PrésentationMode d’emploiServices associésRéutilisations

Liste des pages

 
1935-1936. - Paris, 1935-1936.
Cote : 112580.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Nombre de réponses : 351 page précédente 251-351
22-23 Une journée dans le Liban, par Pierre Benoit
Image : La baie de Baniyas. Le port du même nom connut autrefois la prospérité, quand il exportait les bois des grandes forêts aujourd’hui anéanties. Il n’y a plus guère là que du ciel et de la mer, mais splendides
24-25 Héros inconnus, par J. J. Tharaud
Image : Village près d’Adana, assez loin des territoires sous mandat français. Mais l’on ne saurait évoquer la Syrie sans rendre hommage à ces troupes des «Théâtres d’opérations extérieures» dont on a si peu parlé. L’article rompt ce silence et, pour émouvoir, n’a qu’à laisser parler les faits
26 Héros inconnus, par J. J. Tharaud
Image : Un cimetière musulman, paré d’or blanc par le soleil oriental, mais sans un arbre, sans une fleur, marqué de cette sorte de quarantaine, de cette malédiction, de cette stérilité dont parle Paul Morand
28-29 La Reine de Palmyre, par Paule Henry-Bordeaux
Image : Une vue de Damas, capitale de la Syrie, ville de 300. 000 habitants, bâtie à une altitude encore assez élevée pour que l’été n’y soit pas trop lourd, et au milieu d’une oasis qu’arrose abondamment le «Fleuve d’or». Les mosquées de Damas, ses souks, ses jardins, sa population grouillante, en font un lieu que nul voyageur ne saurait plus oublier. À droite, la célèbre mosquée des Omayades
30-31 La Reine de Palmyre, par Paule Henry-Bordeaux
Image : A gauche, une rue de Salayeh, faubourg de Damas habité en partie par une population d’origine Kurde. C’est de ce faubourg, bâti à flanc de montagne, que l’on a la plus belle vue de Damas. Ci-dessous, fabrication de corde en poils de chameau
32-33 La Reine de Palmyre, par Paule Henry-Bordeaux
Image : Trois aspects de Damas : marchands avec leur âne porteur d'écheveaux de soie ; une maison de terre sèche et de bois ; une rue du quartier juif avec ses passants qui ne sont pas les mêmes que ceux de la rue très européenne de Salayeh. L’un des charmes de la ville réside dans sa diversité
34-35 La Reine de Palmyre, par Paule Henry-Bordeaux
Image : Les tombeaux de Palmyre et une colonnade de la ville jadis illustre et toujours majestueuse, jusque dans sa ruine. C’est là que Mme Paule Henry- Bordeaux est allée chercher le souvenir de Lady Stanhope. « C’est à Palmyre que j’ai tenu le fantôme entre mes doigts, au soir d’un long voyage entre le sable et le ciel brûlés. »
37 Le théâtre à Paris, par Henri Delorière
Image : De haut en bas, Ludmilla et Georges Pitoëff dans «La Folle du ciel»; Pierre Franck et Tania Balachowa dans « Taïa ». Croquis de La Rocha
38-39 Tristan Derème, par Octave Béliard
Image : Il ouvre ses volets au doux clair du matin, Ayant en vers rêvé le long de la nuitée, Continuant encore ce songe de devin, O Poète, qui fait ton âme émerveillée. — Derème, bien sûr, ne signerait pas cette « poésie », mais... il a le rythme contagieux
40 Tristan Derème, par Octave Béliard
Image : Tristan Derème n’aime rien tant que de prendre un neveu sur ses genoux, en se rappelant sans doute Patachou, et de goûter en famille la merveilleuse lumière béarnaise, par un beau jour de vacances d’été. Il aime bien qui il aime. Il appelle « mon faux-chien » l’hôte de son bras gauche
45 Corot et sa maison du lac, par le Docteur Fernand Vallon
Image : «Je suis allé d’abord à ces portraits qu’on méprisait tant, hier encore Le premier... fut celui de La Mélancolie, dont la largeur et la puissance... annoncent d’immenses possibilités»'
46-47 Corot et sa maison du lac, par le Docteur Fernand Vallon
Image : Luzancy et le Moulin à Vent, par Corot, vagabond génial de tant de routes de France et d’Europe, amant passionné de la Nature, défenseur de la vérité des formes et des valeurs, mais enveloppées de sentiment
4
Image : Le Dr René - A. Gutmann, médecin des hôpitaux de Paris, s'est adonné à l'étude du tube digestif à laquelle il a imprimé une orientation nouvelle. Il considère en effet que ni la médecine seule, ni la radiologie seule, ni la chirurgie seule ne peuvent résoudre beaucoup des problèmes que pose la pathologie digestive. Aussi ses travaux et son enseignement sont-ils fondés sur la centralisation de ces trois sciences. Placé à la Salpêtrière, où il collabore depuis quinze ans avec le Professeur Gosset, dans un actif carrefour de médecine, de chirurgie, de radiologie et de travaux de laboratoire, il a pu là, comme à l'Institut du Cancer avec le Professeur Roussy, et à l'Hôtel-Dieu, développer de façon féconde cette conception. Il a publié de nombreux travaux et plusieurs livres, dont un important traité de pathologie digestive : « Les Syndromes douloureux de la région épigastrique » où, pour la première fois, les faits cliniques, radiologiques et chirurgicaux sont exposés par un seul auteur
7 Quelques erreurs au sujet des ulcères, par René - A. Gutmann
Image : Poussées d’un mois tous les huit mois. On fait un traitement fin avril 1935. On pourrait dire : « Le malade a cessé de souffrir dès le début du traitement et, 8 mois après, il était très bien ; donc notre traitement a agi ». En réalité, on voit que le traitement n’a rien changé, ni à la longueur de la poussée, ni, jusqu’ici, à la longueur des intervalles libres / Dans ce cas, au contraire, le traitement semble avoir réellement agi : il a raccourci la période douloureuse et, 18 mois après, le sujet était toujours bien; notre traitement a changé le rythme de la maladie
9 Quelques erreurs au sujet des ulcères, par René - A. Gutmann
Image : Radio n° I. - Ce cas est donné à titre de schéma parmi d’autres semblables. Il montre comment se comporte en règle générale l’ulcère. - Un malade est radiographié en pleine poussée ulcéreuse : on trouve une niche typique sur la petite courbure / Radio n° 2. - Même malade, sans traitement, radiographié après la fin de la poussée ulcéreuse : la niche a spontanément disparu. Elle reparaîtra à la prochaine poussée, à moins qu'un traitement vraiment actif n’empêche le retour des poussées ultérieures
10-11 Les Baux de Provence, par A. T'Serstevens
Image : Ci-dessous, le promontoire des Baux, d’où l’on découvre toute la Basse- Provence. Une merveille de pittoresque, décrite de cette façon saisissante par t’Serstevens : « On dirait le socle de la Samothrace : une énorme proue rocheuse qui se dresse au- dessus des dernières ondulations des Alpilles. L’étrave domine de quelque cent mètres un cirque d'olivaies, gris-argent » / En double page, la plaine immense « où les oliviers créent de merveilleuses géométries ». À droite, l’église Saint-Vincent (vue du haut des ruines du Château des Baux), formée de trois nefs dont l’une date à peu près du IXe siècle, l’autre du XIIe et la troisième, avec ses croisées d’ogives, du XIVe ou XVe. L’on y entre, enfin, d’une place en terrasse, par un portail roman
12-13 Les Baux de Provence, par A. T'Serstevens
Image : A gauche, les derniers gradins des Alpilles descendant sur la plaine Ci-dessous, le donjon des Baux, du XIIIe siècle A droite, le village des Baux, jadis ville de 4. 000 âmes, dont le dépeuplement et la ruine commencèrent quand elle fut vendue par surprise à Charles d’Anjou avec la République d’Arles. Il en reste de précieux vestiges
14-15 Les Baux de Provence, par A. T'Serstevens
Image : A gauche, le charmant portail roman de l’Église Saint- Vincent, dont il a été fait mention plus haut. En double page, le Mausolée, très beau monument romain de la région, non loin de Saint-Rémy. À droite, l’hôtel des Porcelets (XVIe siècle) « où chaque pierre est une pensée humaine » : l’une des maisons les mieux conservées du petit village des Baux
16-17 Les Baux de Provence, par A. T'Serstevens
Image : En page gauche, l’hôtel de Manville (XVIe siècle) qui « avec ses fenêtres bouchées et son patio coupé dans sa hauteur, reste tout de même une demeure blasonnée ». Ci-dessus, un aperçu de la délicieuse petite ville de Saint-Rémy, aux arbres magnifiques, patrie de Nostradamus et de Roumanille. À droite, la rue de Lorme, au pied du donjon des Baux
18-19 Le geai, par Gaston Chérau
Image : Voici les portraits très instantanés d’un geai inquiet (ou qui à froid ?), d’un geai combatif (ou vexé d’avoir eu peur ?) et enfin, d’une jeune pie rêveuse. Voici surtout une histoire de geai et de piégeage, une de ces histoires de plein air où M. Gaston Chérau, grand romancier de moeurs et de caractères humains, pousse si loin l'observation des moeurs animales
20-21 Le geai, par Gaston Chérau
Image : « Quand le froid le surprend, il se trouve assez sot. Dès que la saison chaude dégringole, il suit la course du soleil. Voilà pourquoi il arrive dans les premiers au rendez-vous des pinadas, au rendez- vous aussi des antiques surèdes (bois de surriers) dont les glands noirs poussent leur oeil clair sous le tapis des feuilles sèches » / « Le geai, un fameux garnement et, malgré son bon manteau, un oiseau si frileux ! On n’a pas noté qu’il n’établissait jamais son nid dans un courant d’air, que la fourche qu’il choisissait était à l’abri des coups de vent et qu’il avait de la prédilection pour les combes bien exposées, un peu humides, mais tièdes. »
22-23 La légende des oiseaux, par André Demaison
Image : Page 22, un rouge-gorge, une fauvette sur son nid et quatre fauvettes sur une branche. Ci-dessus, le bruant des roseaux. Tous ces petits êtres de l’air sont, avec les fleurs, ce que la nature nous offre de plus adorable. Il faut dire tant qu’il n’est pas trop tard : “ Que les oiseaux seront beaux lorsqu’ils auront disparu"!
24-25 La légende des oiseaux, par André Demaison
Image : En page gauche, choucas ; ci-dessus, vol d’étourneaux ; en bas, hirondelle. Quand les oiseaux auront disparu, « il y aura une chaire d’ornithologie ancienne à la Sorbonne. Le professeur enseignera qu’il existait environ huit mille espèces d’oiseaux, depuis les autruches, les nandous... jusqu’aux oiseaux mouches... »
26-27 La légende des oiseaux, par André Demaison
Image : L’on verra les arbres en proie aux insectes, quand ceux-ci ne seront plus eux-mêmes la proie des oiseaux, présentement nos alliés, et l’une des plus précieuses poésies du Monde. L’un des rares cas où la beauté va de pair avec l’intérêt ! Il faut donner l’alarme
28-29 La légende des oiseaux, par André Demaison
Image : Un arbre tragique et puis un vol de sauterelles. « Comme au début des âges, lorsque la matière de la terre appartenait aux monstres et aux infiniment petits, l’équilibre de la nature sera rompu par l’invasion des insectes rampants qui auront conquis le domaine des racines, par l’invasion des insectes ailés qui seront les seuls occupants naturels de l’espace. »
30-31 La légende des oiseaux, par André Demaison
Image : Des mouches, une fourmi, que le grossissement fait voir sous leur aspect de monstres. Et encore la taille qu’ont ces monstres ici est-elle sans nulle proportion avec le pouvoir exécrable qu’ils tirent de leur pullulement. Détail curieux: ce n’est pas une prairie qu’explorent ces mouches, ce sont des cheveux. Ci-contre et ci-dessous, des lucanes, des chenilles
32-33 Le pavillon de la Reine, par Lucie Delarue-Mardrus
Image : Mme Delarue-Mardrus habite plusieurs mois de l’année un pavillon au- dessus de l’estuaire de la Seine. Là comme à Paris, la célèbre Normande ne cesse d’être créatrice, qu’elle écrive un roman, une mélodie, qu’elle peigne, ou qu’elle donne leur forme à ces poupées, à ces petits chefs-d’oeuvre de vérité anatomique — et de grâce, que l’on peut admirer en ce moment à la Section d’art décoratif des Artistes Français
35 Les Lebasque, par le Docteur Fernand Vallon
Image : H. Lebasque. « Le peintre, écrit Vallon, me montrera ses nus, toutes ces exquises petites bonnes femmes, comme le XVIIIe, seul, en connut. Voilée par les dentelles, la lumière butine ces fleurs de chair »
36-37 Les Lebasque, par le Docteur Fernand Vallon
Image : Les Lebasque, « c’est une dynastie. Mais nous n’en évoquerons que deux aujourd’hui, le père et le fils... Pierre, lui, me montrera ses céramiques. Car de la sculpture il est passé à l’art du feu avec toutes les qualités paternelles. De quels yeux ardents et fins il sait regarder ses modèles : rascasses, raies... et les murènes tragiques de Vedius Pollion»
38-39 André Josset, par Octave Béliard
Image : Le Dr Josset qui, d’un coup, avec son "Elizabeth", gagna la célébrité littéraire. On le voit « dans son cabinet paisible dont les baies s’ouvrent sur le parc de l’ancien couvent des Oiseaux. »
45
Image : Danièle Parola dans «Sous les yeux d’Occident»
[Sans numérotation] Le théâtre à Paris, par Henri Delorière
Image : Par La Rocha : de haut en bas, Mme Mary Marquet et M. Aimé Clariond dans «Hedda Gabier»; MM. Rozenberg, Dréan et Pauley dans « Trois hommes sur un cheval. »
4
Image : Le Dr Henri Mondor chirurgien de l'hôpital Bichat, professeur agrégé à la Faculté de Médecine, auteur de ces ouvrages : Le Cancer du Rectum, Les Ulcères perforés de l'Estomac, Les Arthrites gonococciques, Les Avortements mortels, Diagnostics urgents. À propos des Avortements mortels, on lit dans le Journal des Praticiens ces lignes signées du professeur Noël Fiessinger : « L'auteur tire de tout un enseignement profitable.... Je l'ai déjà dit autrefois, Mondor représente dans un type de perfection le clinicien français dont la science méthodique et ordonnée conserve de la vie et de la couleur. Lisez, en particulier, la description inoubliable de la péritonite par large perforation d’utérus infecté. Il y a là deux pages d'un relief saisissant : la contracture abdominale, en particulier, est étudiée avec la méthode et la maîtrise des grands maîtres classiques ». L'on sait, à l'Hôpital Bichat et ailleurs, ce que représente le Dr Mondor en tant que praticien. En ce qui concerne le clinicien et l'écrivain didactique, le professeur Noël Fiessinger semble bien avoir, en peu de mots, tout dit
6 Figure de chirurgien. Charles Walther 1855 - 1935, par Henri Mondor
Image : Le Docteur Henri Mondor a consacré à son maître Ch. Walther quelques pages émues ; nous sommes heureux de publier ce fragment
8-9 La poésie de la maison, par Abel Bonnard
Image : [La poésie de la maison]
10-11 La poésie de la maison, par Abel Bonnard
Image : L’on a vu, aux pages 8 et 9, une maison basque et une maison majorquinne. L’on voit ici, de gauche à droite, un petit château de la douce Touraine, une placette allemande (où la vie est sans doute « à l’intérieur ») et une fort jolie ferme normande, bâtie sur un coteau de Saint-Cloud, mais qui n’en est pas moins identique à l’habitation de quelque herbager du Calvados
12-13 La poésie de la maison, par Abel Bonnard
Image : Ci-dessous, une rue de village espagnol, où l’on a « pour palais le beau temps ». « En double page, de vieux toits, qui durent tous cacher tant de joies et tant de douleurs. – En page droite, un cercle de famille, dans la lumière, la chaleur et la sécurité gardées par quatre murs
14-15 La maison du midi, par Colette
Image : Une vraie maison de Provence, sur le plateau de Valensole. «Comme la maison bretonne, comme tout édifice gouverné par le climat, la demeure méridionale a de petits yeux. En Provence, l’autochtone se gare de l’excès de lumière, rétrécit le passage du soleil et de l’insecte ». Les méridionaux, cependant, aiment bien la lumière, mais celle du dehors, que tamise un arbre, et quand le plus lourd de la chaleur est tombé
16-17 La maison du midi, par Colette
Image : De gauche à droite, un mas à Saint-Cyr-sur-Mer, une maisonnette aux environs d’Aix-en-Provence et une rue de Saint- Tropez, l’une des petites patries d’élection de la grande Colette. La maison provençale « craint le soleil, cligne des fenêtres pour un rien, pour une tiède matinée de janvier... Au fort du jour, elle se referme comme une fleur offensée, se tait... »
18-19 Modestie, vertu de la maison rustique, par le Docteur F. Vallon
Image : A gauche, une maison en Vendée, et, en double page, une fenêtre ouverte à la suavité tourangelle. « La maison des champs doit être au gré de la nature. Elle s’adaptera le plus ingénument possible à l’ambiance, au climat, au génie du lieu. Elle et son jardin garderont le goût du terroir, si précieux à nos yeux citadins. Aux champs, c’est le jardin qui fait la maison »
20-21 Au coeur de la France. Une maison, par Eugène Marsan
Image : Demeures dans l’Ile de France. L’on voit, à gauche, «l’une de ces maisons idéales du coeur de la France, peu séparées de la route et qui, dans cet espace moyen, ont disposé quelques arbres qui ne vont pas jusqu’à former une allée, parce qu’on n’est pas tout à fait un château. »
22-23 Au coeur de la France. Une maison, par Eugène Marsan
Image : Aspects de Poissy, de Chantilly. " N'oublie pas la loi suprême des demeures de France. Qu'elles sont accueillantes, riantes. Ni elles ne s'étaient, ni elles ne se dissimulent. Si je domine à mi-côte, je suis moi-même dominé
24 Au coeur de la France. Une maison, par Eugène Marsan
Image : Toujours en Ile de France. «Ces parages, les siècles classiques les ont marqués de leurs caractères, à la fois pondérés et hardis. Leurs caractères, au pluriel. Je n’ai gardé d’oublier leurs signes distincts »
27 La maison Fardée, par René Séguy
Image : Château marocain, fermé au soleil comme une demeure provençale, fermé aussi aux curiosités de l’Infidèle. « Le Français n’y saisit guère de traits de l’âme orientale. L’Islam dresse un écran opaque »
28-29 La maison Fardée, par René Séguy
Image : Une rue de Fez et une femme de Marrakech, de condition modeste. « Une femme de qualité ne sort pas de sa maison, sauf pour une fête de famille ou pour une visite de condoléance, et « l’impureté » de sa nature lui interdit presque la mosquée. »
32-33 Mon chalet, par André Thérive
Image : «Ma maison des champs ne saurait être qu’une maison de montagne, car la solitude rustique m’accable si elle n’est meublée par un vaste paysage minéral. Certes, celui-ci n’a pas plus d’âme que les autres sites de la nature. Mais il me donne mieux, à moi, la vision du monde que je souhaite. »
37 Au petit palais. Découverte du baron Gros, par Raymond Escholier
Image : Un détail du tableau de Versailles. « Louis XVIII quittant les Tuileries». La nuit du 19 mars 1815 attend Napoléon
38 Au petit palais. Découverte du baron Gros, par Raymond Escholier
Image : A gauche, détail du fameux « Champ de bataille d’Eylau ». Le personnage tout en haut de ce fragment est Larrey, chirurgien en chef de la Grande Armée. - Le délicieux portrait de petite fille est de Guérin qui, avec quelques autres artistes de la même époque, ajoute encore à l’intérêt de la très belle Exposition de l’oeuvre du baron Gros. À droite, un fragment des « Pestiférés de Jaffa » le médecin-major Masclet atteint de la peste
40 Au petit palais. Découverte du baron Gros, par Raymond Escholier
Image : A gauche, le page de Napoléon, détail du tableau dit « L’entrevue des Empereurs » (Napoléon Ier et François II, père de Marie-Louise) - autre chapitre d’Histoire
43 Le théâtre à Paris, par Henri Delorière
Image : De haut en bas, Mmes Madeleine Renaud, G. Casadesus et Monique Rolland ; MM. Tramel et Ledoux. Croquis de la Rocha
45 Pierre Benoit, par Octave Béliard
Image : Pierre Benoit, explorateur de Cités des Livres, qui un jour leur préféra des sites plus aérés, des villes, des campagnes, des êtres vivants. Il sut toujours lui- même, d’ailleurs, créer de la vie
46-47 Pierre Benoit, par Octave Béliard
Image : L’auteur de « Koenigsmark» et de «La femme de l’Ouest «semble bien prendre ici, selon l’expression méridionale citée par Octave Béliard, « le bon de l’air ». Ici, justement, c’est Saint-Céré, la charmante petite ville quercynoise où l’éminent écrivain a l’un de ses havres
Nombre de réponses : 351 page précédente 251-351