525 Action de la quinine dans la fibrillation et la tachysystolie auriculaires. Par Pierre schrumpf...
Image : Fig. 6. Tachysystolie auriculaire ; action ventriculaire presque régulière (quinine et digitale). L'onde a du phlébogramme manque / Fig. 7. Fin spontanée d'un accès passager de fibrillation de quelques jours / Fig. 8. Rétrécissement mitral avant la fibrillation ; onde veineuse a faible ; 2 encoches p correspondant au dédoublement du deuxième bruit à la base / Fig. 9. Même cas que figure 8 ; fibrillation des oreillettes ; arythmie complète ; l'onde a du phlébogramme manque / Fig. 10. Même cas que figures 8 et 9, après deux jours de quinine ; tachysystolie auriculaire : action ventriculaire très irrégulière, mais petites ondes a au phlébogramme / Fig. 11. Même cas que figures 8 à 10, après trois jours de quinine ; tachysystolie énergique ; action ventriculaire régulière, mais tachycardique
605 Procédé d'ostéosynthèse par boulon amovible. Par E. Juvara...
Image : Fig. 1. 1, Boulon complet ; 2, foret ; 3, pièces additionnelles ; 4, clef ; 5, guide ; 6, tige filetée avec extrémité en forme de mèche ; 7, mandrin universel à fixer sur un drille. A, boulon placé pour une fracture oblique, en bas et en dedans de l'extrémité inférieure du tibia ; en dehors, le boulon passe par la malléole / Fig. 2. Le boulon placé dans un cas de fracture du condyle interne du fémur / Figure 3
655 La pneumo-séreuse articulaire. Par Jean Terracol et L.-Jh. Colanéri... / Technique
Image : Fig. 1. C. S., cul-de-sac supérieur ; D. S., diverticules synoviaux ; A., aileron rotulien ; E. R., espace sous-rotulien ; T. R., tendon rotulien ; C. P., cul-de-sac postérieur / Fig. 2. C. S., cul-de-sac supérieur ; D. S., diverticules synoviaux ; M. E., ménisque externe ; M. I., ménisque interne
666 Les récentes acquisitions sur la luxation congénitale de la hanche. Par F. Calot...
Image : Fig. 1. L'interprétation classique des radiographies de luxation congénitale est inexacte. Voici un radiogramme de luxation congénitale double / Fig. 2. Radio de luxation congénitale gauche / Fig. 3. Explication de la figure 2 (luxation congénitale gauche) / Fig. 4. Luxation congénitale double. Voici l'interprétation vraie de cette radiographie / Figures 5, 6, 7. Les gîtes successifs de la tête dans les diverses étapes de la luxation
667 Les récentes acquisitions sur la luxation congénitale de la hanche. Par F. Calot...
Image : Fig. 8. Comment il faut lire une radiographie de luxation congénitale / Fig. 9. Une de nos pièce d'autopsie. Luxation chez un nouveau-né, luxation directe en haut (type supérieur) / Fig. 10. Autre pièce personnelle d'autopsie (nouveau-né). Luxation du type postéro-supérieur / Fig. 11. Un cas de luxation congénitale / Fig. 12. La même : fausse réduction / Fig. 13. La même : vraie réduction / Fig. 14. Radiogramme d'une hanche réduite / Fig. 15. Radiogramme, dans le 2e plâtre
668 Les récentes acquisitions sur la luxation congénitale de la hanche. Par F. Calot...
Image : Fig. 16. Radiogramme dans le 3e plâtre / Fig. 16 bis. Voici un cas particulier, assez rare, où l'axe de la tête ne continue pas directement l'axe du col / Fig. 16 ter. Dans ce cas (voir fig. précédente) on concilie tout, en donnant dans le premier plâtre l'attitude que voici représentée / Fig. 17. Mauvaise orientation (1re position classique). La tête et le col visent le faux cotyle / Fig. 18. Bonne orientation (1er plâtre). La tête et le col visent le vrai cotyle / Fig. 19. 1er appareil. L'emboîtement de la tête dans le cotyle / Fig. 20 et 21. Non seulement il faut réduire et maintenir au-dessous du cartilage en Y, mais encore il faut faire travailler la tête dans l'ancien cotyle et l'orienter de telle façon que la gouttière puisse se combler / Fig. 22. Pièce personnelle d'autopsie de luxation congénitale opérée (réduction non sanglante) depuis huit mois
694 Procédés modernes et nouveaux de suture esthétique. Par Raymond Passot...
Image : Fig. 1. La plaque de maillechort AB est évidée suivant une ellipse centrale abcd, et perforée de trous symétriques 1, 2, 3, 4, 5 correspondant aux points de suture / Fig. 2. Aspect du tracé cutané de l'incision et des points de suture, marqués au bleu, avant l'infiltration anesthésique / Fig. 3. Aspect du même tracé, après l'injection de novocaïne / Fig. 4. Suture de Cushing. Des aiguilles longues et droites toutes préparées sont disposées parallèles entre elles et perpendiculaires au grand axe de la plaie / Fig. 5. Suture intradermique telle que la représentent les traîtés classiques / Fig. 6. Bonne suture intradermique/ Fig. 7. A est l'aiguille de Hagendorn d'une courbure classique, avec laquelle on réalise la suture défectueuse, à boucles aplaties, de la figure 5. A' est une aiguille spéciale demi-circulaire, permettant des trajets très curvilignes analogues à ceux de la figure 6
706 Signes et traitement du cancer du rectum. Par Victor Pauchet
Image : Fig. 5. Extirpation abdomino-périnéale. Fixation du bout colique supérieur à travers la boutonnière du grand droit / Fig. 6. Extirpation abdomino-périnéale. Le bout colique exubérant va être fixé par deux points de suture à la peau, après demi-torsion, suivant son axe. La concavité du sacrum est évidée jusqu'au coccyx. Le lecteur constate que tout le tissu cellulo-ganglionnaire du bassin a été refoulé vers le rectum / Fig. 7. Extirpation abdomino-périnéale. Aspect de l'abdomen quand le péritoine vésical a été suturé au péritoine de la paroi postérieure / Fig. 8. Extirpation périnéo-sacrée en deux temps a) Anus iliaque gauche ; b) ablation périnéo-sacrée / Fig. 9. Extirpation périnéo-sacrée (1er temps). Le bout distal va être fixé dans l'angle inférieur de la plaie en dehors du bord externe du grand droit. Le bout proximal sera passé au milieu du grand drot qui formera sphincter. Il subira un demi-tour dans le sens qu'indique la flèche
707 Signes et traitement du cancer du rectum. Par Victor Pauchet
Image : Fig. 10. Extirpation périnéo-sacrée (1er temps). Comment on suture les deux extrémités qui doivent dépasser la plaie abdominale pour qu'aucune traction ne s'exerce sur l'intestin / Fig. 11. Extirpation périnéo-sacrée (1er temps). Coupe schématique de la paroi abdominale montrant le bout distal en dehors de la gaine du grand droit et dans l'angle inférieur de la plaie, le bout proximal tordu à 180° et passant au travers du muscle grand droit / Fig. 12. Extirpation périnéo-sacrée (1er temps). Aspect des deux extrémités coliques suturées à l'aponévrose et à la peau / Fig. 13. Extirpation périnéo-sacrée (2e temps). Cette figure et les suivants (14, 15, 16, 17, 19) s'appliquent à l'opération abdomino-périnéale aussi qu'à l'opération périnéo-sacrée / Fig. 14. Extirpation périnéo-sacrée (2e temps). Décollement recto-urétral ; c'est le premier temps d'une prostatectomie périnéale
708 Signes et traitement du cancer du rectum. Par Victor Pauchet
Image : Fig. 15. Extirpation périnéo-sacrée (2e temps). Les incisions postérieure et latérale ont été pratiquées suivant le trait pointillé de la figure 13. Le coccyx a été désinséré ; les deux releveurs ont été mis à nu ; le pointillé indique où portera la dissection du releveur au ras du bassin / Fig. 16. Extirpation périnéo-sacrée (2e temps). La section des releveurs de l'anus a été faite. Tout le tissu cellulaire du périnée et du bassin a été refoulé vers le rectum / Fig. 17. Extirpation périnéo-sacrée (2e temps). Le rectum, les releveurs et le tissu cellulo-graisseux et ganglionnaire du bassin ont été complètement refoulés vers le bassin / Fig. 18. Extirpation périnéo-sacrée (2e temps). Ligature du côlon, le plus haut possible. Section au thermo / Fig. 19. Extirpation périnéo-sacrée (2e temps). Aspect de la cavité pelvienne après l'évidement périnéo-pelvien