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1933, Articles originaux. - Masson et Cie, 1933.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
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746 Travaux originaux. La lymphangite cancéreuse des poumons à forme suffocante. Par A. Costedoat...
Image : Fig. 1. Lymphangite cancéreuse généralisée / Fig. 2. Ce même malade huit mois auparavant (Marbrures sous la clavicule gauche ; une petite image cavitaire sous la clavicule droite)
747 Travaux originaux. La lymphangite cancéreuse des poumons à forme suffocante. Par A. Costedoat...
Image : Fig. 3. Lymphangite cancéreuse, base droite (même observation) / Fig. 4. Le même malade (base droite), 8 mois auparavant / Fig. 5. Lymphangite cancéreuse. Lobe supérieur gauche (même observation) / Fig. 6. Le même lobe supérieur gauche, 8 mois auparavant (marbrures tuberculoses)
749 Travaux originaux. (Clinique chirurgicale de la Salpêtrière) (Professeur A. Gosset). Le décollement des téguments de la face voie d'abord dans les grandes opérations d'exérèse sur la bouche et l'oro-pharynx. Cancers du maxillaire inférieur. Cancers du plancher de la bouche. Cancers de l'amygdale et du pharynx. Par Raymond Bernard...
Image : Fig. 1 et 2. Résection économique du maxillaire dans les cancers du plancher de la bouche (Raymond Bernard). L'incision ; la résection partielle du maxillaire / Fig. 3. Résection économique du maxillaire dans les cancers du plancher de la bouche (Raymond Bernard). La section de la langue
751 Travaux originaux. (Clinique chirurgicale de la Salpêtrière) (Professeur A. Gosset). Le décollement des téguments de la face voie d'abord dans les grandes opérations d'exérèse sur la bouche et l'oro-pharynx. Cancers du maxillaire inférieur. Cancers du plancher de la bouche. Cancers de l'amygdale et du pharynx. Par Raymond Bernard...
Image : Fig. 8. Résection économique de la branche verticale du maxillaire / Fig. 9. Résection économique de la branche verticale du maxillaire / Fig. 10. Le décollement des segments de la face dans les grandes résection du maxillaire
752 Travaux originaux. (Clinique chirurgicale de la Salpêtrière) (Professeur A. Gosset). Traitement des fractures de la colonne vertébrale. Par F. Jimeno-Vidal...
Image : Fig. 1. Après insensibilisation du foyer de la fracture au moyen de l'anesthésie locale (Schnek), la patiente est suspendue entre deux tables : Les bras et le menton appuyés sur la plus haute, les membres inférieurs fixés à l'autre par deux sangles, les chevilles reposant sur un coussin en forme de rouleau / Fig. 2. Quelques minutes après on élève la partie supérieure du corps en interposant une caisse de bois. La gibbosité commence à disparaître. La lordose vertébrale s'accentue / Fig. 3. Au bout de 15 minute la gibbosité a disparu complètement, la colonne vertébrale est en hyperlordose / Fig. 4. Sans changer la position, on procède immédiatement à la confection d'un corset plâtré / Fig. 5. Radiographies et esquisses radiographiques avant et après la réduction
753 Travaux originaux. (Clinique chirurgicale de la Salpêtrière) (Professeur A. Gosset). Traitement des fractures de la colonne vertébrale. Par F. Jimeno-Vidal...
Image : Fig. 6. Radiographie et photographie de la blessée avant et après la réduction / Fig. 7. Après la réduction. Redressement parfait de la colonne vertébrale / Fig. 8. Photographie prise au moment de l'entrée de la malade peu de temps après la production de la fracture de la deuxième vertèbre lombaire causée par une chute de la hauteur d'un deuxième étage / Fig. 9. Une semaine après et encore avant la réduction. Gibbosité et cyphose au niveau de la colonne lombaire / Fig. 10. Après la réduction et la pose du corset plâtré qui doit être gardé un minimum de 12 semaines / Fig. 11. La colonne vertébrale a sa pleine capacité de sustentation et permet à la patiente de transporter 25 kilos sur sa tête / Fig. 12. La colonne vertébrale a sa conformation normale sans le moindre vestige de gibbosité / Fig. 13. La colonne vertébrale est si élastique que la malade ayant les jambes en extension, peut atteindre le sol avec l'extrémité des doigts
754 Travaux originaux. (Clinique chirurgicale de la Salpêtrière) (Professeur A. Gosset). Traitement des fractures de la colonne vertébrale. Par F. Jimeno-Vidal... / Réactions du tissu pulmonaire à la pénétration de corps étrangers par voies sanguine. Par MM. E. Leuret et J. Caussimon
Image : Fig. 14. Radiographies et esquisses radiographiques avant la réduction. Aplatissement cunéiforme du corps vertébral, angulation des axes vertébraux, diastasis entre l'apophyse épineuse de la première vertèbre lombaire et la douzième dorsale
755 Travaux originaux. (Clinique chirurgicale de la Salpêtrière) (Professeur A. Gosset). Réactions du tissu pulmonaire à la pénétration de corps étrangers par voies sanguine. Par MM. E. Leuret et J. Caussimon
Image : Fig. 1. Grain de lycopode fixé contre la paroi d'un vaisseau. Début de la réaction cellulaire péri-vasculaire / Fig. 2. Grain de lycopode embolis dans un vaisseau. Afflux de grandes cellules histiocytaires autour du grain / Fig. 3. Réaction des régions interalvéolaires sous l'influence de la migration des grains de lycopode / Fig. 4. Réaction interstitielle au voisinage d'un vaisseau. Autour de l'un des grains, énormes cellules histiocytaires / Fig. 5. Epaississement des régions interalvéolaires. Développement intense des cellules histiocytaires. On ne voit ni polynucléaire, ni lymphocyte
756 Travaux originaux. (Clinique chirurgicale de la Salpêtrière) (Professeur A. Gosset). Réactions du tissu pulmonaire à la pénétration de corps étrangers par voies sanguine. Par MM. E. Leuret et J. Caussimon
Image : Fig. 6. Développement intense de la réaction interstitielle / Fig. 7. Un grain de lycopode va tomber dans la cavité alvéolaire / Fig. 8. Réaction alvéolaire consécutive à la migration de plusieurs grains de lycopode / Fig. 9. Réaction alvéolaire consécutive à la migration de grains de lycopode / Fig. 10. Réaction alvéolaire sous l'influence de la migration de grains de lycopode. On remarquera les éléments giganto-cellulaires / Fig. 11. Réaction alvéolaire sous l'influence de la migration de grains de lycopode. Les grains sont situés hors de la coupe
758 Travaux originaux. Travail de l'Hôpital Maritime de Berck. Service du Dr Richard. Indications et limites de l'arthrodèse de hanche dans le traitement des coxalgies de l'enfant et de l'adulte. Par MM. A. Delahaye et J.-N. Courvoisier
Image : Fig. 1. Une indication précise d'arthrodèse mixte. Lésion résiduelle de coxalgie grave de l'enfance. Caverne du col et du bulbe fémoral / Fig. 2. Résultat obtenu deux ans après l'arthrodèse mixte. Disparition du foyer d'ostéite. Excellente consolidation. Nécessité d'ostéotomie secondaire / Fig. 3. Une indication précise d'arthrodèse mixte. Lésion résiduelle de coxalgie grave de l'enfance. Perforation du cotyle. Séquestre de l'arrière-fond / Fig. 4. Résultat obtenu deux ans après l'arthrodèse mixte. Extraction du séquestre. Excellente consolidation / Fig. 5. Une indication précise d'arthrodèse mixte. Coxalgie ancienne de l'enfance. Double foyer résiduel cotyloïdien et fémoral / Fig. 6. Résultat obtenu trois ans après l'arthrodèse mixte. Comblement des cavernes. Excellente ankylose au niveau du greffon
759 Travaux originaux. Travail de l'Hôpital Maritime de Berck. Service du Dr Richard. Indications et limites de l'arthrodèse de hanche dans le traitement des coxalgies de l'enfant et de l'adulte. Par MM. A. Delahaye et J.-N. Courvoisier
Image : Fig. 7. Une indication précise d'arthrodèse par avivement. Hanche ballante secondaire à une résection de hanche pour coxalgie grave de l'enfance / Fig. 10. Une indication d'arthrodèse extra-articulaire. Coxalgie d'adulte en première année d'évolution / Fig. 9. Arthrodèse para-articulaire pour coxalgie d'adulte en première année d'évolution. Résultat obtenu trois ans après l'intervention / Fig. 8. Résultat obtenu trois ans après l'avivement. Ankylose massive / Fig. 11. Résultat obtenu trois ans après l'arthrodèse juxta-articulaire. Au processus de destruction centrifuge, s'oppose celui d'hypercalcification centripète
762 Travaux originaux. Travail de l'Hôpital Maritime de Berck. Service du Dr Richard. Mycose pulmonaire à «Penicillium crustaceum» avec signes cliniques et aspect radiologique d'abcès du poumon. Par MM. Paul Aimé..., Pierre Creuzé... et Hubert Kresser...
Image : Fig. 3. Vue oblique antérieure droite bras levé après 2 mois de traitement iodé / Fig. 4. Vue antérieure après 2 mois de traitement iodé ; persistance d'une coque pleurale / Fig. 5. Sept mois après le début du traitement iodé
764 Travaux originaux. Travail de l'Hôpital Maritime de Berck. Service du Dr Richard. La ventriculographie cardiaque expérimentale. Par MM. Henri Reboul et Maurice Racine
Image : Fig. 2. Radiographie-témoin : aiguille en place pour l'injection intra-ventriculaire / Fig. 3. Très bonne injection ventriculaire, belle image de l'aorte, du sinus de Valsalva, des troncs brachio-céphaliques / Fig. 4. Image d'injection ventriculaire gauche et aortique / Fig. 5 (a). Début d'injection intra-ventriculaire. Seuls les contours supérieur et antérieur du ventricule gauche sont dessinés / Fig. 5 (b). Même injection à une phase à peine plus avancée ; la crossse de l'aorte devient visible / Fig. 5 (c). Belle image ventriculaire et aortique, prise à la fin de la même injection
765 Travaux originaux. Travail de l'Hôpital Maritime de Berck. Service du Dr Richard. La ventriculographie cardiaque expérimentale. Par MM. Henri Reboul et Maurice Racine
Image : Fig. 6. L'aiguille est prolongée par un jet de ténébryl. Remarquable visibilité du ventricule gauche au sinus de Valsalva, de la crosse aortique ; injection moyenne des artères coronaires / Fig. 7 (a). Coeur en diastole / Fig. 7 (b). Coeur en systole
766 Travaux originaux. Travail de l'Hôpital Maritime de Berck. Service du Dr Richard. La ventriculographie cardiaque expérimentale. Par MM. Henri Reboul et Maurice Racine
Image : Fig. 8 (a), 8 (b) et 8 (c). Remarquable netteté de l'injection ventriculaire aortique, des artères coronaires, des artères graisseuses. Aspect précis de l'image auriculaire et du reflux dans les veines pulmonaires gauches. On remarque que ces trois clichés correspondent à des phases différentes de la même ventriculographie
797 Travaux originaux. Travail de la clinique de la tuberculose. (Hôpital Laennec, service du professeur Léon Bernard.) La lobite supérieure droite tuberculeuse. Par MM. G. Poix et H. Denecheau
Image : Coupe macroscopique de lobite supérieure droite montrant la diversité des lésions qui la constituent et la prédominance des lésions du type pneumonique
836 Travaux originaux. La ventriculographie. Technique, résultats, indications. Par MM. T. de Martel, J. Guillaume et J. Panet-Raymond
Image : Fig. 5 (Radio I). Cornes frontales et 3e ventricule normaux / Fig. 6 (Radio II). Déplacement latéral des cornes frontales et du 3e ventricule par une tumeur fronto-pariétale / Fig. 7 (Radio III)
837 Travaux originaux. La ventriculographie. Technique, résultats, indications. Par MM. T. de Martel, J. Guillaume et J. Panet-Raymond
Image : Fig. 8 (Radio IV). Tumeur frontale oblitérant la trou de Monro / Fig. 9. (Radio V). Cornes frontales dilatées. Absence de 3e ventricule / Fig. 10 (Radio VI). Les cornes frontales et le 3e ventricule apparaissent nettement dilatés / Fig. 11 (Radio VII). Visibilité parfaite du profil ventriculaire : ventricule lateral et 3e ventricule dilatés dans un cas de tumeur du 4e ventricule / Fig. 12 (Radio VIII). Déformation du profil de la partie postérieure du 3e ventricule par une tumeur de la région pinéale
847 Notes pratiques de séméiologie. N° 9. Séméiologie des traumatismes fermés de l'extrémité inférieure des deux os de l'avant-bras
Image : Fig. 1. Poignet normal : la styloïde radiale descent plus bas que la cubitale ; l'axe de la main prolonge l'axe de l'avant-bras / Fig. 2. Dos de fourchette haut situé : fracture basse des deux os de l'avant-bras / Fig. 3. Dos de fourchette bas situé : luxation rétro-lunaire du carpe / Fig. 4. Dos de fourchette habituel : fracture du radius dite de Pouteau
848 Notes pratiques de séméiologie. N° 9. Séméiologie des traumatismes fermés de l'extrémité inférieure des deux os de l'avant-bras
Image : Fig. 5. Décalage dans une fracture de l'extrémité inférieure du radius droit / Fig. 6. Fracture de l'extrémité inférieure du radius : déviation de la main en dehors / Fig. 7. Fracture typique de Pouteau ; radiographie de face / Fig. 8. Fracture typique de Pouteau ; radiographie de profil / Fig. 9. Les diverses variétés de fractures de l'extrémité inférieure du radius
852 Chroniques, variétés et informations. Le Fur (1872-1933) [Nécrologie] [F. Jayle] / Intérêts professionnels / Appareils nouveaux. Une nouvelle canule vaginale
Image : Fig. 1. La canule vaginale évacuatrice / Fig. 2. La position habituelle de la canule droite ordinaire ; son bout bute contre le col ou la paroi du cul-de-sac antérieur / Fig. 3. La position, quasi forcée, de la canule vaginale évacuatrice, par suite de sa courbure et de sa prise au niveau de l'index de verre placé au niveau de son coude et sur lequel appuie tout naturellement le pouce : le bout va dans le cul-de-sac postérieur
862 XIVe Congrès international d'ophtalmologie. (Madrid, avril 1933). Rapport sur le décollement de la rétine. Communications. Traitement du décollement de la rétine par de multiples ponctions diathermiques. Résultats / Décollement de la rétine, sa fixation endo-oculaire / Décollement de la rétine et tuberculose / Examen physico-chimique du liquide sous-rétinien dans quelques cas de décollement myopique / Sur la guérison spontanée du décollement de la rétine idiopathique / Cas cliniques de guérison chirurgicale du décollement de la rétine. Critique des traitements chirurgicaux modernes / Observations sur l'évolution de la cicatrice de la thermo-cautérisation perforante, et sur ses complications / La diathermie dans le traitement du décollement de la rétine et dans la buphtalmie / Guérison spontanée d'un décollement de la rétine bilatéral, au cours d'une neuro-rétinite brightique / Electro-excision linéaire de la sclérotique et cautérisation chimique, dans le décollement de la rétine / Cataracte consécutive à l'ignipuncture, dans le décollement de la rétine / Investigations sur l'étiologie du décollement rétinien idiopathique / Sur quelques points discutables de la pathogénie et du traitement du décollement de la rétine / Résultats expérimentaux de tentatives de décollements rétiniens / Décollement de la rétine. Statistique de 65 cas opérés par la méthode de Guist / Application de l'« Electrodiaphaque » au traitement du décollement de la rétine / Le traitement du décollement de la rétine par la diathermocoagulation transsclérale à l'aide de l'électrode pyrométrique / Communications diverses. Gonioscopie. Méthodes et résultats spécialement dans le glaucome / Investigations sur les courants d'action de la rétine / Kératoplastie. Etude expérimentale sur des lapins avec cornées leucomateuses / Recherches histologiques et comparatives sur la conjonctivite de l'érythème polymorphe / De la localisation des symptômes palpébraux caractéristiques de la maladie de Basedow
885 Chroniques, variétés et informations. L'association des anatomistes à Lisbonne
Image : Professeur de Vilhena / Professeur Celestino Da Costa
915 Notes pratiques de séméiologie. N° 10. Séméiologie des lésions traumatiques du carpe
Image : Fig. 1. Poignet normal (Radiographie de face), d'après Haret, Dariaux et J. Quénu / Fig. 2. Poignet normal (Radiographie de profil), d'après Haret, Dariaux et J. Quénu / Fig. 3. Fracture du scaphoïde (d'après Haret, Dariaux et J. Quénu)
916 Notes pratiques de séméiologie. N° 10. Séméiologie des lésions traumatiques du carpe
Image : Fig. 4. Luxation rétro-lunaire du carpe avec énucléation du semi-lunaire (d'après Jeanbrau) / Fig. 5. Luxation rétro-lunaire du carpe avec énucléation du semi-lunaire. Radiographie de face (d'après Haret, Dariaux et J. Quénu) / Fig. 6. La même, vue de profil (d'après Haret, Dariaux et J. Quénu)
948 Travaux originaux. Travail du laboratoire de physiologie de la faculté de médecine de Paris. Retentissement cardio-vasculaire des injections de substances de contraste. Par MM. A. Ravina, A. Sourice, J. Lesauce et G. Godlewski
Image : Fig. 1. Injection de 10 cmc de collothor à 30 pour 100. Hypotension. Légère diminution d'amplitude des systoles cardiaques. Retour à la normale assez long (chien n° 1) / Fig. 2. Injection de 10 cmc d'iodure à 50 pour 100 en 10 secondes : hypotension rapide. Diminution importante de l'amplitude systolique. Exagérations ultérieures des systoles cardiaques (chien n° 1) / Fig. 3. Injection de 10 cmc de sérum physiologique en 10 secondes. Aucune modification du rythme circulatoire ou respiratoire (chien n° 1) / Fig. 4. Injection d'oxyde de thorium à 37 pour 100. Très petite hypotension avec faible diminution de l'amplitude respiratoire (chien n° 2) / Fig. 5. Diagnorénol à 70 pour 100. Hypotension, puis hypertension de durée très courte (chien n° 2)
949 Travaux originaux. Travail du laboratoire de physiologie de la faculté de médecine de Paris. Retentissement cardio-vasculaire des injections de substances de contraste. Par MM. A. Ravina, A. Sourice, J. Lesauce et G. Godlewski
Image : Fig. 6. Chlorure de sodium à 34 pour 100. 10 cmc en 30 secondes. Tachycardie. Systole à peine perceptible. Hypotension considérable et rapide. Rythme respiratoire à peu près aboli (chien n° 2) / Fig. 7. Iodure de sodium à 70 pour 100. Grosse perturbation cardiaque. Hypotension brusque en 2 ou 3 paliers avec des systoles presque imperceptibles. Hypertension ultérieure (chien n° 2) / Fig. 8. Injection d'iodure de sodium à 100 pour 100. 10 cmc en 25 secondes : disparition du rythme respiratoire. Grosse modification des cystoles cardiaques (chien n° 4) / Fig. 9. Injection de 10 cmc d'oxyde de thorium non stabilisé. Mort foudroyante avec hypotension. Contractions cardiaques infimes (chien n° 6)
950 Travaux originaux. Travail du laboratoire de physiologie de la faculté de médecine de Paris. Retentissement cardio-vasculaire des injections de substances de contraste. Par MM. A. Ravina, A. Sourice, J. Lesauce et G. Godlewski / Les modifications électro-cardiographiques au cours de la ventriculographie cardiaque gauche expérimentale. Par MM. Maurice Racine et Henri Reboul...
Image : Fig. 1. Injection intra-ventriculaire gauche de 10 cmc sous pression de 1 kilogr. / Fig. 2. Injection intra-ventriculaire gauche de 10 cmc sous pression de 1 kilogr. / Fig. 3. D1 pendant l'injection intra-ventriculaire gauche de 20 cmc sous pression de 1 kilogr.
951 Travaux originaux. Les modifications électro-cardiographiques au cours de la ventriculographie cardiaque gauche expérimentale. Par MM. Maurice Racine et Henri Reboul...
Image : Fig. 4 a. Avant l'injection / Fig. 4 b. D1 pendant l'injection intra-ventriculaire gauche de 10 cmc sous pression de 1 kilogr. 250 / Fig. 4 c. Cinq minutes après l'injection / Fig. 5 a. Avant l'injection / Fig. 5 b. D1 pendant l'injection intra-ventriculaire gauche de 15 cmc sous pression de 1 kilogr. 500 / Fig. 5 c. Cinq minutes après l'injection
952 Travaux originaux. Les modifications électro-cardiographiques au cours de la ventriculographie cardiaque gauche expérimentale. Par MM. Maurice Racine et Henri Reboul... / Bibliographie / Revue des thèses. Thèse de Paris. Robert Thomas. Considérations sur les épithéliomas cylindriques du maxillaire supérieur. Thèse de Paris, 1932 (Jouve et Compagnie, éditeurs) [C. Ruppe]
Image : Fig. 6. a) D1 avant et pendant l'injection intra-ventriculaire gauche de 15 cmc sous pression de 2 kilogr. b) D2 une minute après l'injection / Fig. 7. D1 avant, pendant et après l'injection intra-ventriculaire gauche de 10 cmc sous pression de 2 kilogr. 500. Durée totale du tracé : 80 secondes ayant nécessité des coupures
985 Travaux originaux. Spondylite traumatique avec ostéoporose étendue du rachis chez un tabétique. Par MM. André-Thomas, H. Schaeffer et Huc
Image : Fig. 1. Reproduction d'après photographie. Raccourcissement du buste, que montre l'exagération des plis cutanés de la taille / Fig. 2. Colonne dorsale, montrant l'aplatissement et l'irrégularité des corps vertébraux, l'élargissement des disques
986 Travaux originaux. Spondylite traumatique avec ostéoporose étendue du rachis chez un tabétique. Par MM. André-Thomas, H. Schaeffer et Huc
Image : Fig. 3. Colonne lombo-sacrée / Fig. 4. Colonne cervicale. Irrégularité des corps vertébraux sans affaissement appréciable
991 Travaux originaux. Les arthrites chroniques non tuberculeuses des articulations du sacrum. Par M. Raphaël Massart
Image : Fig. 1. Etude du mouvement debout / Fig. 2. Etude du mouvement assis / Fig. 3. Vue en coupe sur un sujet congelé du canal intervertébral entre L5 et S1 / Fig. 4. Rapports du nerf sciatique et de ses branches d'origine avec les articulations sacro-lombaires et sacro-iliaques (Dessin d'après Danforth et Wilson) / Fig. 5. Aspect schématique de troubles nerveux périphériques observés au cours de l'évolution d'arthrites sacrées
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