Texte : Trois lettres de William Harvey
sur les Experimenta nova anatomica
de Jean Pecquet (1652-1655), note 5.
Note [5]

Robert Morison (Aberdeen 1620-Oxford 1683) s’était réfugié en France après avoir combattu dans les armées du roi Charles ier et fut reçu docteur en médecine de la Faculté d’Angers en 1648. Son appartenance à la cour de Gaston d’Orléans lui permit d’exercer la médecine à Paris. Revenu en Grande-Bretagne après la Restauration (1660), il fut nommé titulaire de la chaire de botanique de l’Université d’Oxford en 1670. Son principal ouvrage est un copieux complément de l’Hortus Regius Blesensis [Jardin royal de Blois] d’Abel Brunier (Paris, 1653, vnote Patin 74/332), qui parut à Londres en 1669 (Éloy).

Cette lettre a été communiquée à Johann Daniel Horst puis à Thomas Bartholin, qui en ont commenté les arguments : v. notes [28] infra et [32] de la lettre de Bartholin à Horst.

Imprimer cette note
Citer cette note
x
Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Trois lettres de William Harvey
sur les Experimenta nova anatomica
de Jean Pecquet (1652-1655), note 5.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1010&cln=5

(Consulté le 10/12/2025)

Licence Creative Commons