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1930, vol 1. - Paris : Masson , 1930.
Cote : 130135.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
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254 Société de neurologie de Paris. Séance du 6 février 1930. Un cas de nanisme hypophysaire (tumeur de la poche de Rathke), amélioré par la radiothérapie, par G. Roussy et J. Bollack
Image : 19 décembre 1928. - Rétrécissement temporal assez régulier, s'étendant à 15e sur le méridien horizontal ; couleurs bien perçues dans le champ nasal
255 Société de neurologie de Paris. Séance du 6 février 1930. Un cas de nanisme hypophysaire (tumeur de la poche de Rathke), amélioré par la radiothérapie, par G. Roussy et J. Bollack
Image : 12 juillet 1929. - Agrandissement du champ temporal dans sa partie inférieure ; 45° au méridien de 135° et à l'horizontal ; couleurs perçues dans le secteur inféro-temporal
256 Société de neurologie de Paris. Séance du 6 février 1930. Un cas de nanisme hypophysaire (tumeur de la poche de Rathke), amélioré par la radiothérapie, par G. Roussy et J. Bollack
Image : 5 février 1930. - Agrandissement du secteur infero-temporal = 60, 65° ; perception normale des couleurs. Agrandissement discret du champ temporal sup. = 30°, et perception des couleurs
339 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 1. Deux chiens décérébellés, l'un pesant 6 kilos, l'autre 9 kg., marchant avec un sac de 5 kilos 1/2 sur le dos
341 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 2. 1, 2. Chien décérébellé tenu en l'air, l'animal ne montre pas d'oscillations, lorsque le tronc pend passivement vers le bas (1), non plus lorsque l'animal tient le corps activement levé (2). 3, 4. Autre chien décérébellé soutenu en l'air dans la position dorsale ; également pas d'oscillations. 5, 6. Troisième chien décérébellé. Les oscillations, qui font défaut l'animal étant tenu en l'air (1), reviennent immédiatement dès que les pattes reposent sur le sol (2). Comme le démontrent les n°s 2-5, les muscles du tronc n'accusent pas d'atonie chez les animaux décérébellés soutenus en l'air
342 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 3. Schéma du réflexe myopatique de Sherrington et Liddell
344 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 5. Réaction de l'aimant / Fig. 6. 1. L'animal tenu en l'aire présente une flexion des 4 membres et une incurvation du dos. 2. L'attouchement de la plante des 4 pieds déclenche la réaction de l'aimant précédemment étudiée. 3. L'observateur ne fait pas seulement un attouchement, mais exerce une pression énergique sur les plantes
346 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 8. Chien normal en station debout / Fig. 9. 1, 2. Chien décérébellé tenu en l'air, 1 sans, 2 avec un sac de sable pesant 5 kilos 1/2, sur le dos. 3, 4. L'animal placé sur le sol. Les pattes accusent une extension exagérée, tandis que le dos a pris une courbure convexe
347 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 10. 1. Chien décérébré debout, passivement soutenu du côté droit. 2. Chien décérébellé debout / Fig. 11. 1. Chien thalamique (hémisphères cérébraux extirpés) couché sur le dos. 2. Dans cette position ni l'attouchement, ni la pression sur les plantes des pieds ne provoquent l'apparition du tonus de soutien ; les pattes ne sont pas en extension, mais restent fléchies. 3. Placé debout la contrepression provoque immédiatement un tonus de soutien suffisamment fort pour soutenir le corps. 4. En prenant un pli de la peau du dos le tonus de soutien disparait et les 4 pattes s'affaissent
348 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 12. 1. Chien décérébellé couché sur le dos. 2. En touchant la plante de la patte postérieure droite, celle-ci va en extension, comme attirée par le doigt, et se raidit. 3. En touchant les deux plantes, les deux pattes postérieures vont en extension. 4. Réaction de l'aimant chez un autre chien décérébellé, couché sur le dos
349 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 13. 1. Chien décérébellé, couché sur le dos, le museau dirigé en haut. 2. L'animal soulève une planche chargée de 3 kilogrammes, placée sur la plante des pattes fléchies / Fig. 14. 1. Chien placé debout sur la patte antérieure droite ; la patte en position moyenne, le pied fixé sur le sol. 2. Le tronc déplacé passivement vers le côté droit ainsi que la patte va en adduction. Le tonus de soutien disparait et la patte s'affaisse. 3. Le tronc déplacé en arrière ainsi que la patte est dirigé en avant ; le tonus de soutien disparait également. 4. Le tronc déplacé en avant, encore affaissement de la patte, qui se fléchit dans le coude
350 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 15. La réaction du saut à cloche pied en dehors chez un chien décérébellé
351 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 16. Réaction du saut à cloche-pied en avant chez un chien décérébellé
352 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 17. 1. Chien (décérébellé les yeux fermés) placé avec la patte antérieure droite sur une bascule. Le tonus de soutien de la patte, qui est placé en forte abduction, est presque nul. 2. Le tronc est remué passivement vers le côté droit, ainsi que l'abduction diminue. Le tonus de soutien augmente, le coude s'étend, la patte va en extension et s'arc-boute en dehors, ainsi que la bascule devient renversée. 3. Lorsque la patte a atteint la position moyenne, le tonus de soutien et l'extension sont encore plus fortes
354 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 19. Réactions de s'arc-bouter chez des chiens thalamiques / Fig. 20. Réactions de s'arc-bouter chez des chiens décérébellés
355 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 21. Troubles des réactions de s'arc-bouter et du saut à cloche-pied le premier temps après l'hémi-extirpation du cervelet
356 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 22. Influence de la position de la tête sur le tonus de soutien des pattes postérieures
357 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 23. Influence de la position du cou sur le tonus de soutien des pattes postérieures
358 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 24. Influence de la position du dos sur le tonus de soutien des pattes postérieures
359 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 25. Influence de la position d'une patte sur le tonus de soutien de la patte opposée
360 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 26. Influence de la position des pattes antérieures sur le tonus de soutien des pattes postérieures
365 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 30. 1, 2. Mouvements hypermétriques pendant la marche. La patte droite est levée trop haut et le bassin montre une rotation exagérée vers le côté gauche. 3, 4. Les mêmes mouvements hypermétriques chez un malade ayant une blessure du lobe gauche du cervelet, levant la jambe gauche pendant la marche à quatre pattes. (D'après André Thomas)
367 Mémoires originaux. Expériences sur la physiologie du cervelet, par le Professeur G. G. J. Rademaker...
Image : Fig. 32. Chien, chez lequel le cervelet et l'hémisphère droit sont extirpés, couché sur le dos, le museau tenu passivement en direction ventrale
411 Société de neurologie de Paris. Séance du 6 mars 1930. Sur le procès-verbal. Trois cas de tumeurs de la poche crâniopharyngée opérés et guéris, par MM. Clovis Vincent, Marcel David, et Pierre Puech
Image : Fig. 18 et 19. A gauche. - Observation III. - Partie verruqueuse de la paroi du kyste / A droite. - Observation III. - Partie de la figure précédente à un plus fort grossissement
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