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7ème série, tome V. - Paris : Masson, 1934.
Cote : 90153.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
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250 Travaux originaux. Acné comédonienne, indurée, phlegmoneuse, à ponts fibreux, à chéloides vraies sur acné - Acné à abcès profonds et à formations fibreuses hyperplasiques — Acné ulcéro-végétante à marche serpigineuse cicatricielle (Acné conglobata) par M. L.-M. Pautrier
Image : Fig. 12. — Quatrième stade (1931). L’abcès du haut de la fesse gauche est fermé. Mais il persiste encore un certain nombre de « tunnels » sous le toit fibreux. Sur la fesse droite persiste un gros bourgeon charnu, présentant en son centre une fistule correspondant à l'ancien abcès de la fesse droite
251 Travaux originaux. Acné comédonienne, indurée, phlegmoneuse, à ponts fibreux, à chéloides vraies sur acné - Acné à abcès profonds et à formations fibreuses hyperplasiques — Acné ulcéro-végétante à marche serpigineuse cicatricielle (Acné conglobata) par M. L.-M. Pautrier
Image : Fig. 13. — Quatrième stade (1931). Cicatrice fibreuse qui s’est formée au niveau une des anciennes ulcérations de la fesse droite et qui est minée par De véritables « tunnels »
254 Travaux originaux. Acné comédonienne, indurée, phlegmoneuse, à ponts fibreux, à chéloides vraies sur acné - Acné à abcès profonds et à formations fibreuses hyperplasiques — Acné ulcéro-végétante à marche serpigineuse cicatricielle (Acné conglobata) par M. L.-M. Pautrier
Image : Fig. 14. Quatrième stade (1931). Vaste placard de la cuisse droite cicatriciel à son centre et sur presque tout son pourtour, mais présentant encore sur une partie de ses bords des lésions ulcéreuses végétantes
255 Travaux originaux. Acné comédonienne, indurée, phlegmoneuse, à ponts fibreux, à chéloides vraies sur acné - Acné à abcès profonds et à formations fibreuses hyperplasiques — Acné ulcéro-végétante à marche serpigineuse cicatricielle (Acné conglobata) par M. L.-M. Pautrier
Image : Fig. 15. — Quatrième stade (1931). Début des lésions végétantes et ulcéreuses à la face interne du bras gauche près de l’aisselle. Elles rappellent, a ce stade, des Bromides végétantes ou des lésions de blastomycose
264 Travaux originaux. Acné comédonienne, indurée, phlegmoneuse, à ponts fibreux, à chéloides vraies sur acné - Acné à abcès profonds et à formations fibreuses hyperplasiques — Acné ulcéro-végétante à marche serpigineuse cicatricielle (Acné conglobata) par M. L.-M. Pautrier
Image : Fig. 20. — Biopsie sur le rebord du placard fibreux du bord de la joue droite, formé de ponts fibreux et de languettes découpées (Fig. 4). La lésion est constituée essentiellement par Une profonde invagination épidermique surplombée par Une languette décollée. Cette invagination correspond manifestement à l’orifice d'abouchement d’une ancienne glande sébacée. Elle est remplie par Des lamelles cornées, desquamées et de la matière sébacée. La languette supérieure présente une architecture normale avec des glandes sébacées et ses follicules pileux ; mais inflammation manifeste et hyperplasie de l’élastine réalisant un élastome diffus. L’épiderme de la paroi inférieure de l’infundibulum est cicatriciel ; il ne présente plus trace de follicul
266 Travaux originaux. Acné comédonienne, indurée, phlegmoneuse, à ponts fibreux, à chéloides vraies sur acné - Acné à abcès profonds et à formations fibreuses hyperplasiques — Acné ulcéro-végétante à marche serpigineuse cicatricielle (Acné conglobata) par M. L.-M. Pautrier
Image : Fig. 21. — Chéloïde vraie développée sur acné phlegmoneuse du dos. La cheloide, qui occupe le centre de la coupe, est séparée de l’épiderme par Une large bande de collagène normal (Grossissement : 75 centimètres)
268 Travaux originaux. Acné comédonienne, indurée, phlegmoneuse, à ponts fibreux, à chéloides vraies sur acné - Acné à abcès profonds et à formations fibreuses hyperplasiques — Acné ulcéro-végétante à marche serpigineuse cicatricielle (Acné conglobata) par M. L.-M. Pautrier
Image : Fig. 22. — Biopsie de toute l’épaisseur de l’abcès de la fesse droite. Au bas de la coupe, on distingue le début de l’abcès. Au-dessus, infiltration dense, en bandes, presque purement plasmocytaire. Nulle part il n’y a trace de tissu tuberculoïde (Grossissement : 80 diamètres)
270 Travaux originaux. Acné comédonienne, indurée, phlegmoneuse, à ponts fibreux, à chéloides vraies sur acné - Acné à abcès profonds et à formations fibreuses hyperplasiques — Acné ulcéro-végétante à marche serpigineuse cicatricielle (Acné conglobata) par M. L.-M. Pautrier
Image : Fig. 24. — Biopsie de la lésion végétante de l'avant-bras gauche (Fig. 18). Epiderme monstrueusement acanthosique. Enormes comédons ou plutôt bouchons cornés d'orifice des tunnels épidermiques que l’on va retrouver sur les coupes suivantes. Le derme est formé par Un tissu de granulation très lâche, très vascularisé (Grossissement : 45 diamètres)
271 Travaux originaux. Acné comédonienne, indurée, phlegmoneuse, à ponts fibreux, à chéloides vraies sur acné - Acné à abcès profonds et à formations fibreuses hyperplasiques — Acné ulcéro-végétante à marche serpigineuse cicatricielle (Acné conglobata) par M. L.-M. Pautrier
Image : Fig. 25. — Cheminée épidermique s'enfonçant très profondément dans la masse végétante. En haut, bouchon comédonien. La glande sébacée a disparu par Suite de l'inflammation chronique et l’épithélium a progressé en profondeur, tapissant la cheminée ainsi constituée. Le centre est rempli de débris cornés, de cellules épithéliales desquamées, de matière d'aspect caséeux, mais il n y a pas de pus. Latéralement les parois épithéliales de la cheminee sont également en hypcracanthose (Grossissement : 45 diamètres)
272 Travaux originaux. Acné comédonienne, indurée, phlegmoneuse, à ponts fibreux, à chéloides vraies sur acné - Acné à abcès profonds et à formations fibreuses hyperplasiques — Acné ulcéro-végétante à marche serpigineuse cicatricielle (Acné conglobata) par M. L.-M. Pautrier
Image : Fig. 26 — Un de ces tunnels épidermiques formés aux dépens de l’abouchement de l'appareil pilo-sébacé ; le revêtement épithélial s’enfonce dans le tissu végétant à une grande profondeur, et s’ouvre directement au contact de l’infiltrat (Grossissement : 105 diamètres)
274 Travaux originaux. Acné comédonienne, indurée, phlegmoneuse, à ponts fibreux, à chéloides vraies sur acné - Acné à abcès profonds et à formations fibreuses hyperplasiques — Acné ulcéro-végétante à marche serpigineuse cicatricielle (Acné conglobata) par M. L.-M. Pautrier
Image : Fig. 27. — Détail du contenu d’une des « cheminées » épithéliales. On voit qu’il n'y a pas de pus, mais de grandes cellules malpighiennes et cornées desquamées, de toutes tailles et de toutes dimensions, des débris cornés, des débris de noyaux en pycnose, des débris de matière d’aspect sébacé (Grossissement : 570 diamètres)
275 Travaux originaux. Acné comédonienne, indurée, phlegmoneuse, à ponts fibreux, à chéloides vraies sur acné - Acné à abcès profonds et à formations fibreuses hyperplasiques — Acné ulcéro-végétante à marche serpigineuse cicatricielle (Acné conglobata) par M. L.-M. Pautrier
Image : Fig. 28. — Montrant la structure du derme. On retrouve en haut l'extrémité de masses épidermiques acanthosiques. Derme forme par Un collagène très grêle, en fines fibrilles, très imbibé, servant de substratum à de larges vaisseaux béants et à un infiltrat forme de fibrocytes, lymphocytes, histiocytes, plasmocytes. C’est en somme un tissu de granulation. Quelques grosses fibres élastiques (Grossissement : 350 diamètres)
289 Travaux originaux. Les condylomes innocents et éphémères de l'anus par Paul Chevallier, A. Fiehrer et L. Ely
Image : Fig. 1. — Végétations innocentes et éphémères du second type (En crête de coq, et non en épines). Cas de l’enfant rapporté ci-contre
301 Travaux originaux. Étiologie et pathogenèse de la dermatose striée. Photodermite actino-calorique chlorophyllienne par Milan Kitchevatz
Image : Photo 2. — On remarque distinctement la différence entre l’endroit de contact avec l’extrait d’épinard et de la peau environnante
303 Travaux originaux. Étiologie et pathogenèse de la dermatose striée. Photodermite actino-calorique chlorophyllienne par Milan Kitchevatz
Image : Photo 3. — La surface de la peau (15 x 14 cm3) irradiée par La lampe de quartz à vapeur de hg. Erythème suivi de pigmentation de toute la surface plus intense sur les endroits de contact de l’extrait d’épinard (E) et des solutions alcooliques de la chlorophylle 1 o/o, 2 0/0 et 5 0/0 (Les cercles dépigmentés autour des places de contact proviennent du leucoplaste collé sur la peau servant à la fixation des tampons d’ouate)
304 Travaux originaux. Étiologie et pathogenèse de la dermatose striée. Photodermite actino-calorique chlorophyllienne par Milan Kitchevatz
Image : Photo 4. — Faite après la lecture des résultats le lendemain après l'irradiation de la peau par La lampe à vapeur de hg. Erythème sur toute la surface irradiée distinctement plus intense sur les endroits de l’application de l’extrait d’épinard (E) ainsi que des solutions de la chlorophylle 1 %, 2 % et 5 %
305 Travaux originaux. Étiologie et pathogenèse de la dermatose striée. Photodermite actino-calorique chlorophyllienne par Milan Kitchevatz
Image : Photo 5. — Côté droit : 4 surfaces (I, ii, III et iv) carrées avec une tache érythémateuse à l’endroit de l’application d’une solution alcoolique de chlorophylle et après irradiation par Une lampe à rayons rouges. On remarque, contrairement aux expériences précédentes, qu’il n’y a pas de rougeur sur toute la surface irradiée car la photosensibilisation pour les rayons rouges n’existe qu’aux endroits d application de photocatalysateur, la chlorophylle. côté gauche : sur trois surfaces (1, 2 et 5) d’application de la chlorophylle (5 %) une rougeur uniquement à l’endroit du contact. Les surfaces 3, 4 et 6 sont des contrôles (Voir détails à la photo 6). La rougeur de forme irrégulière des parties centrales des deux côtés provient uniqueme
306 Travaux originaux. Étiologie et pathogenèse de la dermatose striée. Photodermite actino-calorique chlorophyllienne par Milan Kitchevatz
Image : Photo 6. — Résultats le lendemain de l’expérience précédente. En bas : les surfaces i, ii, III et iv : application d'une solution alcoolique de chlorophylle (5, 10, 25 et 50 %). L’érythème change vers pigmentation brunâtre. L’intensité est proportionnelle à la concentration. La peau environnante sans changement (La surface quadrangulaire sur la partie ii provient d’une irritation par Le leucoplaste du pansement de fixation de l’expérience d’en haut. En haut à droite : application sur la peau mouillée et après frottement avec une couche épaisse de 5 feuilles de papier filtre coupées sous forme de feuilles d’une plante et imbibées d’une solution alcoolique de chlorophylle (25 %). La durée d’application 20 heures. Après enlèvement du pan
381 Travaux originaux. Contribution à l'étude des poïkilodermies - À propos de trois cas de toxidermie folliculaire et pigmentaire d'origine exogène par S. Noguer-Moré
Image : Fig. 1. — Obs. I. Mélanose diffuse de la face. Pigmentations punctiformes périfolliculaires dans la région sternale
384 Travaux originaux. Contribution à l'étude des poïkilodermies - À propos de trois cas de toxidermie folliculaire et pigmentaire d'origine exogène par S. Noguer-Moré
Image : Fig. 2. — Obs. Ii. Hyperkératose folliculaire avec discrètes pigmentations périfolliculaires. Éléments confluant dans la région de l’aisselle
385 Travaux originaux. Contribution à l'étude des poïkilodermies - À propos de trois cas de toxidermie folliculaire et pigmentaire d'origine exogène par S. Noguer-Moré
Image : Fig. 3. — Obs. Ii. Hyperkératose folliculaire el pigmentaire spécialement marquée près de la région axillaire à cause de l'habitude de placer, dans l'aisselle, le chiffon imprégné d’huile sale
389 Travaux originaux. Contribution à l'étude des poïkilodermies - À propos de trois cas de toxidermie folliculaire et pigmentaire d'origine exogène par S. Noguer-Moré
Image : Fig. 4. — Obs. III. Hyperkératose folliculaire conglomérée sur les premières phalanges; éléments isolés sur le dos de la main
395 Travaux originaux. Contribution à l'étude des poïkilodermies - À propos de trois cas de toxidermie folliculaire et pigmentaire d'origine exogène par S. Noguer-Moré
Image : Micro n° 1. — Peau de la première phalange de la face dorsale. Coloration hématoxyline-éosine. Obj. N° 3, oc. N° 2. Énormes infiltrations périfolliculaires effaçant en quelques points le derme papiliaire. Grandes accumulations de pigment dans la couche superficielle du derme papillaire
396 Travaux originaux. Contribution à l'étude des poïkilodermies - À propos de trois cas de toxidermie folliculaire et pigmentaire d'origine exogène par S. Noguer-Moré
Image : Micro n° 2. — Biopsie de la région sous-orbitaire. Coloration hématoxyline et éosine. Obj. N° 3, oc. N° 3. Manchon inflammatoire périfolliculaire et grandes accumulations de pigment périfolliculaire et dans le derme
397 Travaux originaux. Contribution à l'étude des poïkilodermies - À propos de trois cas de toxidermie folliculaire et pigmentaire d'origine exogène par S. Noguer-Moré
Image : Micro n° 3. — Région sous-orbitaire. Coloration Rio Ortega. Obj. 3, oc. 2. L'imprégnation argentique selective met surtout en relief les accumulations pigmentaires périfolliculaires
398 Travaux originaux. Contribution à l'étude des poïkilodermies - À propos de trois cas de toxidermie folliculaire et pigmentaire d'origine exogène par S. Noguer-Moré
Image : Micro n° 4. — Méthode Gallego (Fuchsine ferrique). Fibres élastiques normales avec une disposition spéciale rectiligne et de légères ondulations
491 Travaux originaux. Considérations à propos d'un cas de « livedo racemosa » par le docteur Nicolau Rossetti
Image : Fig. 1. — Sur cette photographie, les lésions du livedo racemosa, plus particulièrement celles du genou droit, sont visibles
492 Travaux originaux. Considérations à propos d'un cas de « livedo racemosa » par le docteur Nicolau Rossetti
Image : Fig. 2. — Coupe histologique montrant dans la partie profonde de l’hypoderme les vaisseaux oblitérés (Coloration par Le van Gieson, grossissement 40 x)
493 Travaux originaux. Considérations à propos d'un cas de « livedo racemosa » par le docteur Nicolau Rossetti
Image : Fig. 3. — Les vaisseaux oblitérés de la Fig.ure 2 à plus fort grossissement : 120 x
494 Travaux originaux. Considérations à propos d'un cas de « livedo racemosa » par le docteur Nicolau Rossetti
Image : Fig. 4. — Les vaisseaux oblitérés de la Fig.ure 2 à plus fort grossissement : 280 x
495 Travaux originaux. Considérations à propos d'un cas de « livedo racemosa » par le docteur Nicolau Rossetti
Image : Fig. 5. — Les mêmes vaisseaux de la Fig.ure 4 à grossissement égal, mais en coupe différente. (Coloration par La méthode Bielchowski, grossissement : 280 x)
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