Image : Fig.1. Ryb. Tel. (Observ. I). Stade aigu de pempbigus / Fig. 2. Même malade après la disparition des symptômes

Image : Fig. Divisions homolypiques. Dans la moitié supérieure du champ, deux spirochètes en voie de division sont réunis par La charnière periplasiniijue. En dessous on voit deux spirocliètes égaux encore unis par un long filament ondulé / Fig. 2. — Division hélérotypique. Un microspirocliète d’un peu plus d’un tour de spire est réuni à un spirochètes normal par Le périplasme ondulé / Fig. 3. — Division hélérotypique donnant naissance à un granule spirochétogène. Le granule terminé à un pôle par un long filament témoin d’une division antérieure est encore relié au spirochète d’où il provient par Le périplasme ondulé / Fig. 4. — Granule spirochétogène libre présentant un long filament ondulé. Toutes nos Fig.ures proviennent de microphotographies ; les préparations ont été obtenues par La technique d’imprégnation indiquée dans ce travail

Image : Fig. 5. — Spirochoeta microdentium Noguchi (Souche Mad.). Culture de un mois en bouillon-ascite-rein. Un très petit granule spirochétogène relié au spirochète par un filament ondulé / Fig. 6. — Sptrocoela ambigua P. Séguin et R. Vinzent (Souche b 4). Culture de un mois en bouillon-ascite-rein. Au-dessous d’une image de division homotypique, on voit plusieurs granules spirochétogènes libres / Fig. 7. Spirochoeta pallida (Frottis de syphilide secondaire, preparation de R. Mollinedo). Granule spirochétogène terminé par un long filament / Fig. 8. — Spirochoeta pallida (Même matériel). Granule spirochétogène à filament ondulé plus court

Image : Fig. 9. — Spirochoeta comandoni P. Séguin et R. Virizent (Souche Plan.). Culture de 3 semaines en houillon-acsite-rein. An centre du champ, granule spirochéto-gène à filament terminal ondulé. Les tours de spire du filament sont aplatis / Fig. 10. — Spirochoeta comandoni P. Séguin et R. Vinzeul: (Souche Plan.). Granule spirochétogène présentant à chaque pôle un filament ondulé à tours de spire aplatis / Fig. 11. — Spirochoeta macrodentium Noguchi (Souche fi). Division hétérotypique aboutissant à la libération d'un granule spirochétogène. Le granule qui présente à une extrémité un long filament ondulé est relié au spirochète par une courte charnière périplasmique / Fig. 12. — Spirochoeta orogyrata P. Séguin et r. Vinzent (Souche gi). Culture de 6 jours en bouillon-sérum-rein. Granule spirochétogène libre

Image : Fig. 13. — Spirochète isolé d’un abcès du rat (R. Vinzent). Cullure de 7 jours en bouillon-sérum-rein. Granule spirocliclogène libre / Fig. 14. — Même matériel que Fig.ure 13. Un autre granule spirochélogène libre / Fig. 15. — Spirochoeta duttonI. Culture de 7 jours en milieu marchoux-chorine (Préparation de r. Mollinedo), deux granules spirocliétogènes libres / Fig. 16. — Spirochoeta gallinarum. Culture de 8 jours en milieu marchoux-chorine. Remarquer la ressemblance des granules spirochétogènes Gallinarum et Duttoni

Image : Fig. 17. — Spirochoeta refringens (Souche mign.). Culture de 10 jours en bouillon-sérum-rein. Division hélérolypique iiboulissant à la libération d’un granule spirochétogène. Le granule relié au spirochèle par La charnière périplasmique présente à l’autre pôle un filament ondulé. Cette image est analogue à la Fig. 11 (Sp. Macrodentium) / Fig. 18. — Spirochoeta refringens (Souche bal.). Culture de 15 jours en bouillon-sérum-rein. Granule spirochélbgène libre. Remarquer l’épaisseur et la brièveté du filament ondulé / Fig. 19. — Spirochoeta refringens (Souche mign.). Culture de 10 jours on bouillon-sérum-rein. Granule spirochétogèno libre / Fig. 20. — Spirochoeta buccalis cobn (Souche brise.). Culture de 6 jours on bouillon-sérum-rein. Granule spirochélogèno libre

Image : Fig. 21. — Spirochoeta de la fièvre récurrente hispano-africaine. Culture de 6 jours en milieu Marchoux-Chorino. Granule spiroehétogène libre (Préparation de R. Mollinedo) / Fig. 22. — Spirochoeta gallinarum. Cullure de 6 jours en bouillon-sérum-rein. Granule spirocliétogène libre de grande taille très semblable à celui du spirochète hispano-africain / Fig. 23. — Spirochoeta calligyra. Filtrat de culture âgée à travers une bougie de chamberland l2. Granule spirochélogène imprégné ayant traversé le filtre / Fig. 24. — Spirochoeta calligyra. Filtrat de culture âgée à travers une bougie de chamberland l3. Granule spirocliélogène ayant traversé le filtre

Image : Fig. 25. — Cullure de 10 jours en bouillon-sérum-rein de bacille de shmamine et de granules spirochétogènes (Sp. Calligyra) isolés par Filtration. Les granules se sont développés en longs filaments plus ou moins imprégnés. Le filament de droite plus ondulé et plus fortement imprégné présente des images de division hétérotypique multiple. Les microspirochètes ainsi libérés donneront les jours suivants une grande abondance de spirochetes normaux

Image : Fig. 1. — Aspect microscopique du foie (Lésions d’hépatite dégénérative du type graisseux diffuse, mais à prédominance périportale ; altérations post-mortem importantes)

Image : Fig. Aspect clinique de la lésion en grandeur nature. La photographie agrandie d’après un film en couleurs, dû à l’obligeance du docteur Dérome (Metz), laisse à désirer, mais donne cependant une idée du placard érythémato- Squameux polycyclique de l’avant-bras

Image : Fig. 2. — Vue histologique d'un endroit du fragment biopsié, montrant un épiderme hyperkératosiqiie et acanthosique avec envahissement du corps muqueux, surtout dans ses couches profondes, par des cellules étrangères à noyaux un peu plus foncés que ceux des cellules malpighiennes. Mais-à protoplasme plus clair. Déjà à ce grossissement on trouve parmi ces cellules claires des mitoses : une à droite, trois à gauche, à environ 4 centimètres de chaque bord latéral de la Fig.ure. Ces cellules évoluent vers la surface, entraînées par la rénovation normale de l’épiderme et finissent par se nécroser dans les couches haut situées.

Image : Fig. 3. — Vue histologique de la pièce opératoire montrant un endroit où l’épiderme est tellement envahi par Les cellules étrangères que les cellules malpi-ghiennes sont réduites à quelques cloisonnements d’apparence trabéculaire, cheminant perpendiculairement à la surface. De plus, l’infiltrat dermique assez important, est au contact de l'épiderme de sorte que les limites entre les deux sont impossibles à fixer avec précision. Dans le haut, les cellules étrangères se rassemblent en nids et en thèques qui finissent par être éliminés avec la couche cornée

Image : Fig. 4. — Fort grossissement d’un endroit de la Fig.ure 2, montrant les cellules étrangères à l'intérieur du corps muqueux de malpighI. Deux d’entre elles sont en mitose. Les cellules étrangères ont un noyau un peu plus foncé que les cellules maalpighiennes et un protoplasme plus clair. Elles sont abondantes au niveau de la basale épidermique dont les cellules sont repoussées et atrophiées. À cet endroit le derme avoisinant est respecté et la limite dermo-épidermique est nette. En couleurs les différences entre cellules malpighiennes et cellules étrangères ressortiraient avec une netteté qui ne peut être réalisée sur cette microphoto. (Microphoto grossiss. 600 diam.)

Image : Lésion érythémato-squameuse polycyclique de l'avant-bras évoluant depuis 6 ans chez un garçonnet de 13 ans histologiquement infiltrat intra-épidermique d'apparence tumorale

Image : Fig. 5. — Détail de la Fig.ure 3 montrant en surface les thèques que forment les cellules étrangères, thèques qui sont entourées par des cellules malpighiennes étirées avec appareil filamentaire encore souvent visible sur cette photographie. Les cellules étrangères claires ont un protoplasme à peine visible sur cette photo, ce qui donne la transparence du contenu des thèques, tranchant sur les cellules malpighiennes foncées. En surface, deux thèques, avec cellules étrangères nécrosées, en voie d’élimination

Image : Fig. 6 — Pour bien rendre ce que nous voulons montrer ici il faudrait une photographiée en couleurs sur laquelle ressortirait nettement la limite entre l'épiderme et le derme ; nous y avons remédié par un trait d’encre. Les cellules claires ressemblent à des vacuoles alors qu’en réalité elles ont un protoplasme pâle qui n'a pas impressionne la plaque photographique. Remarquer que les cellules inflammatoires de la reaction dermique sont d’un type différent des cellules étrangères de 1 epiderme. Il faudrait, s'il s'agit d’une immigration de cellule- Inflammatoires du derme dans l’epiderme, qu’il y ait un véritable triage ne laissant passer que certaines cellules plus grosses, à protoplasme pâle. (Microphoto grossiss. 600 diam, )

Image : Fig. 1 [Un nouveau cas de gale norvegienne. J. Golay]

Image : Fig. 2

Image : Fig. 3

Image : Fig. 4. — Acare femelle de la gale normale / Fig. 5. — Acare femelle, dans notre cas de gale norvégienne