonnes intentions de Jean Pecquet à l’égard de Jean ii Riolan, une note marginale d’Hyginus Thalassius renvoie au chapitre i des Experimenta nova anatomica, pages 3‑4. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Hyginus Thalassius (1654) alias Pierre De Mercenne, Brevis Destructio de la première Responsio (1652) de Jean ii Riolan (1654) : chapitre ii, note 7. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0051&cln=7 (Consulté le 08/12/2025) |