Image : Fig. 1. Le sac anévrismal ouvert / Fig. 2. Aspect du pied 10 jours après l'extirpation de l'anévrisme / Fig. 3. Amputation de Pirogoff. Aspect du moignon un an et demi après la dernière opération

Image : Un punch combiné avec la haute fréquence pour le traitement de certains cas de rétention / Volumineux lipome sous-pectoral

Image : Fig. 1. Lobite scléreuse supérieure droite / Fig. 2. Phrénicectomie droite / Fig. 3. Paralysie phrénique gauche / Fig. 4. Phrénicectomie gauche

Image : Fig. 1. Le test sensitométrique automatique / Fig. 2. Application du test sur une malade atteinte de lupus

Image : Fig. 3. Marques du test sur la joue d'une malade atteinte de lupus / Fig. 4. Détails des réactions produites par le test (réduits au tiers) sur la peau du dos d'un adulte / Fig. 5. Test chez un enfant rachitique, les traces du premier degré ont disparu

Image : Fig. 1. Radiographie du radius et du cubitus : élargissement des diaphyses et épiphyses, ostéite engainante / Fig. 2. Radiographies du tibia et du péroné : élargissement des diaphyses et épiphyses, ostéite engainante

Image : Fig. 1. Limites de la rate

Image : Fig. 2. Oeuf de Schistosomum Mansoni dans le parenchyme du foie d'un de mes cas

Image : Fig. 1. Pavillon des étudiantes (23 lits). Etat des travaux au 17 août 1927

Image : Fig. 2. Bâtiment des étudiants (105 lits). Etat des travaux au 1er février 1928 / Figure 1. Loupe de position concentrique. Lunette vu de face. Plan de la figure n° 1 / Figure 2. Loupe en position de retrait. Lunette vu de face. Plan de la figure n° 2

Image : Fig. 1. I, Signal de Deprez en relation avec le marteau percuteur, indiquant le moment de l'excitation ; II, Diapason marquant le centième de seconde ; III, Gonflement du muscle grand droit au cours de la réponse abdominale du réflexe médo-pubien. Type périosté / Fig. 2. I, II, III, comme sur la figure 1. Réponse abdominale du réflexe médio-pubien à type neuro-musculaire / Fig. 3. I, Signal de Deprez en relation avec le marteau percuteur, indiquant le moment de l'excitation ; II, Diapason marquant le centième de seconde ; III, Myogramme des adducteurs au cours du réflexe médio-pubien. Temps perdu pour la transmission à air : 11 millièmes de seconde

Image : Fig. 1. Tumeur précancéreuse du limbe cornéen (Coupe colorée à l'hématéine-éosine. Microphoto x 195) / Fig. 2. Autre précancer du limbe cornéen. (Coupe colorée à l'hématéine-éosine. Microphoto x 560)

Image : Fig. 1. Salle juan E. Manrique / Fig. 2. Vue générale de l'hôpital / Fig. 3. Blanchisserie-repasseuses / Fig. 4. Service d'endoscopie

Image : Fig. 1. L'appareil démonté / Fig. 2. Récepteur monté

Image : Fig. 1. Nanisme rénal / Fig. 2. Pseudo-rachitisme rénal

Image : Fig. 3. Pseudo-rachitisme rénal

Image : Fig. 1. Des tentes et canules

Image : M. Félix lagrange

Image : Fig. 1. Electrocardiogramme normal (observation 2) / Fig. 2. Electrocardiogramme pris chez un tuberculeux en état d'insuffisance cardiaque grave

Image : Institut biologique de lu société d'agriculture de Santiago du Chili

Image : Figure 1. A gauche : Trichophytie du bras due au trichophyton niveum radions. Lésion typique / Figure 2. A droite : Intradermo-réaction à la trichophytine au 6e jour / Figure 3. A gauche : Trichophytie du bras due au T.N.R. Prédominance d'éléments vésiculeux et de folliculites sèches / Figure 4. A droite : Intradermo-réaction à la trichophytine au 4e jour / Figure 5. A gauche : Trichophylie du bras due au T.N.R. Rappelant un placard d'eczéma / Figure 6. A droite : intradermo-réaction à la trichophytine au 2e jour / Figure 7. A gauche : Trichophytie du bras due au T.N.R. à forme de folliculites agminées ; réaction folliculaire de voisinage / Figure 8. A droite : intradermo-réaction à la trichophytine au 3e jour rappelant discrètement la lésion primitive / Figure 9. A gauche : Trichophytie de la racine du pouce due au T.N.R. à forme d'eczéma lichénifié / Figure 10. A droite : Intradermo-réaction à la trichophytine au 5e jour rappelant la lésion parasitaire de la figure 3

Image : Fig. 11. Trichophytie de l'épaule due au T.N.R sous forme de placard arrondi de folliculites sèches / Fig. 12. Trichophytie de la région antérieure du thorax due au T.N.R. à forme d'eczématide folliculaire / Fig. 13. Trichophytie de l'épaule et du dos due au T.N.R. à type de prurigo disséminé

Image : Fig. 14. Trichophytie de la région antérieure du cou due au T.N.R rappelant l'eczématide figurée / Fig. 15. Trichophytie de la région latérale du cou due au T.N.R rappelant un placard de parakératose ou d'eczématide / Fig. 16 / Trichophytie de la région latérale du cou due au T. N. R rappelant un lichen vrai ou une lésion lichénifiée

Image : Fig. 2. Latérale, gauche sur plaque. On voit l'interruption nette du corps du ventricule droit. L'absence de corne frontale / Fig. 1. Nuque sur plaque tête hyperfléchie / Fig. 3. Ventriculographie occiput sur plaque

Image : Fig. 4. Ventriculographie occiput sur plaque. On voit la corne frontale (rejetée en dehors et aplatie) et (moins nettement) le corps et la corne occipitale du ventricule gauche / Fig. 5. Ventriculographie latérale gauche sur plaque / Fig. 6. Ventriculographie occiput sur plaque. On voit les cornes frontales injectées d'air / Fig. 7. Occiput sur plaque. La corne frontale droite est déplacée vers l'extérieur, la corne frontale gauche est tout entière du côté opposé de la ligne médiane, transversalement écrasée, sa limite externe concave en bas et dehors / Fig. 8. Front sur plaque

Image : Figure 10. Décès le soir de la ventriculographie / Fig. 11. Ventriculographie occiput sur plaque / Fig. 12. Ventriculographie côté gauche sur plaque

Image : Fig. 1. Instrumentation pour l'injection intrabronchique de lipiodol à travers le bronchoscope / Fig. 2 et 2 bis. Arrêt du lipiodol au niveau de la partie inférieure de la bronche souche droite

Image : Fig. 3. Le lipiodol semble au niveau de la tumeur et l'on serait tenté de nier la sténose / Fig. 3 bis. De profil le lipiodol n'est qu'en arrière, au-dessus ou au-dessous de la tumeur : la sténose est évidente

Image : Fig. 1. (Cliché du Dr Darbois). Image normale. Sur la ligne médiane, en bas, on voit les ombres des deux pinces tire-balle qui fixent le col / Fig. 2. (Cliché du Dr Darbois). Obturation bilatérale des trompes / Fig. 3. (Cliché du Dr Darbois). Perméabilité tubaire unilatérale

Image : Fig. 4. (Cliché du Dr Darbois). Trompes pseudo-kystiques obturées et dilatées / Fig. 5. (Cliché du Dr Darbois). Trompes pseudo-kystiques. Image de contrôle / Fig. 6. (Cliché du Dr Darbois). Perméabilité tubaire bilatérale

Image : Fig. 7. (Cliché du Dr Darbois). Perméabilité bilatérale. Image de contrôle / Fig. 8. (Cliché du Dr Darbois). Appendicite chronique et salpingite gauche / Fig. 9. Instrumentation personnelle pour injection intra-utérine de lipiodol sous pression constante et mesurée

Image : Fig. 1. Groupe de femmes Bobos retour des champs / Fig. 2. Greniers à mil dans un village sur la route de Dédougou à Bobo-Dioulasso / Fig. 3. Pêche au harpon sur les berges d'une rivière peu profonde / Fig. 4. Type d'habitation européenne construite en «banco» ou brique-crue

Image : 1, Tête d'homme de race mossi. 2, Femme mossi. 3, Tête de jeune femme peuhl / Case d'un village mossi / Fig. 1. Le hall de dissection

Image : Fig. 2. Le cabinet de préparation des os / Façade principale de l'hôpital des cinq plaies de Séville / Fig. 4. Lame contractile (coupe optique) : le recoupement optique n'apparaît avec la double striation que sur le bord supérieur de la préparation

Image : Fig 28. Une partie de l'atrio-necteur à un plus fort grossissement / Fig. 141. Fin d'une crise de tachyrythmie auriculaire

Image : Figure 1 / Fig. 2. Etrier à chaînettes du Dr Lambotte (modèle Collin)

Image : Augusto Turenne

Image : Fig. 1. Pince de martins pour l'épreuve encéphalegraphique / Fig. 2. Réseau artériel normal (à droite) d'une tabétique / Fig. 3. Réseau artériel de la même malade normal (à gauche)

Image : Fig. 4 (obs. I). Tumeur du lobe frontal visible à gauche / Fig. 5 (obs. I). Réseau sylvien normal (à droite) / Fig. 6 (obs. I). Le siphon carotidien et le paquet sylvien très abaissés (à gauche) / Fig. 7 (obs. II). Réseau sylvien normal (à gauche) / Fig. 8 (obs. II). Déviation en haut de la partie moyenne du paquet sylvien (à droite)

Image : Fig. 9 (obs / III). Réseau sylvien normal chez un enfant de 11 ans (à droite) / Fig. 10 (obs. III). Le siphon carotidien et le paquet sylvien abaissé dans son origine (à gauche) / Fig. 11 (obs. IV). Le siphon carotidien plutôt abaissé (à gauche) / Fig. 12 (obs. IV). Le siphon carotidien et le paquet sylvien très poussés en haut (à droite) / Fig. 13 (obs. V). Le réseau sylvien normal (à droite) / Fig. 14 (obs. V). Le siphon carotidien et le paquet sylvien très abaissés (à gauche)

Image : Fig. 15 (obs. VI). La sylvienne élevée après son origine (à droite) / Fig. 16 (obs. VI). La sylvienne élevée après son origine (à gauche) / Fig. 17 (obs. VII). Réseau sylvien normal (à gauche) / Fig. 18 (obs. VII). Siphon carotidien défait ; l'origine de la sylvienne très élevée (à droite)

Image : Fig. 1. Voie d'abord, ligne AB de la luce externe du grand trochanter à l'union du 1/3 antérieur et des 2/3 postérieurs de la crête iliaque. Incision courte curviligne parallèle à la crête. Discision des muscles, section verticale du grand trochanter (1/2 antérieur et 1/2 postérieur) qui restent pédiculés / Fig. 2. Mon procédé d'ostéosynthèse extraarticulaire de lu hanche. L'incision curviligne a été agrandie pour donner plus de clarté

Image : Fig. 1. Anuscope de R. Bensaude / Fig. 2. Seringue pour injections sclérosantes munie de son mandrin métallique avec aiguille libre

Image : Fig. 3. Injection à travers la peau / Fig. 4. Injection après extériorisation des hémorroïdes par Ventouse / Fig. 5. Injection directe du bourrelet hémorroïdaire après introduction de l'anuscope / Fig. 6. Injection au-dessus du bourrelet hémorroïdaire après introduction de l'anuscope

Image : Fig. 7. Manière de pratiquer l'injection sclérosante dans le traitement des hémorroïdes / Fig. 8. Coupe histologique d'un paquet hémorroïdaire traité par les injections sclérosantes. Réaction fibreuse intense développée au contact immédiat de la muqueuse

Image : Hideyo Noguchi

Image : Fig. 1. Technique de la tête «isolée» / Fig. 2. Technique de la tète «isolée» reliée à son tronc par les deux nerfs vagues

Image : Fig. 3. Mouvement respiratoires de la tête isolée de B/ Fig. 4. R, mouvements respiratoires de la tête isolée de B. A, pression sanguine (manomètre à mercure) de A. B, pression sanguine (manomètre métallique) du tronc B. <ATTcaractere> a, <ATTcaractere> b, asphyxie du tronc B par arrêt de la respiration artificielle / Fig. 5. R, mouvements respiratoires de la tête isolée de B. B, pression sanguine (manomètre métallique) du tronc B. <ATTcaractere> Section des nerfs vagues reliant la tête B à son tronc

Image : Fig. 6. A, mouvements respiratoires de la tête isolée de B / Fig. 7. R, mouvements respiratoires de la tête isolée de B / Fig. 8. Tête et coeur-poumons «isolés» uniquement reliés par les nerfs vagues

Image : Fig. 9. Tète et crosse aortique-coeur «isolés» uniquement reliés par les nerfs vagues / Fig. 10 / Tête et poumons «isolés» uniquement reliés par les nerfs vagues