Image : Planche I Les ostéites postérieures de l'os iliaque ont pour conséquence, de même que celles de l'aileron sacré, l'arthrite sacro-iliaque dite "sacro-coxalgie", et l'on en voit un exemple sur la Fig. 1 : fille de douze ans, malade depuis cinq ans, chez laquelle un abcès froid fistulé (depuis six semaines) à la face postéro-externe de la cuisse démontre qu'il s'agit de tuberculose, malgré un Bordet-Wassermann positif. On voit un séquestre qui a été extrait par incsion large le 7 mai 1912, et le résultat, par ankylose sacro-iliaque, se voit Fig. 2, où l'on note, en outre, l'ascension de cette moitié du bassin. Sur la Fig. 1, on voit que la crête iliaque est un peu boursouflée, et en effet, elle était dénudée jusqu'à sa partie moyenne, d'où le siège externe de l'abcès, et le séquestre était enclavé entre les deux lames compactes de l'ilion, écartées par épaississement du diploé devenu fougueux ; et l'on voit que cet état de l'aile iliaque s'est accentué sur la Fig. 2 (5 octobre 1912). Cette forme soufflante, à mettre en série avec les spina ventosa diaphysaires ou calcanéens, n'est pas exceptionnelle à l'aile iliaque / Planche II On la voit encore sur la planche II (fille de six ans, le Ier juin 1917, malade depuis septembre 1916, venue avec un gros abcès ; incision et évidement le 4 juin ; cinq séquestres) ; la Fig. 2 montre la réparation osseuse très nette, sauf en arrière et en haut, où il reste des géodes et des échancrures, d'où une fistule. Planche I, Fig. 2 : voir sur le côté droit l'aspect des os sains

Image : Planche III Il n'en est pas de même de celles de l'ischion et du pubis. Cela va sans dire lorsque le foyer siège dans la partie postéro-externe, c'est-à-dire articulaire du pubis, contre le sourcil cotyloïdien, comme c'est la cas de la Fig. 1 de la planche III (garçon de neuf ans, venu avec un abcès à l'insertion des adducteurs, début non précisé). Il faut au contraire, nettoyer vite les fongosités et séquestres du corps du pubis (Fig. 2 et 3) : Fig. 2, garçon de huit ans ; abcès juxta-pubien ; ablation du séquestre le 8 février 1922 ; envoyé à Berck le 14 juin 1922 avec une fistule peu importante ; radio prise en position ventrale, ce qui donne une meilleure image du pubis tout proche de la plaque ; Fig. 3, garçon de cinq ans et demi, vu le 30 août 1918, fistules depuis octobre, après incision d'un abcès crural juxta-pubien ; on ne voit de séquestre que le 16 avril 1919 et on l'extrait deux jours après ; pas revu depuis le 19 mai

Image : Fig. 1. - Saint-Lazare en 1609 (fragment du plan de Vasselieu à la bibliothèque historique de la ville de Paris)

Image : Fig. 2. - Saint-Lazare en 1860

Image : Fig. 3. - La cour de l'infirmerie spéciale et l'abside de la chapelle des détenues vue de la galerie du rez-de-chaussée des bâtiments de l'infirmerie / Fig. 4. - Saint-Lazare sous la terreur. Escalier conduisant du greffe à la prison. La distribution du lait aux détenus (peinture d'Hubert Robert d'après une photographie du Musée Carnavalet

Image : Fig. 5. - Prison de Saint-Lazare une cellule illustrée (bâtiment de la fin du XVIIe siècle) / Fig. 6. - Le réfectoire (XVIIe siècle) / Fig. 7. - La fustigation de Beaumarchais à Saint-Lazare

Image : Une lettre de Van Swieten

Image : Une lettre de Van Swieten

Image : Une lettre de Van Swieten

Image : Saint Louis au bal de l'internat 1922

Image : Vitrail de la Sainte-Chapelle (XIIIe siècle) : Le Barbier

Image : Perrochaud

Image : Fig. 1 Une piste en cendrée de 450 mètres de tour, doublée extérieurement d'une piste gazonnée, entoure un vaste terrain de jeux (foot-ball, cricket, etc. / Fig. 2 C'est d'abord, comme mise en train, la marche sur la pointe des pieds, simple, puis avec mouvements correctifs de l'attitude, la marche à l'indienne simple (corps plié en deux, le bout des doigs effleurant le sol), la marche à l'idienne croisée, la marche en extension, la marche à quatre pattes, la marche à cloche-pieds en avant, en arrière, de côté, la marche en lapin, la course lente avec élévation des genoux, la course avec une série de bonds, la course avec changements au commandement

Image : Fig. 3 Vient alors le travail des barres de suspension de diverses hauteurs avec progression latérale de la plus élevée à la plus basse, avec progression sous la grande barre à l'aide des jambes et des bras (marche en singe) / Fig. 4 Les portiques que l'on escalade soit par des échelles, soit par des taquets placés le long des montants

Image : Fig. 5 Sur douze stagiaires que j'ai observés pendant mon séjour à Blois, je n'en ai vu que deux qui aient pu du premier coup traverser le grand portique : mon fils cadet et un jeune basque qui a d'ailleurs accompli d'excellentes performances

Image : Fig. 6 Puis les exercices de lever avec des gueuses de 10, 20, 33, 40, 50 kilos ; ces derniers chiffres réservés aux "as". Les gueuses de faible poids servent au lancement, au jongler ; les très lourdes au "développement", et c'est un beau spectacle que celui des hommes bien musclés pendant le développement des gueuses : les saillies musculaires marquent leur courbe puissantes et font ressortir les proportions harmonieuses du corps

Image : Fig. 7 La douche tiède, après un lavage de tout le corps au savon, nous rend frais et dispos ; nous sommes dans un état de bien-être absolu / Fig. 8 Une heure plus tard, le bain de soleil commence. Nous étalons sur l'herbe notre peplum mauve et nous nous couchons dessus tout de notre long, tantôt sur le ventre, tantôt sur le dos / Fig. 9 La pratique raisonnée de ces exercices naturels au grand air - j'insiste sur ce point - possible, même en hiver, par un froid sec

Image : Guy de Chauliac (Faculté de médecine de Paris)

Image : Représentation au naturel de Henri IV touchant à Paris les écrouelles

Image : Goethe

Image : Le Dr Gruby

Image : Une ordonnance de 1851 / Une ordonnance de 1897

Image : Dans le premier cas, l'évolution est celle d'une ostéo-arthrite ordinaire du genou, sans particularités cliniques appréciables, et on n'en juge que par l'aspect radiographique, dont les Fig. 1 à 3 donnent une idée, en particulier la Fig. 3, où l'on voit l'érosion évidente de la face postérieure. Dans le second cas, dont la Fig. 4 est un exemple clinique - mais où l'on ne peut rien juger par l'aspect radiographique, - les phénomènes initiaux sont ceux d'un hygroma chronique prérotulien, dont il faut toujours avoir grande méfiance chez l'enfant ; et l'on fera faire une radiographie. Dans le cas particulier, depuis quatre ans, abcès successifs et fistules se cicatrisant assez vite ; la synoviale du genou reste mince

Image : Calendarium medicum ad usum saluberrimae facultatis parisiensis

Image : Fig. 1. - Face antérieure de l'estomac / Fig. 2. - Rétrécissement pylorique vu du duodénum

Image : Fig. 3. - Rétrécissement médian de l'estomac

Image : Nicolas Copernic

Image : [Indications thérapeutiques. Envoi gratuit aux médecins]