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1932, vol 1. - Paris : Masson , 1932.
Cote : 130135.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
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455 Société de neurologie de Paris. Séance du 18 février 1932. Hémiplégie de type dit hystérique ou pithiatique, manifestation initiale d'un gliome du corps calleux. Etude clinique, par M. A. Rouquier. Etude anatomique, par MM. J. Lhermitte et J. Trelles (Travail du laboratoire de la fondation Dejerine)
Image : Fig. 4. (Coupe n° 36.) La tumeur apparait plus limitée. Démyélinisation des piliers antérieurs du trigone. Aspect normal de la capsule interne du cortex / Fig. 5. (Coupe n° 58.) La tumeur est plus petite, nettement localisée au corps calleux
456 Société de neurologie de Paris. Séance du 18 février 1932. Hémiplégie de type dit hystérique ou pithiatique, manifestation initiale d'un gliome du corps calleux. Etude clinique, par M. A. Rouquier. Etude anatomique, par MM. J. Lhermitte et J. Trelles (Travail du laboratoire de la fondation Dejerine)
Image : Fig. 6. Protubérance. Aspect à peu près normal, malgré l'infiltration gliomateuse non visible avec cette méthode (Loyez Weigert) / Fig. 7. Bulbe aplati, particulièrement au niveau des pyramides
522 Société de neurologie de Paris. Séance du 3 mars 1932. A propos d'un cas de syringomyélie avec galactorrhée et ileus postopératoire, par MM. G. Roussy, Chastenet de Gery et Mosinger
Image : Fig. 1. Coupe transversale de la moelle au niveau du renflement cervical, montrant l'étendue de la cavité syringomyélique
527 Société de neurologie de Paris. Séance du 3 mars 1932. A propos d'un cas de syringomyélie avec galactorrhée et ileus postopératoire, par MM. G. Roussy, Chastenet de Gery et Mosinger
Image : Fig. 6. Vue d'ensemble de la glande mammaire à un faible grossissement, montrant la sclérose intense et les formations kystiques
533 Société de neurologie de Paris. Séance du 3 mars 1932. Addendum à la séance du 14 janvier 1932. Syringomyélie reconnue à la suite d'un phlegmon de la main chez un ouvrier cimentier par MM. E. Krebs et H. Berdet
Image : Fig. 1. Schéma de sensibilité (La ligne supérieure des troubles sensitifs sur le thorax est, par erreur, indiquée un peu trop haut. Ils ne dépassent pas la ligne bi-mamelonnaire)
578 Mémoires originaux. Pharmacologie du tonus musculaire, par Frédéric Bremer...
Image : Fig. 1. Les trois constituants schématiques du myogramme isométrique du réflexe contralatéral d'extension du chat décérébré / Fig. 2. A et B. Réflexes d'extension du gastrocnémien-soléaire du chat, provoqués par la faradisation maximale du sciatique contralatéral
579 Mémoires originaux. Pharmacologie du tonus musculaire, par Frédéric Bremer...
Image : Fig. 3. Atonie novocaïnique. - Réflexes contralatéraux d'un chat décérébré / Fig. 4. Atonie novocaïnique. - Abolition du réflexe tendineux
580 Mémoires originaux. Pharmacologie du tonus musculaire, par Frédéric Bremer...
Image : Fig. 5. Atonie curarique. - Réflexe contralatéral (myogramme isométrique) du gastrocnémien-soléaire du chat
581 Mémoires originaux. Pharmacologie du tonus musculaire, par Frédéric Bremer...
Image : Fig. 6. Atonie curarique. - Réversibilité du phénomène. Réflexe contralatéral du vasto-crural du chat décérébré. Myogrammes isotoniques
582 Mémoires originaux. Pharmacologie du tonus musculaire, par Frédéric Bremer...
Image : Fig. 7. Atonie curarique. - Réflexe rotulien du chat décérébré, avant (A) et au cours de la curarisation légère (B)
583 Mémoires originaux. Pharmacologie du tonus musculaire, par Frédéric Bremer...
Image : Fig. 8. Action élective de la curarisation légère sur la rigidité tétanique locale
586 Mémoires originaux. Pharmacologie du tonus musculaire, par Frédéric Bremer...
Image : Fig. 9. Action de l'adrénaline sur l'atonie curarique. Réflexe contralatéral d'extension du chat. Myogrammes isométriques
597 Mémoires originaux. La zone de jonction myoneurale à l'état normal et dans quelques cas pathologiques, par R. Noel et B. Pommé (Institut d'histologie de la Faculté de médecine de Lyon)
Image : Fig. 3. Plaque motrice vue en coupe oblique. - Disparition du chondrome après action du faradique (Regaud ; hématoxyline ferrique)
608 Mémoires originaux. La zone de jonction myoneurale à l'état normal et dans quelques cas pathologiques, par R. Noel et B. Pommé (Institut d'histologie de la Faculté de médecine de Lyon)
Image : Fig. 5. Même observation que celle de la figure 4. - Lésions en pleine évolution ; le chondriome a presque complètement disparu ; il n'est plus représenté que par quelques rares mottes peu sidérophiles irrégulièrement disséminées dans la sole, autour des noyaux fondamentaux (Regaud ; hématoxyline ferrique)
609 Mémoires originaux. La zone de jonction myoneurale à l'état normal et dans quelques cas pathologiques, par R. Noel et B. Pommé (Institut d'histologie de la Faculté de médecine de Lyon)
Image : Fig. 6. Même observation. Lésions complètement évoluées ; disparition totale du chondriome de la sole protoplasmique (Regaud ; hématoxyline ferrique)
621 Société de neurologie de Paris. Séance du 7 avril 1932. Communications et présentations. La dégénération hypertrophique des cellules de l'olive bulbaire chez le vieillard, par MM. J. Lhermitte et J.-O. Trelles
Image : Fig. 3. Hypertrophie des cellules olivaires ; prolifération monstrueuse des astrocytes ; épaississement des dendrites (Bielschowsky modifié par Trelles)
639 Société de neurologie de Paris. Séance du 7 avril 1932. Communications et présentations. Note sur quelques réactions labyrinthiques des extrémités chez l'animal et chez l'homme. Etude physiologique et clinique, par MM. G.-G.-J. Rademaker et Raymond Garcin
Image : Fig. 1. Chien normal. Rotation rapide, arc-boutement physiologique des extrémités destiné à maintenir l'équilibre / Fig. 2. Chien délabyrinthé. Rotation rapide, absence des réactions d'équilibre. L'animal est projeté comme une masse inerte / Fig. 3. Chien délabyrinthé. Rotation rapide antéro-postérieure autour de l'axe bitemporal. Absence des réactions compensatrices d'équilibre
646 Société de neurologie de Paris. Séance du 7 avril 1932. Communications et présentations. Note sur quelques réactions labyrinthiques des extrémités chez l'animal et chez l'homme. Etude physiologique et clinique, par MM. G.-G.-J. Rademaker et Raymond Garcin
Image : Dans ces 3 figures (13, 14, 15) on voit avec netteté que, contrairement aux réactions physiologiques, le corps n'est pas porté en arrière par les réactions des extrémités. Les cuisses forment un angle obtus avec le tronc, les épaules restent sur la verticale passant par les poignets. La chute est souvent inévitable et la malade de la figure 15 est en train de tomber sur le nez
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