Image : Fig. 1. Syringomyélie. En plein gliome. Anneaux névrogliques. Congélation. Nitrate d'argent. 700 D / Fig. 2. Syringomyélie gliome, sous la membrane papillaire. Terminaison névroglique double, en lunettes. Congélation 700 D / Fig. 3. Nerf optique dégénéré. Terminaison névroglique en anneau. Congélation. Nitrate d'argent. 400 D. / Fig. 4. Nerf optique dégénéré. Terminaison névroglique autour d'un corps amyloïde. Congélation. Nitrate d'argent. 400 D / Fig. 5. Syringomyélie. Bourgeon gliomateux intracavitaire. Terminaisons simples. Terminaisons doubles (en « loup »). Terminaison pleine. Gonflement des fibres. Fibrillation. Paraffine. Hématoxyline, 800 D / Fig. 6. Syringomyélie. Bourgeon gliomateux intracavitaire. Au centre, terminaison pleine. Paraffine. Hématoxyline. 800 D

Image : Fig. 7. Syringomyélie. Sous la membrane conjonctive. Terminaisons névrogliques. Coupe longitudinale. Congélation. Hématoxyline. 600 D / Fig. 8. Nerf optique totalement dégénéré. Terminaisons névrogliques. Coupe longitudinale, à congélation. Nitrate d'argent, 750 D

Image : Fig. 1. [Amyotrophie du type Charcot-Marie à début tardif. Prédominance familiale dans le sexe féminin]

Image : Fig. 2. [Amyotrophie du type Charcot-Marie à début tardif. Prédominance familiale dans le sexe féminin]

Image : Fig. 1. Gaines de Schwann juxtaganglionnaires imprégnées par la méthode chromo-argentique d'Hortega

Image : Fig. 2. Détails du réseau protoplasmique des gaines de Schwann juxtaganglionnaires. Imprégnation chromo-argentique d'Hortega

Image : Fig. 3. Deux tubes nerveux intraganglionnaires montrant plusieurs anneaux de Segall et une armature oligoglique à fibres grêles et spiralées. Imprégnation chromo-argentique d'Hortega

Image : Fig. 4. Réseaux oligogliques péritubulaires de deux fibres intraganglionnaires

Image : Fig. 5. Oligoglie interfasciculaire

Image : Fig. 6. Oligoglie pértibulaire à mailles transversales et longitudinales. Imprégnation chromo-argentique d'Hortega

Image : Fig. 7. Un long tube nerveux entouré d'un réseau oligoglique à larges mailles. Imprégnation chromo-argentique d'Hortega

Image : Fig. 8. Gaine oligoglique péritubulaire avec étalements protoplasmiques. Imprégnation chromo-argentique d'Hortega

Image : Fig. 1. Arbre généalogique de deux familles, transmettant la paraplégie spasmodique familiale, forme récessive

Image : Fig. 2. La généalogie de la maladie de Pierre-Marie, la forme dominante, dans la famille K

Image : Fig. 3. La combinaison dans la même famille de trois maladies héréditaires : la dysarthrie, l'exophtalmie et la maladie de Charcot. Elles se transmettent indépendamment

Image : Fig. 4. Arbre généalogique d'une famille, transmettant la maladie de Charcot-Marie, la forme dominante, pendant 4 générations

Image : Fig. 5. Aile normale de Drosophila melanogaster / Fig. 6. Aile de Drosophila melanogaster (Mutation cut6)

Image : Fig. 7. Aile de Drosophila melanogaster avec la mutation scalloped2 / Fig. 8. Aile de Drosophila melanogaster avec la mutation dominante Beadex

Image : Fig. 9. Aile d'une femelle avec trois chromosomes sexuels (Drosophila melanogaster) / Fig. 10. Aile de Drosophila melanogaster. Une femelle présentant une déficience dans le chromosome sexuel pour les facteurs : facet, splite et abruptex

Image : Fig. 11. Représentation schématique, démontrant toutes les mutations chez Drosophila melanogaster qui déclenchent les soies thoraciques « en miniature ». Sous les trois chromosomes sont indiqués les symboles de chaque facteur et au-dessous des loci (D'après Timofeeff-Ressovsky et O. Vogt)

Image : Fig. 1. Obs. Gla... Artériographie

Image : Fig. 2. Obs. Jal... Remarquer l'usure de la base du crâne du côté droit, dans l'étage moyen

Image : Fig. 1. [Un procédé de mesure numérique du réflexe photomoteur]

Image : Fig. 1. Moelle sacrée (côté normal) / Fig. 2. Corne antérieure de la moelle

Image : Fig. 3. Moelle sacrée, côté malade (même coupe que la fig. 1) / Fig. 4. Coupe longitudinale au niveau de la moelle dorsale (sclérose en plaques) en pleine substance blanche

Image : Fig. 5. Foyer désintégratif dans le centre ovale (sclérose en plaques), plus avancé que le précédent / Fig. 6. Lésion désintégrative dans le centre ovale (sclérose en plaques)

Image : Fig. 7. Nerf optique / Fig. 8. Préparation fraiche, non fixée. Petit fragment d'un foyer de ramollissement hémorragique cérébral

Image : Fig. 9. Aspect du même foyer que sur la figure précédente. En haut, examen en lumière polarisée chromatique). Les anneaux représentent des fibres nerveuses vues transversalement. A remarquer les sphérocristaux (sph. cr.) avec « croix de Malte » et des débris des fibres nerveuses (f. n. l.) en longueur (deux fins traits). A droite et à gauche des amas amorphes (a. am.) biréfringents. En bas, aspect du même champ, en lumière polarisée sans intercalation du gypse. En f. n. t., fibre nerveuse transversale

Image : Fig. 1. [Observation sur le mécanisme de la convergence myotonique dans un cas de la maladie de Steinert]

Image : Fig. 1. Foyer malacique atteignant le repli inférieur du m. dentelé gauche, démyélinisation du feutrage extraciliaire ; à droite, démyélinisation du bord supérieur du m. dentelé (Loyez) / Fig. 2. Section du pédoncule cérébelleux supérieur gauche par le ramollissement ; démyélinisation du m. dentelé. Dégénération complète des fibres pyramidales (Loyez)

Image : Fig. 1. Naevus hémithoracique droit

Image : Fig. 2. Ostéohypertrophie des vertèbres et de la première côte du côté droit

Image : Fig. 3. Ostéohypertrophie des trois premières côtes droites et de la moitié droite des vertèbres correspondantes

Image : Fig. 1. Moelle dorsale (D6) (Spielmeyer). La lésion commence en D6, ou le ramollissement, détruit les cordons et les cornes antérieures (territoire de la spinale antérieure) / Fig. 2. Moelle dorsale (D8) (Spielmeyer). Le ramollissement détruit les cordons et cornes antérieurs et débrode sur les cordons latéraux, prédominant d'un côté

Image : Fig. 3. Moelle dorsale (D11) (Spielmeyer). Le ramollissement détruit l'ensemble des cordons antérolatéraux et les cornes antérieures / Fig. 4. Moelle lombaire (L1) (Spielmeyer). Le ramollissement est moins destructif, mais entraîne une démyélinisation diffuse

Image : Fig. 5. Aspect microscopique du ramollissement (D5) à la limite du tissu sain (Nissl)

Image : Fig. 1. Coupe transversale des pédoncules cérébraux. Elargissement de l'aqueduc de Sylvius dans le fond duquel on aperçoit la tumeur / Fig. 2. Coupe de la calotte pédonculaire au niveau des tubercules quadrijumeaux postérieurs. Nodule tumoral oblitérant presque complètement l'aqueduc