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Cote : 90027.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
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975 Séance du 10 Juillet 1935. Communications. Cadre gouttière de transport et d’immobilisation d’urgence pour blessés graves, par M. H. Rouvillois
Image : Fig. 3. — Cadre replié, vu par sa face inférieure / Fig. 4. - Cadre appliqué, vu par sa face supérieure et maintenu en position verticale
1007 Séance du 10 Juillet 1935. Communications. Infection opératoire et stérilisation totale, par M. Gudin
Image : Fig. 1. — Le stérilisateur total. Cet appareil permet de stériliser en une heure de temps le matériel nécessaire à cinq ou six opérations, ainsi que tout le bloc opératoire à compartiments étanches. Il maintient automatiquement l’air stérile et respirable de la salle dans les conditions les plus favorables pour éviter les complications pulmonaires post-opératoires, la transpiration du malade et du chirurgien, et la fatigue de celui-ci, c’est-à-dire à 25° C. et 50 p. 100 d’humidité
1008 Séance du 10 Juillet 1935. Communications. Infection opératoire et stérilisation totale, par M. Gudin
Image : Fig. 2. — Grande étagère à filet, placée dans la salle d'opérations, contenant tout le matériel nécessaire aux différentes opérations, stérilisé chimiquement
1009 Séance du 10 Juillet 1935. Communications. Infection opératoire et stérilisation totale, par M. Gudin
Image : Fig. 3. — Petite étagère à filet avec instruments et champs suspendus pour la stérilisation. On voit le thermomètre et l'hygromètre qui doivent marquer 25° C, et 50 p. 100 d’humidité
1010 Séance du 10 Juillet 1935. Communications. Infection opératoire et stérilisation totale, par M. Gudin
Image : Fig. 4. — Les gants sont stérilisés sur des mandrins percés de trous, placés sur la tuyauterie de ventilation. Ils ne sont pas détériorés et peuvent ainsi durer un an facilement
1011 Séance du 10 Juillet 1935. Communications. Infection opératoire et stérilisation totale, par M. Gudin
Image : Fig. 5. — Plan de l’étage inférieur du bloc opératoire à compartiments étanches stériles de la salle d’opérations à deux étages. Il en existe une dans mon service de clinique chirurgicale à la Faculté de l’Etat de Rio de Janeiro, une autre dans mon service de l’hôpital de la Beneficencia Portugueza, à Rio de Janeiro
1012 Séance du 10 Juillet 1935. Communications. Infection opératoire et stérilisation totale, par M. Gudin
Image : Fig. 6. — Table d'opérations, sur laquelle on anesthésie et on place le malade recouvert également d’un scaphandre dans le deuxième compartiment stérile. Le support d’élévation destiné à être manoeuvré par le chirurgien est inclus dans la table
1013 Séance du 10 Juillet 1935. Communications. Infection opératoire et stérilisation totale, par M. Gudin
Image : Fig. 7. — Le chirurgien préparé pour entrer dans la salle d’opérations de façon à ne pas contaminer la salle stérile en y introduisant des germes microbiens. Après s’être débarrassé de ses vêtements il pénètre dans le premier compartiment stérile où il chausse des souliers stérilisés et se lave les mains. Dans le second compartiment stérile il se recouvre totalement d'un scaphandre, du casque d’éclairage, des lunettes et il met les gants
1016 Séance du 10 Juillet 1935. Communications. Infection opératoire et stérilisation totale, par M. Gudin
Image : Fig. 8. — Coupe de la salle d’opérations à deux étages. Hauteur 1m95. Les élèves, complètement isolés, habillé normalement, dans une demi-obscurité, surplombent de très près et sur la ligne médiane le champ opératoire fortement éclairé au moment voulu et au point voulu par les lampes frontales du chirurgien et de son aide. Dans ces conditions, une trentaine de personnes voient réellement l’opération dans tous ses détails. Une vitre verticale donne la meilleure visibilité sur le côté
1035 Séance du 16 Octobre 1935. Rapports. Endothéliome de l’articulation du cou-de-pied, par M. Fievez
Image : Endothéliome de la synoviale tibio-tarsienne. Remarquer l’aspect végétant à gauche, la nécrose du tissu néoplasique à droite. Un large prélèvement a été fait pour l’examen histologique, en avant et à droite
1048 Séance du 16 Octobre 1935. Communications. Les ostéosynthèses à prothèse perdue envisagées du point de vue biologique. Influence de la nature du métal, par M. G. Menegaux
Image : Fig. 1. — Clavette d’Os Mort, réalisant la prothèse non métallique pour contention d'une Fracture. — Son bord supérieur présente une partie élargie débordante, formant un méplat sur lequel sont creusées cinq petites rainures transversales, destinées à recevoir les fils d’encerclement; une de ses extrémités est allongée en « queue d’aronde » pour se loger dans le canal médullaire / Fig. 2. — Guide métallique, présentant une fente dans laquelle sera introduite et dirigée la Fraise, destinée à creuser la tranchée, où on enfouira la Clavette d'Os Mort : un oeilleton permet de fixer instantanément ce guide à l’extrémité d’un de mes Daviers
1049 Séance du 16 Octobre 1935. Communications. Les ostéosynthèses à prothèse perdue envisagées du point de vue biologique. Influence de la nature du métal, par M. G. Menegaux
Image : Fig. 3. — Premier temps de la Technique. — Les deux Daviers sont fixées sur chacun des fragments, qu’ils ont au préalable réduits; ces deux Daviers, rendus solidaires du Réducteur-Fixateur sur lequel ils sont bloqués, forment dès lors un ensemble rigide rectangulaire, qui immobilisera complètement la fracture réduite, sur laquelle on va travailler en toute sûreté / Fig. 4. — Deuxième temps. — Entre les deux Daviers de contention est placé, à cheval sur le foyer de fracture et bloqué solidement sur lui, un troisième Davier portant le Guide métallique destinée à diriger la fraise de creusement / Fig. 5. — La Fraise, dirigée « mathématiquement » par le Guide, a creusé, à cheval sur les deux fragments, la tranchée, qui est maintenant prête à recevoir la Clavette d’Os Mort
1050 Séance du 16 Octobre 1935. Communications. Les ostéosynthèses à prothèse perdue envisagées du point de vue biologique. Influence de la nature du métal, par M. G. Menegaux
Image : Fig. 6. — La Clavette de prothèse, tenue à bout de pince, est engagée d’abord obliquement dans la tranchée, son extrémité en queue d’aronde étant introduite la première, puis coincée dans le canal médullaire / Fig. 7. — La Clavette a été rabattue et enfoncée tout entière dans la tranchée, où elle sera maintenue par 5 fils non métalliques encerclant les deux fragments : placés dans les rainures du méplat de la Clavette, ils ne pourront pas glisser. La Contention de la fracture est désormais assurée
1051 Séance du 16 Octobre 1935. Communications. Les ostéosynthèses à prothèse perdue envisagées du point de vue biologique. Influence de la nature du métal, par M. G. Menegaux
Image : Fig. 8. — Schéma montrant comment la disposition de la Clavette empêche « automatiquement », en dehors de toute ligature, tout déplacement des fragments dans le sens transversal / Fig. 9. — Second modèle de Clayette d'Os Mort à double queue d’aronde, donnant une sécurité mécanique supplémentaire
1052 Séance du 16 Octobre 1935. Communications. Les ostéosynthèses à prothèse perdue envisagées du point de vue biologique. Influence de la nature du métal, par M. G. Menegaux
Image : Fig. 10. — Variante de la Technique, en utilisant cette clavette à double éperon. Pour pouvoir être engagée entre les deux fragments, elle nécessite, après que la tranchée aura été creusée, qu'ils soient mis en augulation à nouveau; cela n’offre pas d’inconvénient grâce à l’ensemble mécanique constitué par les deux Daviers et le Réducteur-Fixateur, lequel contrôlera cette « dé-réduction » temporaire
1053 Séance du 16 Octobre 1935. Communications. Les ostéosynthèses à prothèse perdue envisagées du point de vue biologique. Influence de la nature du métal, par M. G. Menegaux
Image : Fig. 11. — Les deux fragments, la Clavette à double queue d'aronde ayant été engagée entre eux, sont réduits à nouveau grâce au bloc Davier-Réducteur-Fixateur; cette clavette y est désormais bloquée automatiquement, assurant à elle seule la contention des fragments dans les deux plans, les fils d’enclerclement ne jouant plus alors qu’un rôle accessoire
1061 Séance du 16 Octobre 1935. Communications. La contention des fractures diaphysaires du fémur après réduction sanglante, par MM. J. -P. Lamare et M. Larget
Image : Fig. 1. / Fig. 2. / Fig. 3. / Fig. 4. / Fig. 5. / Fig. 6. / Fig. 7. [La contention des fractures diaphysaires du fémur après réduction sanglante]
1071 Séance du 23 Octobre 1935. Rapport. Entorse externe du genou avec fracture de la tête du péroné traitée par l’intervention immédiate, par M. R. Merle d'Aubigné
Image : Fig. 1. / Fig. 2. [Entorse externe du genou avec fracture de la tête du péroné traitée par l’intervention immédiate]
1086 Séance du 23 Octobre 1935. Communications. A propos d’un cas de chorio-épithéliome malin et de son diagnostic biologique, par MM. Louis Michon, Lantuéjoul, H. et M. Hinglais
Image : Fig. 1. — Pièce en entier. L'utérus se présente par sa face antérieure. On voit en haut l'insertion des ligaments ronds. L’utérus a le volume d'un utérus gravide de quatre semaines. Les ovaires sont polykystiques. Remarquer la circulation particulière des follicules. A gauche, la coque ovarienne a été déchirée au cours de l'opération et on aperçoit au niveau de la déchirure la coque du corps jaune
1087 Séance du 23 Octobre 1935. Communications. A propos d’un cas de chorio-épithéliome malin et de son diagnostic biologique, par MM. Louis Michon, Lantuéjoul, H. et M. Hinglais
Image : Fig. 2. — Utérus incisé longitudinalement. Au milieu de la coupe, on voit la cavité utérine sous forme de deux triangles accolés à leur base, le sommet représentant l'orifice externe du col. A droite de la pièce, remarquer la trompe. Au fond de la cavité utérine existe une petite saillie irrégulière et immédiatement au-dessus on voit une ulcération
1118 Séance du 30 Octobre 1935. A propos du procès-verbal. A propos des retards de consolidation après ostéosynthèse métallique. M. G. Menegaux
Image : Fig. 1. —A gauche : culture de fibroblastes en présence, de Magnésium ; il n’existe aucune croissance. La rondelle, en bas et à droite, est en voie de désagrégation. Les taches sont constituées par les produits d’attaque du métal. On remarquera la dissociation du plasma par les bulles d’hydrogène. A droite : culture-témoin. Coloration : hématoxyline de Weigert. (Cliché : Institut du Cancer, Paris) / Fig. 2. — A gauche : culture de fibroblastes en présence de Bronze d'aluminium. Il s’est produit une pousse très réduite sur la face de l’expiant opposée à la rondelle (en bas et à droite du cliché). A droite : culture-témoin. Même coloration. (Cliché : Institut du Cancer, Paris)
1119 Séance du 30 Octobre 1935. A propos du procès-verbal. A propos des retards de consolidation après ostéosynthèse métallique. M. G. Menegaux
Image : Fig. 3. — A gauche : culture d’ostéoblastes eu présence d’Acier doux. L’expiant a donné naissance à quelques rares cellules (à droite du cliché). Production abondante d’oxyde de fer autour de la rondelle. A droite : culture-témoin. Même coloration. (Cliché : Institut du Cancer, Paris) / Fig. 4. — A gauche : culture d’ostéoblastes en présence d'Almasilium. La croissance beaucoup plus active que dans les cas précédents, est cependant beaucoup plus faible que celle du témoin. A droite : culture-témoin. Même coloration. (Cliché : Institut du Cancer, Paris)
1120 Séance du 30 Octobre 1935. A propos du procès-verbal. A propos des retards de consolidation après ostéosynthèse métallique. M. G. Menegaux
Image : Fig. 5. — Cultures d’ostéoblastes humains en présence d’un disque de Platinostainless D. La croissance, excellente, est aussi importante que celle de la culture-témoin. Coloration : hématoxyline ferrique de Weigert. Eosine. (Cliché : Institut du Cancer, Paris) / Fig. 6. — Culture d’ostéoblastes en vie ralentie. Excision d'un secteur. Action d’un métal très toxique (Cuivre). A droite, on aperçoit un des bords libres du secteur. L’expiant est en haut; la rondelle, en dehors du cliché, en bas et à droite. Aucune croissance nouvelle. Bien plus, les cellules sont nécrosées. La culture a été photographiée vivante, sans coloration. (Cliché ; Institut du Cancer, Paris)
1121 Séance du 30 Octobre 1935. A propos du procès-verbal. A propos des retards de consolidation après ostéosynthèse métallique. M. G. Menegaux
Image : Fig. 7. — Culture d’ostéoblastes eu vie ralentie. Excision d’un secteur. Action d’un métal moyennement toxique. Au milieu du cliché, la ligne de démarcation entre l’ancienne croissance et la nouvelle. Celle-ci est assez limitée et les cellules présentent quelques signes de dégénérescence. La culture a été photographiée vivante, sans coloration. (Cliché : Institut du Cancer, Paris) / Fig. 8. — Culture d’ostéoblastes en vie ralentie. Excision d'un secteur. Action d’un métal non toxique (Nierai D). A droite : zone de croissance ancienne. Pousse de même densité et de même importance que dans les préparations-témoins. On remarque de nombreuses mitoses. Culture photographiée vivante, sans coloration. (Cliché : Institut du Cancer, Paris)
1122 Séance du 30 Octobre 1935. A propos du procès-verbal. A propos des retards de consolidation après ostéosynthèse métallique. M. G. Menegaux
Image : Fig. 9. — Culture d’ostéoblastes en présence d’un disque d'Aluminium, incinérée au bout de cinquante jours. Très faible quantité de cendres minérales. Gross. 80. (Cliché : Institut du Cancer, Paris)
1123 Séance du 30 Octobre 1935. A propos du procès-verbal. A propos des retards de consolidation après ostéosynthèse métallique. M. G. Menegaux
Image : Fig. 10. — Culture d’ostéoblastes en présence d’un disque de Nierai D, incinérée au bout de cinquante jours. La quantité de cendres est identique à celle des témoins. Gross. 80. (Cliché : Institut du Cancer, Paris)
1153 Séance du 6 Novembre 1935. Rapports. Fracture du plateau tibial externe (tassement central « en écuelle ») traitée par reposition sanglante et greffe osseuse fixées par une synthèse métallique. Résultat éloigné, par M. P. Roques
Image : Schéma 1. — Le ménisque désinséré passe en pont au-dessus du foyer de fracture / Schéma 2. — Après ablation du ménisque : 1, segment postérieur; 2, segment antérieur, intra-épiphysaire
1156 Séance du 6 Novembre 1935. Rapports. Apophysite de l’épine iliaque antéro-supérieure, par M. J. Dupas
Image : Fig. 1. — Apophysite de l’épine iliaque antéro-supérieure, (E. I. A. S) chez un sujet de dix-sept ans et demi. Aspect hypertrophique de l’épine dont le noyau d’ossification apparaît nettement séparé de celui de l’épiphyse marginale
1158 Séance du 6 Novembre 1935. Rapports. Apophysite de l’épine iliaque antéro-supérieure, par M. J. Dupas
Image : Fig. 2. — Apophysite de l'épine iliaque antéro-supérieure, (E. I. A. S) chez un sujet de dix-huit ans. Aspect normal et classique de l’épine et de l’épiphyse marginale de la crête iliaque en voie d’ossification complète
1159 Séance du 6 Novembre 1935. Rapports. Apophysite de l’épine iliaque antéro-supérieure, par M. J. Dupas
Image : Fig. 3. — Apophysite de l'épine iliaque antéro-supérieure, (E. I. A. S) chez un sujet de dix-sept-ans. Aspect érosif de l’épine et morcellement de son noyau d’ossification isolé de celui de l’épiphyse marginale
1164 Séance du 6 Novembre 1935. Rapports. Occlusion aiguë par péritonite chronique encapsulante, par M. P. Funck-Brentano
Image : Fig. 1. — Face interne d’une lame fibreuse revêtue d’un endothélium. Stratifications collagènes avec peu de réactions cellulaires
1165 Séance du 6 Novembre 1935. Rapports. Occlusion aiguë par péritonite chronique encapsulante, par M. P. Funck-Brentano
Image : Fig. 2. — Un détail de la paroi à un fort grossissement. On voit la structure fibreuse et l’absence de la réaction cellulaire
1166 Séance du 6 Novembre 1935. Rapports. Occlusion aiguë par péritonite chronique encapsulante, par M. P. Funck-Brentano
Image : Fig. 3. — Nodule intrapariétal à contour polycyclique. Dégénérescence hyaline du stroma et secondairement infiltration calcaire (en bas et à droite)
1167 Séance du 6 Novembre 1935. Rapports. Occlusion aiguë par péritonite chronique encapsulante, par M. P. Funck-Brentano
Image : Fig. 4. — Face externe de la lame de péritonite constituée par des plans cellulo-graisseux très vasculaires
1175 Séance du 6 Novembre 1935. Communications. Les infarctus viscéraux expérimentaux, par MM. Raymond Grégoire et Roger Couvelaire
Image : Fig. 1. — Infarctus expérimental d’un utérus de cobaye. Remarquer la distention et la stase vasculaire. Une suffusion sanguine importante s’est faite dans l'épaisseur de la paroi
1176 Séance du 6 Novembre 1935. Communications. Les infarctus viscéraux expérimentaux, par MM. Raymond Grégoire et Roger Couvelaire
Image : Fig. 2. — Infarctus expérimental d’un testicule de cobaye, Les tubes spermatiques sont séparés par une importante hémorragie interstitielle
1177 Séance du 6 Novembre 1935. Communications. Les infarctus viscéraux expérimentaux, par MM. Raymond Grégoire et Roger Couvelaire
Image : Fig. 3. — Infarctus expérimental d’un pancréas de chien. Les lobes glandulaires sont séparés les uns des autres par une importante hémorragie interstitielle
1191 Séance du 6 Novembre 1935. Présentation de pièce. Tuberculose massive du testicule, par M. P. Moulonguet
Image : Tuberculose massive du testicule. L’épididyme (ép) n’est pas ulcéré macroscopiquement; histologiquement il est tuberculeux
1200 Séance du 13 Novembre 1935. Rapports. A propos des orchites subaiguës de l’enfance. Torsion d’un sac de hernie enkystée de la vaginale, par M. Michel Salmon
Image : [A propos des orchites subaiguës de l’enfance. Torsion d’un sac de hernie enkystée de la vaginale]
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