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1929, n° 71, partie médicale. - Paris : J.-B. Baillière et fils, 1929.
Cote : 111502, 1929, n°71.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
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605 Le diagnostic des affections pulmonaires par l'injection sous-glottique de Lipiodol, par les Drs N. Chaniotis et D. Hadjissarantos
Image : Fig. 1 et Fig. 2 Nous lui faisons deux radiographies, une sans lipiodol et sur laquelle nous observons une infiltration allant du hile vers le parenchyme pulmonaire des deux côtés (Fig. 1), et une, après injection de 20 centimètres cubes de lipiodol, le malade couché à gauche (Fig. 2) sur lequel nous remarquons à gauche une dilatation ampullaire des bronches. Un autre cliché a été pris quarante-huit heures après l'injection (Fig. 3), et l'image n'est pas différente. Aucune cavité n'a été décelée par le lipiodol
606 Le diagnostic des affections pulmonaires par l'injection sous-glottique de Lipiodol, par les Drs N. Chaniotis et D. Hadjissarantos
Image : Fig. 4 La radiographie prise après l'injection de 20 centimètres cubes de lipiodol, la malade couchée à gauche, nous montre une dilatation ampullaire des bronches du tiers inférieur du poumon, puis un arrêt du lipiodol dans la base du poumon. Aucune fistule du trajet n'est apparente, comme aussi aucune cavité / Fig. 5 La radiographie sans lipiodol nous montre les ramifications bronchiques partant du hile gauche plus marquées que celles de droite. La radiographie faite après l'injection de 20 centimètres cubes de lipiodol souglottique le malade couché à gauche, nous montre une dilatation ampullaire des bronches gauches et une quantité de lipiodol dans l'estomac
607 Le diagnostic des affections pulmonaires par l'injection sous-glottique de Lipiodol, par les Drs N. Chaniotis et D. Hadjissarantos / Le diagnostic du syndrome entéro-rénal, ses difficultés, par R. Goiffon et H. Pretet
Image : Fig. 6 La radiographie prise après l'injection de lipiodol, la malade couchée à gauche nous montre aussi une dilatation cylindrique des grandes bronches et ampullaire des bronches de la périphérie du poumon gauche, puis une déviation de la trachée
614 Les vertiges, étude critique, par MM. P. Rigaud et M. Riser. I. - Définition et généralités
Image : Fig. 1 Il n'en est pas de même en reversant de 60° en arrière la tête du sujet. Dans ce cas le sens du courant endolymphatique ne varie pas dans les canaux, mais la situation de ceux-ci change par rapport au corps du sujet / Fig. 2 Le sujet est assis sur le fauteuil tournant, la tête légèrement inclinée en avant de 30°. Cette inclinaison céphalique correspond à la position d'excitation du couple des canaux horizontaux. Faisons tourner le sujet sur lui-même dans le sens des aiguilles d'une montre (de gauche à droite). Il éprouvera, à la fin de la giration excitatrice, une sensation de rotation des objets extérieurs dirigée en sens inverse des aiguilles d'une montre (de droite à gauche) et une sensation de chute vers la droite
615 Les vertiges, étude critique, par MM. P. Rigaud et M. Riser. I. - Définition et généralités
Image : Fig. 3 Exagérons la position précédente : dès que se termine la rotation du sujet effectuée la tête étant inclinée de 30° en avant, inclinons celle-ci de 120° en avant / Fig. 4 Inversement, si la tête est inclinée de 90° vers l'épaule gauche, la sensation illusoire de déplacement se produira d'avant en arrière et la chute aura lieu en arrière / Fig. 5 En faisant effectuer à la tête du sujet une inclinaison de 90° vers l'épaule droite suivant le plan frontal, on place les canaux horizontaux dans le plan sagittal. Le courant endolymphatique se produit dans ce plan et se dirige d'arrière en avant par rapport au plan frontal du sujet. Celui-ci éprouvera la sensation d'un déplacement s'effectuant d'arrière en avant et la chute se produira en avant
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