| Note [33] | |
Nathaniel Highmore (v. note [22], préface de la première Responsio de Jean ii Riolan) n’a jamais pratiqué la médecine à Londres, mais à Sherborne (Dorset), où il a résidé pendant la plus grande partie de son existence. L’éditeur des Opera omnia de William Harvey (Londres, 1766, v. supra note [2]) a ajouté cette note : Nimirum Horstius epistolae suae, cui ab Harveio hac respondetur, ista verba subjunxerat : “ Nobilissime Harveie, quaeso tantum otii sume, et verum usum orbi expone lymphaticorum et thoracicorum ductum. Habes discipulos multos clarissimos, maxime Highmorum ; quo mediante facile erit dubia omnia solvere. ” Johann Daniel Horst a tenu à peu près le même propos dans sa Decas (1656, v. supra note [29]), mais je suis frustré de n’avoir pas eu accès à sa lettre originale dont l’éditeur de 1766 a disposé. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Trois lettres de William Harvey sur les Experimenta nova anatomica de Jean Pecquet (1652-1655), note 33. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1010&cln=33 (Consulté le 10/12/2025) |