Présentation
• Mode
d’emploi • Services associés
• Réutilisations
Liste des pages
|
|
1933, Articles originaux. -
Masson et Cie,
1933.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
|
|
1747 Travaux originaux. Les bases physiologiques du traitement de l'hypertension par la vagotonine. Par D. Santenoise, L. Marklen, M. Vidacovitch et C. Franck
Image : Fig. 6. A : Chien chloralosé. Administration d'adrénaline (1/400 de miligr. par kilogramme) avant vagotonine. B : Même animal. Administration d'adrénaline (même dose) après vagotonine. Diminution de l'intensité et de la durée de l'action hypertensive de l'adrénaline / Fig. 7. A : Chen chloralosé. Excitation du splanchnique gauche avant vagotonine. Effet adrénalinique très marqué. B : Même animal après vagotonine. Même excitation du splanchnique. Diminution considérable des effets de l'excitation. Disparition de l'effet adrénalinique / Fig. 8. Chien chloralosé. L'injection intraveineuse d'une dose très élevée de vagotonine bien purifiée n'est jamais suivie d'une chute immédiate et brusque de la pression artérielle
1748 Travaux originaux. Les bases physiologiques du traitement de l'hypertension par la vagotonine. Par D. Santenoise, L. Marklen, M. Vidacovitch et C. Franck
Image : Fig. 9. Chien chloralosé. Chute progressive et durable de la pression artérielle après injection intraveineuse vagotonine / Fig. 10. A : Chien chloralosé. Injection intraveineuse d'angioxyl. Chute brusque de la pression artérielle. B : Chien chloralosé. Injection intraveineuse de padutine. Chute brusque de la pression artérielle / Fig. 11 Chien chloralosé. A : Réflexe oculo-cardiaque avant angioxyl. B : Après angioxyl. Le réflexe oculo-cardiaque est toujours nettement diminué / Fig. 12. Chien chloralosé. A : Excitation faradique du nerf de Hering avant angioxyl. B : Même excitation du nerf de Hering après angioxyl. Les effets cardiomodérateurs et dépresseurs sont notablement diminués
1806 Travaux originaux. Granulomatose maligne et cycle évolutif du virus tuberculeux. Par M. Faure-Beaulieu et Mlle C. Brun
Image : Fig. 4. Ganglion du cob. G. C. b4. Cellule géante bourrées d'éléments granulaires. Coloration : Ziehl / Fig. 5. Même milieu que fig. 2 au 22e jour : apparition des premiers bacilles faiblement acido-résistants / Fig. 6. Cobaye g. C. b. inoculé avec la culture représentée fig. 5 ; pus de l'abcès froid ganglionnaire. Eléments granulaires acido-résistants. Remarquer le bacille granuleux formé par la juxtaposition de plusieurs éléments granulaires / Fig. 7. Souche humaine : culture sur pomme de terre glycérinée au 26e jour des germes isolés d'un ganglion biopsié (Cas B)
1820 Travaux originaux. Technique des diverses sympathectomies lombaires. Par MM. René Leriche et René Fontaine
Image : Fig. 3. Découverte de la chaîne lombaire gauche dans l'espace inter-artériel aortico-mésentérique / Fig. 4. Découverte de la chaîne lombaire gauche par décollement de l'S iliaque (procédé de Diez et d'Adson) / Fig. 5. Cette figure représente assez mal l'inclinaison du côté droit pour la découverte du sympathique gauche. Un coussin est mis sous une fesse et fait pencher le malade du côté opposé / Fig. 6. Schéma montrant l'ouverture de l'espace sous-péritonéal, du fait de l'inclinaison sur le côté opposé
1821 Travaux originaux. Technique des diverses sympathectomies lombaires. Par MM. René Leriche et René Fontaine
Image : Fig. 7. Découverte sous-péritonéale du sympathique lombaire. Tracé de l'incision et découverte du grand oblique. Discision du muscle / Fig. 8. Ecarteur spécial pour la sympathectomie lombaire (Maison Lépine) / Fig. 9. Le grand oblique a été divisé. Le petit oblique apparaît. Il faut le couper suivant le pointillé / Fig. 10, 11 et 12. Procédé employé pour couper aisément le petit oblique sans intéresser le péritoine / Fig. 13. Incision du fascia transversalis. La graisse fait hernie. Le plan de clivage est entre la graisse et la fascia. La main coiffée d'une compresse fait aisément le décollement sous-séreux sans hémorragie
1835 Travaux originaux. Le coeur des paludéens. Par Ed. Benhamou
Image : Coeur globuleux et flaccide de paludéen, au 10e jour d'un paludisme de première invasion / Fig. 6. Après dix jours de traitement (2 gr. de chl. de quinine par jour par la voie intramusculaire), le diamètre longitudinal passe de 14 cm à 12 cm 5 ; le diamètre horizontal de 14 cm environ à 11 cm ; le coeur perd son aspect globuleux et flaccide
1836 Travaux originaux. Le coeur des paludéens. Par Ed. Benhamou
Image : Fig. 7. Gros coeur globuleux et flaccide chez un homme de 23 ans, atteint de paludisme chronique / Fig. 8. Le 19 janvier, alors que le traitement quinique a été poursuivi de manière ininterrompue pendant près d'un mois, le coeur perd son aspect globuleux et flaccide / Fig. 9. le 7 mars 1932, plus d'un an après la cessation du traitement quinique et alors que cet homme a été employé aux plus durs travaux, le coeur conserve toujours un aspect normal
1839 Travaux originaux. Le cancer de l'anus. Par MM. Bensaude, Cain, Oury et Poirier. Symptômes
Image : Fig. 3. Cancer bourgeonnant et lobulé de la marge anale / Cancer à forme papillomateuse (type de végétations vénériennes) / Fig. 5. Cancer végétant, revêtant la forme de beaucoup la plus fréquente d'un bourgeon limité, rouge vif, dur paraissant sortir de l'orifice anal (aspect pseudo-hémorroïdaire) / Fig. 6. Cancer végétant à aspect pseudo-hémorroïdaire / Fig. 7. Cancer végétant à aspect pseudo-hémorroïdaire
1840 Travaux originaux. Le cancer de l'anus. Par MM. Bensaude, Cain, Oury et Poirier. Symptômes
Image : Fig. 8. Forme ulcéreuse pseudo-tuberculeuse / Fig. 9. Bourgeon cancéreux aberrant ; l'analyse histologique montre qu'il s'agit d'un épithélioma cylindrique colloïde, le siège de la tumeur primitive n'a pu être déterminé / Fig. 10. Epithélioma développé autour de l'orifice externe d'une fistule / Fig. 11. Récidive d'un épithélioma cylindrique du rectum, sur le prolapsus post-opératoire de la muqueuse / Fig. 12. Propagation d'un épithélioma cylindrique du rectum, se présentant sous la forme d'une tumeur plate, décapitée et à bords éversés / Fig. 13. Cancer du canal, représentant l'aspect classique du cancer bourgeonnant du rectum, l'anus est indemne
1845 Travaux originaux. Les formes très lentes de la thrombose cardiaque. Par R. Lutembacher
Image : Fig. 5. Erythrocyanose / Fig. 6. Caillot «en grelot» / Fig. 7. Paroi d'une auricule thrombosée par un caillot septique (endocardite subaiguë) / Fig. 8. Auricule thrombosé (endocardite lente) / Fig. 9. Embolie septique de l'artère pulmonaire (Endocardite subaiguë / Fig. 10. Embolie mécanique de l'artère pulmonaire / Fig. 11. Embolie mécanique d'une artériole rénale (endocardite lente), infarctus du rein
1853 [Réclame]
Image : Fig. 232. L'incision avait été faite en vue de découvrir un ulcère perforé / Fig. 23. Perforation appendiculaire survenue après l'administration malencontreuse de 20 grammes d'huile de ricin / Fig. 108. Contusion de l'abdomen ; unique et petite perforation intestinale ; opération facile, mais tardive ; mort du blessé
1855 Travaux originaux. Les gastrites sous le contrôle de la gastroscopie. Par M. François Moutier. Thérapeutique des gastrites
Image : Fig. 1. Gastrite myxorrhéique : mucus cailleboté (petite courbure) / Fig. 2. Gastrite hypertrophique : forme verruqueuse (grande courbure) / Fig. 3. Gastrite hypertrophique : état mamelonné érosif (face antérieure) / Fig. 4. Gastrite hypertrophique : forme pseudo-tumorale de la petite courbure / Fig. 5. Gastrite altérative : piqueté hémorragique de l'antre / Fig. 6. Suffusions hémorragiques en coup de griffe (petite courbure) / Fig. 7. Gastrite érythémato-pultacée érosive (petite courbure) / Fig. 8. Gastrite ulcéro-membraneuse ou aphtoïde (face antérieure) / Fig. 9. Gastrite ulcéreuse d'apparence nécrotique (petite courbure) / Fig. 10. Gastrite atrophique (petite courbure) : séquelles de gastrite bismuthique grave / Fig. 11. Gastrite mixte de la petite courbure : aspect craquelé / Fig. 12. Gastrite mixte de la petite courbure : hypertrophique et érosive
1858 Travaux originaux. L'urographie intraveineuse. Par Henri Reboul
Image : Fig. 1. A droite et à gauche : images normales ; il n'existe pas d'augmentation d'opacité du parenchyme urétral : bassinets et calices normaux ; à droite cependant très légère exagération de la convexité du bord supéro-interne du bassinet. Le segment initial des uretères est seul figuré, ils sont normaux / Fig. 2. A gauche : néphrographie moyenne permettant sur le cliché de constater l'augmentation nette du volume du rein. Pas de bassinet, calices isolés, pas d'uretère. Sur le premier cliché on ne constatait aucune image à gauche. A droite : pas de néphrographie. Bassinet bien injecté, à contours nets, calices normaux, bien reliés du bassinet. Pas de figuration urétérale. Conclusion : Les urines totales contiennent des B. K. ; la localisation gauche est certaine. L'absence de lésions à droite est manifeste / Fig. 3. A droite : pas de néphrographie ; les calices isolés d'un bassinet augmenté de volume, le 1/3 supérieur de l'uretère seul firuge, dilaté, rigide, permettent de soupçonner une tuberculose que l'examen des urines totales affirme. A gauche : Il n'existe pas de néphrographie, les calices, le bassinet, l'uretère, bien figurés et normaux, autorisent la néphrectomie droite
1859 Travaux originaux. L'urographie intraveineuse. Par Henri Reboul
Image : Fig. 4. A gauche : Néphrographie très précise de la moitié inférieure du rein gauche, bassinet très flou, calices isolés, uretère anguleux et rigide, font faire le diagnostic de tuberculose gauche confirmé par l'examen des urines totales. A droite : La néphrographie est très médiocre. Calices, bassinet, portion initiale de l'uretère, normaux, autorisent l'intervention / Fig. 5. A gauche : La déformation des calices, leur isolement du bassinet déformé, l'uretère dilaté et rétrécis en certains points, sont des signes certains de tuberculose. A droite : Les calices sont nettement séparés du bassinet, l'uretère est de calibre irrégulier, mais surtout il est rigide. Les lésions sont bilatérales / Fig. 6. A droite : Calices isolés du bassinet dont la convexité supéro-interne est notablement exagérée, uretère alternativement rétréci et dilaté, imposent le diagnostic de tuberculose. A gauche : Seule l'irrégularité de calibre de l'uretère permettait de soupçonner l'atteinte tuberculeuse de ce côté
1860 Travaux originaux. L'urographie intraveineuse. Par Henri Reboul
Image : Fig. 7. A gauche : L'aspect très particulier des calices et du bassinet ne suffit pas à établir le diagnostic, mais l'irrégularité de calibre de l'uretère permet de conclure qu'il s'agit d'une tuberculose. A droite : Le rétrécissement de l'uretère à sa partie supérieure, sa dilatation sous-jacente sont en faveur de la bilatéralité / Fig. 8. A gauche : Il existe deux reins. Les calices sont normaux, le bassinet du rein inférieur est légèrement dilaté. A droite : Une ptose rénale avec coudure urétérale a déterminé une hydronéphrose assez importante. Mais sur ce cliché, qui est le deuxième de cette U.I.V., le bassinet n'est pas encore assez injecté / Fig. 9 et 10. Il est facile de reconnaître deux bassinets du côté gauche sur le premier cliché. Sur le second de cette même U.I.V. la coudure urétérale droite est plus nette
1861 Travaux originaux. L'urographie intraveineuse. Par Henri Reboul / Bibliographie
Image : Fig. 11. Hydronéphrose bilatérale beaucoup plus marquée à droite. Une ombre sous-jacente du bassinet droit semble répondre à celle d'un calcul du pôle inférieur du rein droit, mais par rapport au bassinet et à la colonne vertébrale, ce calcul est situé très différemment sur les 3 clichés de l'U. I. V., alors que la position de la malade n'a pas été modifiée au cours de l'épreuve / Fig. 12. Tumeur de côlon gauche dont la situation, la forme, et tous les autres signes physiques permettaient d'autant plus le diagnostic de gros rein ptosé qu'il n'existait aucun trouble fonctionnel digestif / Fig. 13. Chez ce même malade la situation haute du bassinet, évidente sur ce cliché, a permis d'éviter cette erreur de diagnostic
1876 Travaux originaux. Le déroulement aortique (examen radiologique de l'aorte thoracique en O.A.G). Par MM. Daniel Routier et R. Heim...
Image : Fig. 3. M. Dup., 68 ans, dyspnée, gros foie, subictère, oedèmes ; double souffle de la base. Arythmie complète. Gros coeur. Pédicule très large, aorte descendante visible de face. Téléradiographie (1 m. 75), position frontale, pose 0"10 / Fig. 4. Même sujet. Position O.A.G., pose 0"12. Très grosse aorte, régulièrement et fortement déroulée / Fig. 5. M. Aug., 77 ans. Palpitations, coeur de volume normal. Pédicule distendu, allongé, aorte descendante visible de face. Téléradiographie (1 m. 75), position frontale, pose 0"04 / Fig. 6. Même sujet. Position O.A.G., pose 0"04 ; aorte déroulée et sinueuse
1897 Chroniques, variétés et informations. Les médecins étrangers à Paris / Correspondance. A propos de l'article de MM. Robineau et Max Lévy : «l'hyperazotémie avec hypochlorémie dans les suites opératoires». La Presse Médicale..., 11 octobre 1933 [M. Robineau ; Max Lévy] / Livres nouveaux. Traité de chimie minérale publié sous la direction de Paul Pascal..., Paul Baud... Tome IX. Etain, plomb, thallium, manganèse, fer... Tome X. Nickel, chrome, cobalt... (Masson et Compagnie, éditeurs)... [R. Hazard] / Guide Rosenwald, 1934... M. Rosenwald... / Université de Paris. Clinique chirurgicale / Clinique médicale de la Pitié / Clinique médicale propédeutique / Clinique urologique / Anatomie médico-chirurgicale
1988 Mouvement physiologique. Les effets de l'hyperthermie provoquée (étude expérimental)
Image : Fig. 3. Etude de la respiration (en haut) et prise de la pression artérielle (en bas) chez un chien examiné aux diverses phases de l'hyperthermie déterminée par le thermol / Fig. 4. Etat de la respiration (en haut) et de la tension artérielle (en bas) chez le chien, au moment de la mort du fait d'une température de 44°5 déterminée par le thermol