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Tome 63, 1937. - Paris : Masson, 1937.
Cote : 90027.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
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479 Séance du 14 Avril 1937. Communications. Essai de contribution à la thérapeutique des kystes solitaires non parasitaires des os (autohémothérapie intrakystique par ponction simple), par M. Marcel Chaton
Image : Fig. 1. [Essai de contribution à la thérapeutique des kystes solitaires non parasitaires des os (autohémothérapie intrakystique par ponction simple)]
480 Séance du 14 Avril 1937. Communications. Essai de contribution à la thérapeutique des kystes solitaires non parasitaires des os (autohémothérapie intrakystique par ponction simple), par M. Marcel Chaton
Image : Fig. 2. [Essai de contribution à la thérapeutique des kystes solitaires non parasitaires des os (autohémothérapie intrakystique par ponction simple)]
481 Séance du 14 Avril 1937. Communications. Essai de contribution à la thérapeutique des kystes solitaires non parasitaires des os (autohémothérapie intrakystique par ponction simple), par M. Marcel Chaton
Image : Fig. 3. [Essai de contribution à la thérapeutique des kystes solitaires non parasitaires des os (autohémothérapie intrakystique par ponction simple)]
482 Séance du 14 Avril 1937. Communications. Essai de contribution à la thérapeutique des kystes solitaires non parasitaires des os (autohémothérapie intrakystique par ponction simple), par M. Marcel Chaton
Image : Fig. 4. [Essai de contribution à la thérapeutique des kystes solitaires non parasitaires des os (autohémothérapie intrakystique par ponction simple)]
483 Séance du 14 Avril 1937. Communications. Essai de contribution à la thérapeutique des kystes solitaires non parasitaires des os (autohémothérapie intrakystique par ponction simple), par M. Marcel Chaton
Image : Fig. 5. [Essai de contribution à la thérapeutique des kystes solitaires non parasitaires des os (autohémothérapie intrakystique par ponction simple)]
484 Séance du 14 Avril 1937. Communications. Essai de contribution à la thérapeutique des kystes solitaires non parasitaires des os (autohémothérapie intrakystique par ponction simple), par M. Marcel Chaton
Image : Fig. 6. [Essai de contribution à la thérapeutique des kystes solitaires non parasitaires des os (autohémothérapie intrakystique par ponction simple)]
489 Séance du 14 Avril 1937. Communications. Calculs du cholédoque et diverticule du duodénum, par Mm. Bergeret et Caroli
Image : Fig. 4. — Radiolipiodol des voies biliaires combinées à l'exploration barytée du duodénum. Calculs du cholédoque. Diverticule à distance
497 Séance du 14 Avril 1937. Communications. Lithiase pancréatique, par M. Bergeret
Image : Fig. 2. — Enorme dilatation du cholédoque étranglé par de la pancréatite chronique
505 Séance du 14 Avril 1937. Présentations de malades. Cancer du testicule (embryome), de forme anormale, bilobée. Castration, suivie d’ablation d’une adénopathie lombo-aortique néoplasique. Guérison datant de cinq ans et demi, par M. J. Braine
Image : Embryome, du testicule (J. Braine). 1° En haut. — Aspect de la pièce rie castration : la masse néoplasique est anormalement étranglée, vers son milieu, par l’épididyme. 2° En bas. — A la coupe, la tumeur présente l’aspect aréolaire, géodique, habituel dans les embryomes
516 Séance du 21 Avril 1937. Rapports. Diagnostic radiographique d’une occlusion intestinale aiguë, par Mm. Sicard et Malgras
Image : Fig. 1. — Radiographie sans préparation d’un volvulus du caecum. Le caecum tordu occupe presque tout, l’abdomen, avec un niveau liquide qui va d'un flanc à l’autre
517 Séance du 21 Avril 1937. Rapports. Diagnostic radiographique d’une occlusion intestinale aiguë, par Mm. Sicard et Malgras
Image : Fig. 2. — Même cas. Après perforation spontanée, le caecum tordu a beaucoup diminué de volume : on voit très bien ses limites marquées par un trait opaque ; autour de lui, des anses grêles distendues
518 Séance du 21 Avril 1937. Rapports. Diagnostic radiographique d’une occlusion intestinale aiguë, par Mm. Sicard et Malgras
Image : Fig. 3. — Même cas. Lavement baryté : le côlon injecté encadre le caecum ; on ne voit plus les anses grêles distendues
519 Séance du 21 Avril 1937. Rapports. Diagnostic radiographique d’une occlusion intestinale aiguë, par Mm. Sicard et Malgras
Image : Fig. 4. — Occlusion de l’intestin grêle par bride chez une femme antérieurement opérée
520 Séance du 21 Avril 1937. Rapports. Diagnostic radiographique d’une occlusion intestinale aiguë, par Mm. Sicard et Malgras
Image : Fig. 5. — Occlusion par cancer du sigmoïde. La radiographie sans préparation montre une distension de l'angle splénique et du transverse et une rétro-dilatation des anses grêles
521 Séance du 21 Avril 1937. Rapports. Diagnostic radiographique d’une occlusion intestinale aiguë, par Mm. Sicard et Malgras
Image : Fig. 6. — Même cas. Un lavement baryte administré pour éclairer l’image précédente a été trompeur puisqu'il a fait croire à la perméabilité du colon. Au contraire la radiographie sans préparation est exacte
523 Séance du 21 Avril 1937. Rapports. Diagnostic radiographique d’une occlusion intestinale aiguë, par Mm. Sicard et Malgras
Image : Fig. 7. — Iléus paralytique du colon chez un malade atteint de colique néphrétique par calcul de l'uretère (radiographie du Dr Delbreil)
526 Séance du 21 Avril 1937. Rapports. Fibrome du mésentère, par M. Bota Popovitch
Image : Photographie de la pièce opératoire. Exérèse entéro-mésentérique, pratiquée pour une volumineuse tumeur fibreuse avoisinant la racine du mésentère (M. Bota Popovitch)
532 Séance du 21 Avril 1937. Communications. Pâleur-hyperthermie modérée, syndrome habituel des suites immédiates des opérations chirurgicales, par M. A. Hustin
Image : Fig. 1. Vaso-constriction et hyperthermie persistante. Gastrectomie pour ulcère de l’estomac térébrant. T. R., température rectale ; T. P., température des pieds ; 1, injection intraveineuse de sérum salé hypertonique ; 2, injection intraveineuse de sérum glucosé à 30 p. 100 et de 15 unités d'insuline ; 3, injection intramusculaire de 50 centimètres cubes sérum salé ; 4, injection intraveineuse de 50 centimètres cubes de sérum salé à 20 p. 100 et 100 centimètres cubes de sérum glucosé à 30 p. 100 et d'insuline ; 5 et 6, transpiration / Fig. 2. - Même cas que figure 1: température différentielle, image des variations du calibre des vaisseaux périphériques
533 Séance du 21 Avril 1937. Communications. Pâleur-hyperthermie modérée, syndrome habituel des suites immédiates des opérations chirurgicales, par M. A. Hustin
Image : Fig. 3. — Vaso-constriction de la main et du pied avec hyperthermie. Cholécystectomie ; anesthésie locale puis narcose à l’éther. 1, injection de 500 centimètres cubes de sérum salé dans les muscles ; 2, injection intraveineuse de sérum salé hypertonique ; 3, vomissements
535 Séance du 21 Avril 1937. Communications. Pâleur-hyperthermie modérée, syndrome habituel des suites immédiates des opérations chirurgicales, par M. A. Hustin
Image : Fig. 5. — Vaso-constriction uniquement localisée au pied, avec hyperthermie. Cholécystectomie sous rachi à la percaïne Jones
536 Séance du 21 Avril 1937. Communications. Pâleur-hyperthermie modérée, syndrome habituel des suites immédiates des opérations chirurgicales, par M. A. Hustin
Image : Fig. 6. — Vaso-constriction alternante de la main et du pied avec hyperthermie. Hystérectomie subtotale pour fibrome sous rachi à la percaïne Jones. 1 et 2, injection intramusculaire de 500 centimètres cubes de sérum salé
537 Séance du 21 Avril 1937. Communications. Pâleur-hyperthermie modérée, syndrome habituel des suites immédiates des opérations chirurgicales, par M. A. Hustin
Image : Fig. 7. — Vaso-constriction alternante de la main et du pied avec hyperthermie. Hystérectomie subtotale pour fibrome, sous rachi à la percaïne Jones. 1, injection intramusculaire de 500 centimètres cubes de sérum salé ; 2, quelques nausées ; 3, injection intramusculaire de sérum salé / Fig. 8 — Même cas que figure 7. Courbe de la température différentielle
538 Séance du 21 Avril 1937. Communications. Pâleur-hyperthermie modérée, syndrome habituel des suites immédiates des opérations chirurgicales, par M. A. Hustin
Image : Fig. 9. — Hyperthermie simple sans vaso-constriction périphérique. Gastrectomie pour ulcus ; rachi à la percaïne Jones. 1, injection intraveineuse de 50 centimètres cubes de sérum salé hypertonique et de 20 centimètres cubes de sérum glucosé hypertonique ; 2, agitation, pleurs, douleurs ; 3, injection intramusculaire de 500 centimètres cubes de sérum salé hypertonique, fortes douleurs épigastriques ; 4, injection intraveineuse de sérum salé hypertonique
539 Séance du 21 Avril 1937. Communications. Pâleur-hyperthermie modérée, syndrome habituel des suites immédiates des opérations chirurgicales, par M. A. Hustin
Image : Fig. 10. — Hyperthermie légère, sans vaso-constriction périphérique réactionnelle. Bassini pour hernie inguinale double, sous locale parfaite / Fig. 11. — Vaso-constriction réactionnelle de la main avec hyperthermie. Appendicectomie sous locale insuffisante
540 Séance du 21 Avril 1937. Communications. Pâleur-hyperthermie modérée, syndrome habituel des suites immédiates des opérations chirurgicales, par M. A. Hustin
Image : Fig. 12. — Vaso-constriction du pied avec hyperthermie, après une narcose à l'éther sans intervention. Entre les deux flèches : durée de la narcose
586 Séance du 28 Avril 1937. Communications. Anévrysme de la carotide interne droite. Notes neurologiques, chirurgicales et anatomopathologiques concernant un cas observé et opéré, par Mm. A. Jirasek, et K. Henner et H. Sikl
Image : La carotide interne (en bas) entrant dans l’anévrysme ; e, membrane limitante interne ; M. tunique moyenne ; i, tunique épaissie en plaque, au niveau de la transition de l'artère en paroi de l’anévrysme ; t, les thrombus de fluxion à l'intérieur de l’artère et de l’anévrysme ; d, fissures de la paroi artérielle, provenant de l’opération ; h, épanchement sanguin dans l’adventice de l’artère. Coloration par la résorcine-fuchsine de Weigert (pour le tissu élastique), l’hémotoxyline ferrique et d'après van Gieson. Grossissement : 10 fois
617 Séance du 5 Mai 1937. Communications. Intérêt et technique de la chirurgie électrique: la chirurgie vésicale par la haute fréquence, par M. Maurice Heitz-Boyer
Image : Fig. 1. — Mise en place de l'écarteur sus-pubien (modèle Gosset). Dans la figure en bas et au milieu (fig. G), est représentée la technique habituelle, dans laquelle l'écarteur n’étant pas fixé, remonte vers l’ombilic aussitôt qu’on l’écarte fortement, en ne donnant qu’un jour infime sur la partie inférieure de la plaie, par conséquent sur la région basse (cervicale et trigonale) du globe Vésical. Au contraire (voir les deux figures d'en haut, A et B), lorsque cet écarteur inférieur a été préalablement immobilisé vers le pubis, son écartement sera effectif et permettra un très large abord sur cette partie inférieure de la vessie difficilement accessible, et sur laquelle on peut dès lors toujours pratiquer une chirurgie vraiment « à ciel ouvert »
618 Séance du 5 Mai 1937. Communications. Intérêt et technique de la chirurgie électrique: la chirurgie vésicale par la haute fréquence, par M. Maurice Heitz-Boyer
Image : Fig. 2. — Action de 1 Ecarteur de Gosset à « branches pivotantes » (fabriqué par Gentile). Les traits pleins représentent ses deux branches vis-à-vis des parois vésicales adjacentes, dans la position ordinaire classique de l’Ecarteur. En traits pointillés les deux mêmes branches, ayant pivoté sur leur axe, écarteront presque du double les parois latérales et le fond de la vessie, tout en conservant un degré semblable d’ouverture vésicale
619 Séance du 5 Mai 1937. Communications. Intérêt et technique de la chirurgie électrique: la chirurgie vésicale par la haute fréquence, par M. Maurice Heitz-Boyer
Image : Fig. 3 et 4. — Les figures 3 et 4 exposent les manières inefficace ou efficace de réaliser l'éclairage et la bonne exposition de la partie profonde d'une vessie. La figure 3 montre comment les parties latérales de la vessie, si on ne les a pas au préalable immobilisées à leur partie supérieure, se dérobent à l’action transversale de l’écarteur intra-vésical ; ces parois latérales glissent en effet de plus en plus vers le bas devant la pression de cet écarteur, échappant à son action, qui sera dès lors infime ou nulle pour déplisser et étaler le fond de la vessie : l’écarteur aura dans ces conditions agi « en hauteur » (ce qui est inutile), au lieu d’agir « en largeur » (ce qui est nécessaire). La figure 4 montre par contre comment, par la solidarisation rigoureuse des deux lèvres cutanéo-musculaires aux deux lèvres de l’incision vésicale (réalisée par un « ourlage » circulaire), se trouvera empêché ce glissement vers le bas des faces latérales de la vessie ; celles-ci, tendues ainsi, vont être dès lors repoussées effectivement par la poussée transversale de l’écarteur intravésical, qui pourra de ce fait agir efficacement à son tour sur le plancher vésical, pour en réaliser le large étalement et la bonne exposition
620 Séance du 5 Mai 1937. Communications. Intérêt et technique de la chirurgie électrique: la chirurgie vésicale par la haute fréquence, par M. Maurice Heitz-Boyer
Image : Fig. 5. — Les deux lèvres vésicales ayant été solidarisées aux deux lèvres pariétales cutanéo-musculaires par un « ourlage » circulaire, on voit comment l’écarteur sus-pubien « préalablement immobilisé » vers le pubis écartera d’un même coup les lèvres de l’incision de la paroi et celles de la vessie. Dans la figure A, l’écarteur suspubien a été laissé en faible écartement, et ne donne encore qu’un jour faible sur la cavité vésicale et la Tumeur. La figure B montre qu’au fur et à mesure qu’est augmenté l’intervalle des deux branches de l’écarteur, le jour obtenu sur la cavité vésicale sera de plus en plus grand : la totalité du réservoir, particulièrement sa partie profonde avec le trigone et l’orifice cervical, se trouvent ainsi bien visibles, et la volumineuse tumeur vésicale qui y est implantée est mise pleinement en évidence. Ainsi, du fait du seul écarteur suspubien, un large accès a été réalisé sur l’intérieur de la vessie
621 Séance du 5 Mai 1937. Communications. Intérêt et technique de la chirurgie électrique: la chirurgie vésicale par la haute fréquence, par M. Maurice Heitz-Boyer
Image : Fig. 6. — On peut encore augmenter le jour obtenu sur la cavité vésicale, et en particulier sur sa partie profonde, en mettant en place un second Ecarteur, introduit cette fois dans l'intérieur même de la Vessie, et orienté en sens inverse du suspubien ; grâce à la fixation des lèvres vésicales à la peau, mettant en tension les parois latérales de la Vessie, ce second Ecarteur intra-vésical aura son plein effet, et finira de donner une vision parfaite sur la totalité de la cavité vésicale, et particulièrement sur son plancher
626 Séance du 5 Mai 1937. Communications. Intérêt et technique de la chirurgie électrique: la chirurgie vésicale par la haute fréquence, par M. Maurice Heitz-Boyer
Image : Fig. 7 et 8 montrant la technique du traitement des diverticules de la vessie latéraux très infectés par une « marsupialisation » perfectionnée grâce à la Haute Fréquence
652 Séance du 12 Mai 1937. Communications. A propos de l’enchevillement des fractures diaphysaires. Emploi de chevilles en "os purum » (4 cas). Remarques sur la durée d’immobilisation et le degré de fixité, par M. H. Laffitte
Image : A 1, cheville d'os « purum » avec cannelures et lumière centrale conservée dans son tube stérilisé / A 2, coupe et élévation d’une cheville
657 Séance du 12 Mai 1937. Communications. A propos de l’enchevillement des fractures diaphysaires. Emploi de chevilles en "os purum » (4 cas). Remarques sur la durée d’immobilisation et le degré de fixité, par M. H. Laffitte
Image : D 3, cliché de face et de profil cent jours après l'intervention. Le plâtre est retiré depuis un mois. La cheville se résorbe. Le cal est extrêmement dense
660 Séance du 12 Mai 1937. Communications. A propos de l’enchevillement des fractures diaphysaires. Emploi de chevilles en "os purum » (4 cas). Remarques sur la durée d’immobilisation et le degré de fixité, par M. H. Laffitte
Image : F 2, trois mois après : le cal radial est bien formé. La cheville radiale était parfaitement assujettie. La cheville cubitale jouait dans son siège supérieur et les bords diaphysaires n’étaient pas au contact ; résultat : néarthrose
664 Séance du 12 Mai 1937. Communications. A propos de l’enchevillement des fractures diaphysaires. Emploi de chevilles en "os purum » (4 cas). Remarques sur la durée d’immobilisation et le degré de fixité, par M. H. Laffitte
Image : H 3, schéma de la coupe. Le pointillé représente l’os greffé mort ; les hachures verticales l’os ancien vivant ; les hachures horizontales l’os greffé réhabité et vivant
699 Séance du 19 Mai 1937. Communications. A propos d’un cas de tumeur bénigne de l’estomac (Schwannome), par Mm. P. Brocq, P. Brodin, P. Porcher et Mme Tédesco
Image : Fig. 5. — Micro-photographie. Faible grossissement. Vue d'ensemble montrant la disposition en tourbillons des faisceaux de cellules néoplasiques. On distingue dans la région gauche du cliché la disposition palissadique
700 Séance du 19 Mai 1937. Communications. A propos d’un cas de tumeur bénigne de l’estomac (Schwannome), par Mm. P. Brocq, P. Brodin, P. Porcher et Mme Tédesco
Image : Fig. 6. — Micro-photographie. Fort grossissement. On observe des libres collagènes formant un feutrage, dont les mailles contiennent une substance mucoïde. Noter la line dégénérescence kystique dont sont atteintes beaucoup de cellules néoplasiques
707 Séance du 19 Mai 1937. Communications. Ectopie croisée du rein gauche provoquée par un volumineux kyste paranéphrétique, par Mm. Paul Moure et Jacques Marcy
Image : Fig. 2. — Paroi du kyste, dont la face interne se trouve en haut. Pression de la surrénale dans celle coque fibreuse
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