Une exposition permanente
d'images de la peau
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Eléphantiasis des arabes |
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Hardy Alfred, Louis, Philippe ; Montméja A (de). Clinique photographique de l'hôpital Saint-Louis. Chamerot et Lauwereyns, 1868. |
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Coll BIU Santé med37462x0158 |
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Lèpre |
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Hardy Alfred, Louis, Philippe ; Montméja A (de). Clinique photographique de l'hôpital Saint-Louis. Chamerot et Lauwereyns, 1868. |
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Coll BIU Santé med37462x0162 |
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Cancroïde |
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Hardy Alfred, Louis, Philippe ; Montméja A (de). Clinique photographique de l'hôpital Saint-Louis. Chamerot et Lauwereyns, 1868 |
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Coll BIU Santé med37462x0165 |
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Eléphantiasis des arabes |
Lèpre |
Cancroïde |
Comparée à la céroplastie, technique complexe nécessitant
l’intervention d’un professionnel, la photographie, quoique encore malaisée, pouvait
être mise en œuvre plus facilement notamment par un médecin. Par ailleurs, bien que le
temps de pose fut alors de plusieurs minutes pendant lesquelles le malade devait
s’efforcer de rester immobile, on peut penser que cette contrainte était moins pénible
que celle qu’imposait la fabrication des moulages.
En 1876, ce que l’on ne pouvait encore nommer « musée
» renfermait
147 dessins, 46 photographies et 413 moulages exposés sans ordre dans sept vitrines et
« qui servent tous les jours à l’enseignement dans les leçons que font les médecins de
Saint-Louis. » Dans ces conditions, Devergie ne pouvait que déplorer
« le local honteux qui renferme les trésors de notre hôpital
modèle »
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