| Note [36] |
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En l’abrégeant (detexit Asellius Lacteas), Jean ii Riolan rendait incompréhensible le propos de Jean Pecquet (page 2 de son Introduction) : « Aselli a ouvert la voie, un point c’est tout. Ce n’est pas un fait à dédaigner, bien qu’il ne soit pas d’une importance considérable » (Aperuit Asellius, sufficit. Non est spernendum indicium, utut sit exiguum). |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean ii Riolan Responsiones duæ (1655), Responsio ad Pecquetianos 4e de 6 parties, note 36. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1057&cln=36 (Consulté le 08/12/2025) |