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1933-1934. -
Paris,
1933-1934.
Cote : 112580.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
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[Sans numérotation]
Image : Une salle de fabrication des pommades Inosepta et Inséva / Laboratoires de vérification des ampoules de vaccin après tyndalisation
[Sans numérotation]
Image : En haut, pemphigus épidémique, chez un nourrisson. L’examen des nombreuses bulles a révélé la présence de staphylocoques
[Sans numérotation]
Image : En bas, avec le traitement à la pommade Inosepta, la guérison est complète, l’éruption huileuse a disparu sans traces
[Sans numérotation]
Image : Ce bébé prématuré qui pesait 1500 gr. à la naissance, eut, au 20e jour, le bras gravement ébouillanté. Ses plaies s’infectèrent rapidement. On les traita par tamponnements quotidiens à l’éther suivis d’application de pommade Inosepta. Les photos représentent, en haut à gauche, l’état des bras le jour de l’institution du traitement ; en bas à gauche, les plaies en bonne voie de cicatrisation. Ci-contre après guérison complète
[Sans numérotation] Sommaire
Image : La campagne entre Saint-Amand-Montrond et Fosse-Nouvelle, dans la partie méridionale du département du Cher: une région paisible, amicale au promeneur
10-11 Berry, par Gaston Chérau
Image : [Berry] / A gauche, une vue de Bourges, ancienne capitale des Gaulois Bituriges, plus tard chef-lieu de la Première Aquitaine et successivement, ville épiscopale, siège d’un comté, d’un duché, capitale du résidu de royaume de Charles VII, lieu de naissance de Jacques Coeur, de Louis XI, de Jean Boucher... cité, entre toutes, d’art et d’histoire. - La route de Vatan à Vierzon. - Ci-dessous, le château de Meillant, du XVIe siècle
12-13 Berry, par Gaston Chérau
Image : Le canal latéral à la Loire aux environs de Bannay (route de Cosne à Bourges), région d’un charme doux et riant, aux jolies eaux tranquilles / Un hameau sur la route de Saint-Florent à Levet. Un tambour de ville berrichon, calme gars bien planté sur ses sabots et dans sa fonction
14-15 Berry, par Gaston Chérau
Image : [Berry] / A gauche, Saint-Denis près Issoudun. — En double page, vue d’Argenton-sur-Creuse, ville gracieuse bâtie sur les deux rives du cours d’eau, centre d’excursion d’un rare agrément. La vallée de la Creuse et celle voisine, de la Bouzanne, sont d’elles-mêmes attrayantes par Se caprice de leurs méandres et leur végétation ; en outre, poissonneuses ; enfin, elles conduisent à des sites des plus pittoresques, à travers un pays orné de châteaux et de vieux vestiges
16-17 Berry, par Gaston Chérau
Image : A gauche, les bords de l’Indre. — En double page, l’Eglise de Nohant, architecture rustique des XIIe et XIIIe siècles et, derrière les arbres, la maison de George Sand (qui y mourut en 1876) — ou château de Nohant, aujourd’hui converti en musée et propriété de l’Académie / A Crozant, une boucle de la Creuse, non loin de son confluent avec la Sédelle, aussi sauvage qu’elle en cette région. La vue de Crozant et de son château — l’ancienne forteresse imprenable — quand on suit la route de Cuzion à Éguzon, est celle d’un des sites les plus admirables de France
20 Contribution à l'étude de l'art mexicain d'aujourd'hui. Diego Rivera, par Élie Faure
Image : Ci-contre, « l’Esclavage », par Diego Rivera, fresque du palais public de Cuernavaca, rappel dramatique du temps où la récolte de la canne à sucre ne se faisait que sous la menace du châtiment corporel. — Page 21, autre fresque du même peintre, à l’Académie des Beaux-Arts de San - Francisco : « échafaudage peint à même le mur, comme posé sur le sol et qui divise la composition entière en rectangles... où chaque corps de métier est au travail... »
26-27 Serres de plantes grasses, par Jacques de Lacretelle
Image : [Serres de plantes grasses] / Quelques spécimens de cactées, l’un cultivé, les autres à l’état de nature : toutes formes « touchées par l’ange du bizarre » et généralement assez rébarbatives. « Nous ne sommes plus attirés par le joli ni par le rationnel, mais par la chose rare ou barbare. » C’est un fait que les cactées sont en vogue. Étrange symptôme ! …
28-29 Serres de plantes grasses, par Jacques de Lacretelle
Image : Après les turgescences, les arborescences compliquées, les « branches de chandelier », voici une plante chevelue, absalonienne, de son nom scientifique « céphalocereus senilis », et une autre, du genre « echinocactus » de ces faux oursins, qui ne sont pas moins extraordinaires
34-35 La maison de santé des gardiens de la paix, par le Dr F. Vallon
Image : Les gardiens, leurs femmes, leurs enfants sont hospitalisés et soignés dans des salles identiques : lumineuses, aérées, d’une tiédeur constante, avec des cloisonnements qui dispensent un peu de « chez soi » aux patients. Les salles d’enfants ont un petit privilège : des tableautins aux couleurs vives qui figurent Le Petit Poucet, Riquet à la Houppe, Barbe-Bleue, d’autres contes
42-43 Sur l'eau, par René de Laromiguière
Image : Belles pagayeuses et pagayeurs musclés affrontent à l’envi, depuis quelques années, aussi bien la mer que la rivière. Sur les plages, le moment où l’on lutte contre la lame est certainement le moment le plus pur de la journée, celui où l’on recouvre une innocence de primitif, d’ailleurs relative, pas tout à fait polynésienne, sous nos ciels moins édéniques que le ciel de Tahiti
8-9 Sommaire
Image : « Surplombant à pic... la vallée bleue d’eaux vives, noire de bois, verte de pâturages..., le farouche Beynac, ramassé, dense comme un bronze, plante ses crampons de pierre brune sur le socle de son rocher »
10-11 Châteaux en Périgord, par Elie Faure
Image : [Châteaux en Périgord] / A gauche, le château de Fénelon, lieu de naissance du « Cygne de Cambrai ». De la terrasse de ce noble monument des XVe et XVIe siècles, qui domine la vallée de la Dordogne, l’on découvre un vaste et beau panorama. Puis, une vue de la Vézère et Marzac, l’un des nombreux châteaux qui s’élèvent à proximité de cette rivière aux aspects changeants
12-13 Châteaux en Périgord, par Elie Faure
Image : Page 12, le manoir de Fayrac, des XVe et XVIe siècles, d’où le point de vue est superbe sur la Dordogne. À droite, le château de Carlux. En bas, le château de La Roque-Gageac. « Si les châteaux du Périgord sont beaucoup moins célèbres (que ceux de la Loire), c’est précisément que leur style est plus pur et plus sévère, plus enraciné... plus harmonisé au paysage même. » / « Des forteresses — observe encore le maître écrivain Elie Faure — plutôt que des châteaux. Des forteresses qui commencent à peine à respirer, non des demeures d’apparat qui obéissent à des impératifs mondains plus qu’aux rythmes sévères d’un accord à peine ébauché entre les exigences militaires et les premiers balbutiements d’une époque un peu moins farouche. »
14-15 Châteaux en Périgord, par Elie Faure
Image : Page 14, le château de Puy-Guilhem, ornement Renaissance, parmi bien d’autres édifices charmants ou sévères de la vallée de la Dronne. En double page, le château de Marqueyssac, du XVIIIe siècle, sur une colline en bordure de la Dordogne. Enfin, ci-dessous, le château de Salignac-Fénelon, du XIIe siècle, plusieurs fois remanié au cours des siècles suivants
20-21 Chez madame de Miramion. Le musée de la charité, par Raymond Escholier
Image : Ce que Raymond Escholier, à juste titre, appelle la merveille : la plus belle apothicairerie qui soit en France... Puis, dans l’autre page, au-dessus d’un splendide antiphonaire, l’un de ces poignants documents qui permettaient d’identifier, par le rapprochement de deux parties de lettre ou de deux moitiés de médaille, l’enfant autrefois abandonné au « tour »
23 Iles Baléares, par Paul Morand
Image : Marchandes majorquines, de cette race où la jeunesse est si belle et décline assez vite, comme une année qui n’aurait pas d’automne, presque pas d’été
24-25 Iles Baléares, par Paul Morand
Image : Le plus vieux moulin de Majorque, qui tourne encore aux environs d’Inca, au centre de l’île. D’une construction très primitive, sa roue est faite de planches plus ou moins équarries. — Une vue de Palma. — A droite, femmes de Majorque en beaux atours / [Iles Baléares]
26-27 Iles Baléares, par Paul Morand
Image : Femmes d’Ibiza. Les jeunes filles, dit-on, viennent à la ville une fois la semaine, en vertu d’une ancienne tradition, pour se montrer, en tout bien tout honneur, aux galants / En double page, maisons d’Ibiza. — A l’heure où le soleil est plus clément, la promenade du dimanche matin, qui attire à Ibiza beaucoup de jeunes et jolies campagnardes
32 Le fauconnier et la Hollande, par le Docteur Fernand Vallon
Image : Tel est « L’Enfant breton ». Daté de 1908, il correspond à cette période de jeunesse où Le Fauconnier sollicita les leçons de la Bretagne. À sa triste et rude école on apprend la construction, le mépris du léger, du joli. En se châtiant, on s’épure. On ne conçoit de peinture qui ne soit en profondeur. Si les âmes sont bien nées, elle les trempe pour la vie. Ainsi fit-elle de celles-ci : notre peintre et son modèle ont, l’un sur tout son oeuvre, l’autre dans ses yeux graves, la signature du professeur
33 Le fauconnier et la Hollande, par le Docteur Fernand Vallon
Image : A la faveur d’un long séjour au pays de Rembrandt, « les beaux musées hollandais ont rappelé à Le Fauconnier que la surface d’un tableau peut devenir très profonde et très précieuse, incorporer les couleurs les plus riches dans une sorte d’émail, sans que cette possibilité suffise à rendre le tableau chatoyant... sans que la composition perde en noblesse et l’expression en spiritualité». Ainsi parle Jules Romains et ceci commente assez l’église du Gros-Rouvre et le grand talent du peintre
34 Le fauconnier et la Hollande, par le Docteur Fernand Vallon
Image : Chaudes, fauves, très puissamment modelées, les aquarelles de ce peintre en se souvenant des lois de l’aquarelle sont très près de sa peinture. Même ampleur, même fixité d’expression. La concentration douloureuse des visages contraste avec la luxuriance des carnations
8-9 Sommaire
Image : « Le ciel qui n’était qu’un espace oiseux, s’emplit, se meuble, s’augmente, tellement qu’il devient plus important que la capitale qu’il domine; il l’humilie par des édifices plus dorés, par des terrasses plus hautes... »
10-11 La ville et l'univers, par Abel Bonnard
Image : [La ville et l'univers] / « La vie de l’Univers n’atteint et n’émeut d’ordinaire les très grandes villes que deux fois par jour, au commencement et à la fin de la journée » : moments de rêve, ou de regret…
12-13 La ville et l'univers, par Abel Bonnard
Image : Le fleuve, la place et le pont, changeants selon les heures, selon que l’Univers épand sur la Ville une lumière jeune et vive ou celle qu’a mûrie l’après-midi ou celle encore qui n’a pu rejeter ses voiles, tomber des deux dans sa nudité, semer des ombres nettes…
14-15 La ville et l'univers, par Abel Bonnard
Image : « Le crépuscule succède au couchant ; sur les toits assombris, un ciel suave fait honte à la terre. Après avoir été troublée par le soleil couchant, la ville est piquée par la première étoile. Puis, de nouveau, elle se sépare de l’Univers, s’enveloppe de ses lumières ». Au loin, la nuit!
18 Salon 1934, par Raymond Escholier
Image : Deux des portraits remarqués au Salon : Mlle S. V., par Van Dongen et Mme F. D. par Serveau : « visage grave et attendri », dans une «symphonie en blanc majeur »
20 Salon 1934, par Raymond Escholier
Image : « Mlle Colette de Jouvenel, la charmante Bel-Ghazou, dont les faits et gestes nous ont été contés par le plus grand écrivain de France — Colette »
25 Sèvres en France, par Eugène Marsan
Image : Un bloc de pâte informe a donné naissance, sur le tour, à la pièce de céramique. C’est l’ébauchage. Ici, en face, le tournassage : la pièce ébauchée, et ensuite séchée, vient d’être remise sur un tour, où on la ramène, à l’aide de calibres tranchants, au profil et à l’épaisseur qu’elle doit présenter avant la cuisson
26-27 Sèvres en France, par Eugène Marsan
Image : Certaines pièces de forme simple, au lieu d’être ébauchées sur le tour, sont obtenues par le procédé du « coulage ». Elles sont ensuite séchées et tournassées comme les autres. A gauche, une vue de l’atelier de « grand coulage ». Ci-dessous, perspective de tasses à café prêtes à cuire. Le nombre des pièces et les aîtres eux-mêmes révèlent, à Sèvres, la grande et ancienne maison, qui excelle dans l’objet d’usage aussi bien que dans l’oeuvre d’art
28-29 Sèvres en France, par Eugène Marsan
Image : A gauche, l’intérieur d’un four. Étagées en piles sur des plateaux, au sein des cylindres en terre réfractaire dont les sections mobiles se nomment des « cassettes », les pièces cuiront à l’abri de la flamme et des impuretés. Ci-dessous, l’ébauchage : du bloc de pâte jeté sur la plateforme, le tourneur, unissant l’action de ses mains habiles à l’effet mécanique de la rotation, crée la pièce à obtenir, dans son premier état
30-31 Sèvres en France, par Eugène Marsan
Image : Ouverte par tradition aux artistes de notre temps, la Manufacture a fait appel, cette année, à MM. Daragnès et Galanis, et à Mme Hermine David. À gauche, cette dernière travaillant à la décoration d’un plat. En haut, la reproduction, sur une forme de René Prou, d’une composition de Serrières
32-33 Sèvres en France, par Eugène Marsan
Image : Pour représenter la plus haute production de Sèvres, pour la résumer en deux symboles parfaits, ces deux exquises figures : la Flore accroupie de Carpeaux et l’une des Quatre Saisons de Paul Véra. La figure de Carpeaux est ici entourée de ses moules, chacun des 28 morceaux qui la composent étant pétri dans l’un de ces petits labyrinthes. Depuis le premier maniement du kaolin jusqu’à la dernière incitation de la flamme, le Génie de la porcelaine est bien la Patience
45 Roland Dorgelès, par Octave Béliard
Image : Roland Dorgelès, qui « eut le moyen de comprendre et le droit de dire... comment on était sain, dur, cordial,... comment il est possible désormais à ceux qui étaient là-bas de tout haïrde la guerre sauf le don enivrant qu’elle leur a fait de s’éprouver si humains et si purs. »
[Sans numérotation]
Image : La Cour de la Grande Mosquée de Kairouan, au-delà d’une grille qui pourrait être assez légitimement considérée comme un symbole. Elle n’arrête pas le regard, elle n’arrêterait pas une main tendue. L’Infidèle peut regarder au travers l’un des lieux les plus sacrés de l’Islam, un Musulman, de son côté, apercevoir, entre les S forgés, un Infidèle; tous deux sont capables, aujourd’hui, de dire ensemble: « Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté ! Point de contrainte en religion!»
10-11 La Tunisie, par Gabriel Hanotaux
Image : Zaghouan, dans une région tourmentée où s’arc-boutent les énormes contreforts rocheux du djebel Zaghouan. Au pied de la ville, de beaux jardins fruitiers tirent leur souriante richesse de la si rare bénédiction des eaux, ici nombreuses et vives. — En double page, le bassin de la Sebkha-es-Sedjoumi, près Tunis. — Page II, Tunis vue de la terrasse du Dar-El-Bey / [La Tunisie]
12-13 La Tunisie, par Gabriel Hanotaux
Image : Type d’indigène du Sud, à Foum-Tataouine : l’un de ces Arabes de la steppe méridionale qui en partie restent des nomades ou plutôt des demi-nomades, mais tendent à devenir sédentaires, à former de petits groupements de cultivateurs par une évolution très favorable à leur accession au progrès. — En double page, une rue du quartier juif de Tunis
14-15 La Tunisie, par Gabriel Hanotaux
Image : Les ruines de Dougga, à quelque cent kilomètres au sud-ouest de Tunis : l’un des plus beaux ensembles de vestiges romains — temples, débris d’aqueduc, forum, fortifications, colonnades, — qui se puissent rencontrer en Afrique du Nord. On les voit ici du haut des gradins du Théâtre, au premier plan d’un site grandiose
16-17 La Tunisie, par Gabriel Hanotaux
Image : Au sud-ouest de Kairouan, dans une région désertique, les ruines de Sbeïtia qui fut vers le VIIe siècle une grande cité. Ci-dessous, les trois arches de l’aqueduc antique, sur l’oued Sbeïtla / Une colonnade au théâtre de Dougga que fit construire un très opulent mécène au IIe siècle après J. -C. — Le portique à colonnes comme la décoration de la scène témoignent encore de son faste
18-19 La Tunisie, par Gabriel Hanotaux
Image : L’oasis de Nefta, au sud, non loin des bords du Chott Djérid. Plus de 200. 000 palmiers-dattiers y sont abreuvés par 150 sources. Les mosquées et les zaouïas de Nefta offrent un aspect monumental saisissant / Une rue de Kairouan qui fut le berceau de l’islamisme en Afrique lors de la conquête musulmane et qui est demeurée une ville sainte, un lieu de pèlerinage des plus importants, au demeurant très pittoresque
20-21 La Tunisie, par Gabriel Hanotaux
Image : A gauche, la cour de la grande mosquée de Kairouan. Dallée de marbre blanc, entourée de galeries à colonnes, cette cour, de vastes proportions, recouvre des citernes. Du haut du minaret carré, l’on découvre un paysage d’une grande et sévère beauté. En double page, la cour intérieure, bordée de portiques aux piliers trapus, du Ksar Er Ribat de Sousse, curieux édifice du IXe siècle. Ci-contre, charmeur de serpents à Kairouan
22-23 Sud-Tunisien, par Pierre Mac Orlan
Image : [Sud-Tunisien] / Gabès, sur la rive droite de l’Oued Gabès et au bord du vaste golfe que l’antiquité appelait la Petite Syrte. Une palmeraie de 200. 000 dattiers borde l’oued. La vigne et le tabac, l’olive, la grenade et l’abricot prospèrent aussi dans l’oasis. Ci-dessous, groupe d’enfants à Gabès
24-25 Sud-Tunisien, par Pierre Mac Orlan
Image : [Sud-Tunisien] / A gauche, la piste au sud de Foum-Tataouine : illimité chemin de l’Aventure. En double page, le Chott Djerid, l’une de ces dépressions, tantôt vides, tantôt à demi remplies d’eau saumâtre, qui, se succédant sur une longueur de 350 kilomètres, depuis le golfe de Gabès jusqu’en Algérie, avaient fait naître le projet d’un immense lac alimenté par la mer. Ici, cavaliers du Maghzen à Tataouine
26-27 Sud-Tunisien, par Pierre Mac Orlan
Image : Médenine, chef-lieu des territoires du Sud, poste militaire important sur la frontière tripolitaine, avec ses rhorfas, constructions voûtées qui sont des entrepôts ou des demeures. Au bas de la page 26, la synagogue de l'île de Djerba, et, ci-dessous, la mosquée
33 Marquet, par le Dr Fernand Vallon
Image : On entend sa peinture autant qu’on la voit. L’atmosphère de ce port nous a conservé dans son silence sonore le raclement des rames et ce cri d’oiseau que fait la poulie quand on amène la voile
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Image : [Marquet]
35 Marquet, par le Dr Fernand Vallon
Image : Mer, fleuve ou rivière, pour évoquer leurs eaux Marquet a le plus large et le plus pur lyrisme. Au pied de la cathédrale si solidement construite le doux fleuve s’attarde à caresser ses ponts et la rivière cerne d’une ombre bleue le fuseau de ses barques. La mer, enfin, accueille le jet de la jetée. Et sur le quai s’agitent les petits personnages du « cinéma de Marquet »