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Tome 62, 1936. -
Paris : Masson,
1936.
Cote : 90027.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
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1138 Séance du 14 Octobre 1936. Communications. L’injection intraveineuse de scopolamine, morphine, narcotine, éphédrine comme complément de l’anesthésie locale (méthode de Kirschner), par MM. Jacques-Charles Bloch, Pierre Rolland et Roger Vieillefosse
Image : Tracé n° 1 (essai n° 1). — Enregistrement de la respiration et du pouls fémoral chez un chien éveillé. A, l’animal est sous la seule influence de l’anesthésique local ; B, immédiatement après l’injection de la solution intraveineuse, il présente pendant quelques secondes un ralentissement du pouls ; C, quarante-cinq minutes après, l’injection intraveineuse, les rythmes pulmonaire et cardiaque sont sensiblement à leur valeur initiale. L’animal, quoique éveillé, reste parfaitement calme
1139 Séance du 14 Octobre 1936. Communications. L’injection intraveineuse de scopolamine, morphine, narcotine, éphédrine comme complément de l’anesthésie locale (méthode de Kirschner), par MM. Jacques-Charles Bloch, Pierre Rolland et Roger Vieillefosse
Image : Tracé n° 2 (essai n° 5). — Enregistrement de la respiration et du pouls fémoral chez un chien chloralosé. A, l’animal est sous la seule influence du chloralose et de l’anesthésique local; B, immédiatement après l’injection d’une solution de morphine, scopolamine, éphédrine, nous notons une diminution de l’arythmie ; D, après une injection de narcotine pure, nous observons une régularisation du pouls ; D, nous n’observons aucun trouble à la fin de l’essai