| Note [19] |
|
Ce passage comparant les pores aqueux des reins et du foie, qui filtrent sélectivement les sels dissous dans le sang (v. note [6], Dissertatio anatomica, chapitre xii), est difficile à déchiffrer et à comprendre, sauf à prendre « refuir » dans le sens ancien de refuser (attesté par Trévoux), pour dire que, selon la configuration des sels, les pores en refoulent certains (« uns chacuns ») et en laissent passer d’autres. |
|
| Imprimer cette note |
|
Citer cette note
x
Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Annexe : Autographe français de Jean Pecquet sur sa propre découverte (hiver 1651-1652), note 19. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1527&cln=19 (Consulté le 11/12/2025) |