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Cote : 90027.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
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208 Séance du 17 février 1926. Rapports. Tumeur à myéloplaxes de l'extrémité supérieure du tibia. Évidement ; greffes ostéo-périostiques. Résultat après dix mois, par M. Pierre Lombard
Image : Fig. 1. — Radiographie d'une tumeur à myéloplaxes de l’extrémité supérieure du tibia (cas Lombard). Remarquer la limitation nette de la lésion qui en aucun point ne perfore la corticale osseuse et ne s'accompagne d’aucune prolifération périostique
209 Séance du 17 février 1926. Rapports. Tumeur à myéloplaxes de l'extrémité supérieure du tibia. Évidement ; greffes ostéo-périostiques. Résultat après dix mois, par M. Pierre Lombard
Image : Fig. 2. — La tumeur à myéloplaxes, représentée figure t, a été traitée par l’évidement et les greffes ostéo-périostiques. Radiographie sept mois après : l'extrémité supérieure du tibia est complètement réossifiée (cas Lombard)
211 Séance du 17 février 1926. Rapports. Tumeur à myéloplaxes de l'extrémité supérieure du tibia. Évidement ; greffes ostéo-périostiques. Résultat après dix mois, par M. Pierre Lombard
Image : Fig. 3. — Radiographie d’une lésion de l’extrémité supérieure du tibia qui fut prise à tort pour une tumeur à myéloplaxes. En réalité, il s’agissait d’un sarcome vrai, comme le prouvèrent la récidive rapide après un évidement et l’examen microscopique (Lecène). On remarquera la perforation de la corticale osseuse du côté externe du tibia
212 Séance du 17 février 1926. Rapports. Tumeur à myéloplaxes de l'extrémité supérieure du tibia. Évidement ; greffes ostéo-périostiques. Résultat après dix mois, par M. Pierre Lombard
Image : Fig. 4. — Lésion de l’extrémité inférieure du tibia prise à tort pour une tumeur à myéloplaxes : il s'agissait en réalité d’un sarcome vrai, comme le prouvèrent l’examen histologique et l’évolution clinique (Lecène). On remarquera la perforation de la corticale (sur la vue de profil) et la réaction périostique en forme de « cône volcanique » (sur la vue de face)
213 Séance du 17 février 1926. Rapports. Tumeur à myéloplaxes de l'extrémité supérieure du tibia. Évidement ; greffes ostéo-périostiques. Résultat après dix mois, par M. Pierre Lombard
Image : Fig. 5. — Aspect caractéristique le plus habituel de la vraie « tumeur à myéloplaxes » qui n’est très probablement qu’une dystrophie osseuse hémorragique. Les myéloplaxes sont innombrables, mais surtout le stroma conjonctif est typique et homogène. C’est l'aspect (f ensemble qui est caractéristique et permet do porter le diagnostic de lésion osseuse « bénigne ». La pièce provient d'une malade opérée par simple évidement et guérie depuis quatre ans (Lecène)
214 Séance du 17 février 1926. Rapports. Tumeur à myéloplaxes de l'extrémité supérieure du tibia. Évidement ; greffes ostéo-périostiques. Résultat après dix mois, par M. Pierre Lombard
Image : Fig. 6. — Autre aspect d'une tumeur à myéloplaxes avec stroma conjonctif plus fibreux, mais très typique. L'aspect d'ensemble permet de porter le diagnostic de lésion osseuse bénigne. Pièce provenant d’un malade opéré depuis trois ans par simple évidement et resté guéri (Lecène)
215 Séance du 17 février 1926. Rapports. Tumeur à myéloplaxes de l'extrémité supérieure du tibia. Évidement ; greffes ostéo-périostiques. Résultat après dix mois, par M. Pierre Lombard
Image : Fig. 7. — Aspect d'un vrai sarcome très malin intra-osseux (récidive et généralisation rapide après intervention locale). La présence de quelques cellules multi-nucléées ne signifie pas du tout qu’il s’agisse ici de « tumeur à myéloplaxes »; au contraire, le stroma conjonctif atypique et les noyaux monstrueux de nombreuses cellules sont caractéristiques du vrai sarcome (Lecène)
216 Séance du 17 février 1926. Rapports. Tumeur à myéloplaxes de l'extrémité supérieure du tibia. Évidement ; greffes ostéo-périostiques. Résultat après dix mois, par M. Pierre Lombard
Image : Fig. 8. — Aspect d'un vrai sarcome osseux très malin (généralisation rapide après opération locale); la présence de quelques cellules plurinucléées n'autorise nullement à dire qu'il s'agit d'une "tumeur à myéloplaxes". Au contraire, le stroma conjonctif très atypique et les noyaux monstrueux de nombreuses cellules sont caractéristiques d'un véritable sarcome (Lecène)
255 Séance du 24 février 1926. Présentations de malades. Noma avec perforation de la joue après injections mercurielles. Constriction de la mâchoire. Opérations multiples et prothèse, par MM. Mauclaire et Darcissac
Image : Fig. 2. — Appareil d'assouplissement de la néarthrose avec appui cranio-facial / Fig. 3. — Une anse élastique exerce une traction à l’extrémité des tiges
256 Séance du 24 février 1926. Présentations de malades. Noma avec perforation de la joue après injections mercurielles. Constriction de la mâchoire. Opérations multiples et prothèse, par MM. Mauclaire et Darcissac
Image : Fig. 4. — Mobilisation mandibulaire post-opératoire (Appareil Darcissac) / Fig. 5. — Plaque de caoutchouc intrabuccale pour lutter contre la récidive des brides cicatricielles muqueuses
361 Séance du 17 mars 1926. Présentation de radiographies. De la réparation des cavités osseuses après évidement, chez l’enfant, par M. Etienne Sorrel
Image : Fig. 1. — Sar... (Marguerite), 7 ans 1/2. 30 mai 1922. Ostéite bacillaire de l'extrémité inférieure du radius. Volumineux séquestre / Fig. 2. — Idem. 4 mois après l'ablation du séquestre. La cavité osseuse commence à se réparer / Fig. 3. — Idem. 18 mois après l’ablation du séquestre. La réparation osseuse est complète
362 Séance du 17 mars 1926. Présentation de radiographies. De la réparation des cavités osseuses après évidement, chez l’enfant, par M. Etienne Sorrel
Image : Fig. 4 — Guil... (Henri), 5 ans 1/2. Décembre 1920. Caverne de l'extrémité inférieure du fémur (diaphyso-épiphysaire) avec séquestre central
363 Séance du 17 mars 1926. Présentation de radiographies. De la réparation des cavités osseuses après évidement, chez l’enfant, par M. Etienne Sorrel
Image : Fig. 5. — Guil... (Henri), 8 ans. Mars 1923. Réparation complète de la cavité osseuse laissée par l’ablation du séquestre et le nettoyage de la cavité. (Genou droit. Le cliché est inversé)
396 Séance du 24 mars 1926. Présentation d’instruments. Procédé de ligature osseuse par fils couplés, par MM. Alglave et Genin
Image : Fig. 2. — Type de fracture oblique réduite et maintenue par un seul fil couplé
397 Séance du 24 mars 1926. Présentation d’instruments. Procédé de ligature osseuse par fils couplés, par MM. Alglave et Genin
Image : Fig. 3. — Fracture à trait fortement oblique, réduite et maintenue par deux fils couplés
398 Séance du 24 mars 1926. Présentation d’instruments. Procédé de ligature osseuse par fils couplés, par MM. Alglave et Genin
Image : Fig. 4. — Fracture oblique opérée trente-cinq jours après l'accident. Le trait tibial réduit est maintenu par deux fils couplés et le trait péronien l’est par une attelle vissée
415 Séance du 14 avril 1926. Communication. Deux cas de fracture de Monteggia, par M. Pierre Fredet
Image : Fig. 1 et 2. — Fracture de Monteggia, chez un homme de quarante-trois ans. Images radiographiques, dix-huit jours après l’accident : 1, dans le plan frontal; 2, dans le plan sagittal / Fig. 3 et 4. — Fracture de Monteggia, chez un garçon de quinze ans. Images radiographiques, onze jours après l'accident : 3, dans le plan frontal ; 4, dans le plan sagittal
417 Séance du 14 avril 1926. Communication. Deux cas de fracture de Monteggia, par M. Pierre Fredet
Image : Fig. 5 et 6. — Réduction opératoire obtenue chez l’homme de quarante-trois ans. Images radiographiques, un mois après l’intervention : 5, dans le plan frontal ; 6, dans le plan sagittal / Fig. 7 et 8. — Réduction opératoire obtenue chez le garçon de quinze ans. Images radiographiques, un mois et demi après l'intervention : 7, dans le plan frontal ; 8, dans le plan sagittal
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