Un peu plus tard, le viennois Franz-Josef Gall (1758-1828) lança à Paris une autre doctrine, la phrénologie, qui affirmait que la forme du crâne reflètait celle du cerveau et que telle ou telle fonction, tel sentiment ou passion y avait une localisation précise, d’où la possibilité, en palpant les bosses du crâne, de diagnostiquer les qualités intellectuelles et morales d’un individu. Si tout cela n’a laissé le souvenir que d’une amusante fantaisie (qui sut pourtant séduire en son temps un Balzac), il faut reconnaître à Gall un rôle important dans la découverte des localisations cérébrales.

    

En marge de l'anatomie classique : la phrénologie 1 2 3 suite.gif (918 octets)