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1938, vol 1. - Paris : Masson , 1938.
Cote : 130135.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
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485 Société de neurologie de Paris. Séance du 5 mai 1938. Communications. Sur l'épiphyse et des formations paraépiphysaires chez l'homme adulte, par MM. P. Quercy, R. de Lachaud et R. Durand
Image : Fig. 1. B. Pinéale en place. Coupe sagittale. Commissure de l'habenula et recessus de Reichert. E. Pôle antérieur du système préépiphysaire. C. Du bord antéro-supérieur de l'habenula part, à gauche, une masse névroglique couchée sur l'habenula et la pinéale et séparée d'elles par un sillon sous-arachnoïdien. A. Du bord antéro-supérieur de l'habenula, à droite, part une formation sus-habénulaire et sus-épiphysaire qui dessine deux longs fuseaux sur la pinéale. D. Pôle postérieur de la pinéale. F. Coupe horizontale de la pinéale, pôle antérieur. Commissure de l'habenula. Masses et verrues calculeuses
486 Société de neurologie de Paris. Séance du 5 mai 1938. Communications. Sur l'épiphyse et des formations paraépiphysaires chez l'homme adulte, par MM. P. Quercy, R. de Lachaud et R. Durand
Image : Fig. 2. Pinéale en place. Recessus pinéal. Cavité préépiphysaire. Calculose de l'épiphyse et de la commissure de l'habenula. Recessus de Reichert. Formations sus et rétropinéale. Ce schéma résume la fig. 1 / Fig. 3. Partie centrale. Lobule. A droite et en haut, vaste travée vasculaire et conjonctive, surtout précollagène. A gauche et en haut, autour des limitantes périlobulaires, fourmillement des terminaisons des pinéocytes, au bord ou à la surface des travées, dans le réticulé précollagène. A l'angle inférieur gauche : foyer de gliose pure
487 Société de neurologie de Paris. Séance du 5 mai 1938. Communications. Sur l'épiphyse et des formations paraépiphysaires chez l'homme adulte, par MM. P. Quercy, R. de Lachaud et R. Durand
Image : Fig. 4. A, fibres et terminaisons névrogliques chargées de calculs ; B, calculs sur des formations tubulaires anhistes ; D, calculs sur des fibres collagènes et précollagènes ; C, formation névroglique rétro-épiphysaire de la fig. 1 D
502 Société de neurologie de Paris. Séance du 5 mai 1938. Communications. Document pour servir à l'étude des troubles du schéma corporel (sur quelques phénomènes moteurs, gnosiques et quelques troubles de l'utilisation des membres du côté gauche au cours d'un syndrome temporo-pariétal par tumeur, envisagés dans leurs rapports avec l'anosognosie et les troubles du schéma corporel), par MM. Raymond Garcin, André Varay et Hadji-Dimo
Image : Fig. 1. Le sujet non paralysé ne peut tenir debout sans le secours d'un aide, il s'effondre sur la gauche (29 février 1936) / Fig. 2. A quatre pattes le sujet non paralysé s'effondre également vers le côté gauche et on est obligé de le retenir fortement par le front et le bassin (29 février 1936)
503 Société de neurologie de Paris. Séance du 5 mai 1938. Communications. Document pour servir à l'étude des troubles du schéma corporel (sur quelques phénomènes moteurs, gnosiques et quelques troubles de l'utilisation des membres du côté gauche au cours d'un syndrome temporo-pariétal par tumeur, envisagés dans leurs rapports avec l'anosognosie et les troubles du schéma corporel), par MM. Raymond Garcin, André Varay et Hadji-Dimo
Image : Fig. 3. [Document pour servir à l'étude des troubles du schéma corporel (sur quelques phénomènes moteurs, gnosiques et quelques troubles de l'utilisation des membres du côté gauche au cours d'un syndrome temporo-pariétal par tumeur, envisagés dans leurs rapports avec l'anosognosie et les troubles du schéma corporel)] / Fig. 4. [Document pour servir à l'étude des troubles du schéma corporel (sur quelques phénomènes moteurs, gnosiques et quelques troubles de l'utilisation des membres du côté gauche au cours d'un syndrome temporo-pariétal par tumeur, envisagés dans leurs rapports avec l'anosognosie et les troubles du schéma corporel)] / Fig. 5. Le sujet qui était assis sur le bord droit du lit est invité à se coucher. Il repose son tronc sur le lit mais essaie vainement de mettre ses jambes dans le lit. Le membre inférieur gauche reste inerte (quoique non paralysé) et le sujet dans ses efforts passe la jambe droite au-dessus (fig. 3) ou au-dessous (fig. 4) de la jambe gauche et finalement plaque son talon droit sur le flanc du genou gauche qu'il tente de pousser comme un corps inerte dans le lit (6 mars 1936)
521 Société de neurologie de Paris. Séance du 5 mai 1938. Communications. Physiologie des formations réticulées. II. Respiration. Effets de l'excitation faradique du bulbe chez le chat, par M. Marcel Monnier (Note présentée par M. le Dr André-Thomas)
Image : Plan 4. Section frontale du bulbe au niveau du plein développement de l'olive inférieure et de la racine du nerf vago-glosso-pharyngien / Plan 5. Section frontale du bulbe au niveau du pôle caudal du sac de l'olive inférieure et du pôle oral des noyaux des nerfs vague et hypoglosse / Plan 6. Section frontale du bulbe intéressant le pôle caudal du noyau ventral de l'olive inférieure, le segment moyen des noyaux des nerfs vague et hypoglosse / Plan 7. Section frontale du bulbe au niveau du calamus scriptorius, au-dessous de l'olive inférieure, intéressant le pôle caudal des noyaux des nerfs vague et hypoglosse
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