Biographie : William Harvey, note 2.
Note [2]

V. note [14], première Responsio de Jean ii Riolan à Jean Pecquet, 2e partie pour les deux Exercitationes [Essais] de William Harvey contre Jean ii Riolan (1649) et la double Responsio de Riolan (1652).

Le maillon le plus faible de la circulation harvéenne était l’absence d’une démonstration anatomique des capillaires sanguins, dont l’existence ne fut prouvée qu’en 1661 par Marcello Malpighi (v. note [2], Dissertatio anatomica, chapitre v). Harvey en convenait mais ce n’était pas le principal grief de Riolan : il proposait une circulation partielle du sang (tête, bassin et membres) qui n’intéressait pas le territoire mésentérique et qu’il disait conforme à la doctrine hippocratique (v. note [6], Brevis Destructio, chapitre iii).

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Biographie : William Harvey, note 2.

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(Consulté le 09/12/2025)

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