Image : Fig. 1. Base du cerveau avec vésicules parasitaires

Image : Cysticercose cérébro-spinale (Redalié)

Image : Fig. 1. 1. Ouverture du c. c. dans le c. a. - 2. Conduit du c. a. à l'utricule. - 3. Conduit du c. p. à l'utricule. Labyrinthe de Torpedo marmorata (schéma d'après un dessin de Retzius). Le canal vertical antérieur et le canal vertical postérieur sont circulaires et non semi-circulaires et ne communiquent pas entre eux ; ils ne se déversent dans le vestibule que par deux conduits latéraux. Le canal horizontal s'ouvre par ses deux extrémités dans le canal vertical antérieur

Image : Fig. 2. Le sujet est assis sur le plateau . Le plateau tourne dans le sens des aiguilles d'une montre. A l'arrêt, les crêtes des canaux horizontaux sont excitées par un courant endolymphatique dirigé dans le sens des aiguilles d'une montre, ampullipète à gauche, ampullifuge à droite. A l'autre extrémité de l'arc réflexe apparaît un nystagmus horizontal dont la secousse lente se fait dans le sens des aiguilles d'une montre, c'est-à-dire vers la droite. Elle est déterminée par la contraction du droit externe et du droit interne gauche, muscles homologues et de nom contraire / Fig. 3. Le sujet est en décubitus dorsal sur le plateau. Le plateau tourne dans le sens des aiguilles d'une montre. A l'arrêt, les crêtes des canaux verticaux antérieurs sont excitées par un courant endolymphatique dirigé dans le sens des aiguilles d'une montre et qui est ainsi ampullipète à gauche, ampullifuge à droite. A l'autre extrémité de l'arc réflexe apparaît un nystagmus rotatoire dont la secousse lente est dirigée dans le sens des aiguilles d'une montre. Elle est provoquée par le grand oblique à droite et par le petit oblique à gauche

Image : Fig. 4. Le sujet est dans le décubitus latéral droit. Le plateau tourne dans le sens des aiguilles d'une montre. A l'arrêt, les canaux verticaux postérieurs sont parcourus par un courant endolymphatique dirigé dans le sens des aiguilles d'une montre et ampullipète dans les deux canaux. A l'autre extrémité de l'arc réflexe apparaît un nystagmus vertical dont la secousse lente est dirigée dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre et provoquée par la contraction des droits supérieurs. Les canaux verticaux antérieurs déterminent un nystagmus frontal ; les canaux verticaux postérieurs, un nystagmus sagittal. Trop d'auteurs désignent les canaux de façon inverse : le C. V. A. devient à tort le canal « sagittal » et le C. V. P. le canal « frontal »

Image : Fig. 1. [Hémianesthésie bilatérale d'origine cérébrale ; persistance de la sensibilité dans des zones à topographie pseudo-radiculaire] / Fig. 2. [Hémianesthésie bilatérale d'origine cérébrale ; persistance de la sensibilité dans des zones à topographie pseudo-radiculaire]

Image : Fig. 3. [Hémianesthésie bilatérale d'origine cérébrale ; persistance de la sensibilité dans des zones à topographie pseudo-radiculaire]

Image : Fig. 1. [Dystrophie crânienne rappelant l'oxycéphalie]

Image : Fig. 2. [Dystrophie crânienne rappelant l'oxycéphalie]

Image : Lipodystrophie progressive (Walter M. Kraus)

Image : Lipodystrophie progressive (Walter M. Kraus)

Image : Fig. 1. [Contribution à l'étude du réflexe plantaire pathologique]

Image : Fig. 2. [Contribution à l'étude du réflexe plantaire pathologique]