Image : [Fig. 178. Cette figure et la suivante sont destinées à donner dès maintenant une idée de la manière de faire la réduction avant l'application du plâtre (fig. 178) et de maintenir la réduction pendant cette application (fig. suivante)]

Image : [Fig. 179. Le malade est placé sur le pelvi support improvisé / Fig. 180. Si après avoir construit votre plâtre, vous constatez que la partie périphérique, libre, du membre a gonflé, ou pris une teinte violette ou bleuâtre, c'est que vous avez trop serré vos bandes]

Image : [Fig. 181. Comment fenêtrer le plâtre au niveau des plaies / Fig. 182. Les 4 pans du jersey sont rabattus sur les bords de la fenêtre]

Image : [Fig. 183. Le pansement / Fig. 184. Lorsque le plâtre est fait comme appareil de transport (à l'ambulance ou à la gare tête d'étapes), et nous avons vu que c'est l'appareil idéal de transport, qui devrait être adopté partout, à l'exclusion des gouttières ; en ce cas, dis-je, pour éviter sûrement tout risque d'étranglement, pour la route et pour les jours qui suivent, je vous conseille de fendre le plâtre un quart d'heure après sa « prise », de le fendre de haut en bas, sur le devant, mais sans écarter ses bords]

Image : [Fig. 185. Autre manière de vous garantir absolument contre tout risque d'entamer les téguments, lorsque vous aurez à fendre le plâtre, presque aussitôt après l'avoir construit, c'est-à-dire lorsqu'il doit servir comme appareil de transport ; au lieu de la bande d'ouate de la figure précédente (fig. 184) glissez, sous le jersey, avant de bâtir le plâtre, une lame de zinc, sur laquelle ensuite le couteau va sectionner l'appareil sans danger d'érafler la peau du blessé / Fig. 186. Pour montrer comment on maintient les bords en contact (ou à une certaine distance si l'on veut), avec une simple bande molle / Fig. 187. Pour fendre un plâtre sec et dur ou le fenêtrer, il faut entamer la paroi de l'appareil de telle sorte que le couteau découpe une sorte de rigole : le plâtre se laisse ainsi entamer plus aisément. Faire couler au fur et à mesure un peu d'eau chaude dans la rigole, ce qui facilite beaucoup le travail du couteau (voir fig. 181)]

Image : [Fig. 188. Pince de Stille / Fig. 189. Cisaille de notre assistant, le Dr Privat, pour couper les appareils plâtrés - bien supérieure à la pince de Stille, pour les raisons dits dans le texte / Fig. 190. Cisaille ouverte. En A. clef permettant de détacher le couteau pour l'aiguiser ou le remplacer / Fig. 191. Notre grand plâtre transformé en bivalve - puis (à votre gré) restant bivalve ou retransformé (par quelques tours de bande plâtrée), en appareil inamovible]

Image : [Fig. 192. Pour montrer encore la nécessité de fermer ces fenêtres et de maintenir le pansement par une bande assez serrée (voir figure suivante), ce qu'on oublie trop souvent et alors il arrive que les tissus répondant à ces fenêtres gonflent, prennent un aspect violacé et viennent faire hernie au-dessus du plan du plâtre ; la peau prend un mauvais aspect, avec bourgeons exubérants, blafards ou violets]

Image : [Fig. 193. Pansement compressif méthodique effectué au moyen de carrés d'ouate dont les bords sont insinués sous les montants de la fenêtre et qui forment une sorte de dôme saillant ; la bande appliquée sur ce dôme va le ramener au niveau de la surface du plâtre (traits pointillés), forçant ainsi la masse herniée à renter dans le rang / Fig. 194. Quand les fenêtres sont taillées, on ne peut renforcer les montants ; pour cela on colle, sur ces montants, des attelles plâtrées faites chacune avec 1 ou 2 feuillets de tarlatane trempée dans la bouillie plâtrée ; on superpose ainsi 4, 5, 6 feuillets ou davantage, suivant le cas, c'est-à-dire suivant l'étroitesse des montants de ces fenêtres / Fig. 195. Les montants des fenêtres sont « renforcés » au moyen d'attelles plâtrées qui en doublent l'épaisseur et les rendent assez solides pour qu'on puisse se dispenser de l'emploi d'attelles de bois / Fig. 196. Pour donner à l'appareil plus de rigidité dans le cas de fenêtre très étendue, on le consolide au moyen d'une attelle de bois amovible, dont l'enlèvement au moment des pansements facilite le nettoyage parfait de la plaie / Fig. 197. La fenêtre après enlèvement de l'attelle de bois]

Image : [Fig. 198. Ce qu'il ne faut pas faire : les plâtres à anses / Fig. 199. Ce qu'il ne faut pas faire : les plâtres à anses]

Image : Fig. 200. Encore un appareil à anses, encore un exemple de ce que j'appelle « un précipité d'esquilles » / Fig. 201. Ce qu'il ne faut pas faire : les appareils à anses / Fig. 202. Coupe de l'appareil que vous devez faire (v. fig. 203 et 204)

Image : Fig. 203. L'appareil que vous devez faire (à la place des plâtres à anses) dans les rares cas où les appareils en plâtre pur ne suffisent pas / Fig. 204. Les extrémités des attelles de bois sont noyées dans un lit de plâtre et scellées aux 2 fourreaux au moyen de quelques tours de bande plâtrée

Image : [Arrachement par balle de la tubérosité d'insertion du tendon rotulien et luxation de la rotule en haut, par le Médecin-Aide Major André Trèves...] Fig. 1

Image : [Arrachement par balle de la tubérosité d'insertion du tendon rotulien et luxation de la rotule en haut, par le Médecin-Aide Major André Trèves...] Fig. 2

Image : Fig. 205. Plaie peu étendue de la face antérieure du membre / Fig. 206. Plaie sur la face latérale du membre

Image : Fig. 207. Trois plaies, trois fenêtres / Fig. 208. Coupe de l'appareil que vous devez faire alors

Image : Fig. 209, 210, 211 et 212. Pour corriger le chevauchement longitudinal. Démonstration de l'impuissance des appareils à anses et de l'efficacité de nos plâtres

Image : Fig. 213, 214 et 215. Pour corriger le déplacement transversal des fragments. - Démonstration de l'impuissance des plâtres à anses, et de l'efficacité de nos plâtres / Fig. 216, 217 et 218. Pour corriger le déplacement antéro-postérieur. - Démonstration de l'impuissance des appareils à anses et de l'efficacité de nos plâtres

Image : Fig. 219, 220 et 221. Pour corriger l'angularité. - Démonstration de l'impuissance des appareils à anses et de l'efficacité des nos plâtres / Fig. 222, 223 et 224. Pour corriger le déplacement par rotation. - Démonstration de l'impuissance des appareils à anses et de l'efficacité de nos plâtres

Image : Fig. 225, 226 et 227. Pour coapter les fragments multiples. - Démonstration de l'impuissance des appareils à anses avec l'efficacité de nos plâtres

Image : Fig. 1. Pelvi-support, dit patte d'oie

Image : Fig. 2. Table-supports et support proprement dit : trois-pieds du support brancard régimentaire

Image : Fig. 3. Appareil de traction Delbet / Fig. 4. Installation du blessé pendant l'application de l'appareil plâtré

Image : [Fig. 228. Pour protéger le plâtre, on garnit la partie déclive de la fenêtre d'un croissant d'ouate non hydrophile, fortement vaselinée qui empêchera les liquides coulant de la plaie de s'infiltrer entre le plâtre et les téguments / Fig. 229. On place par dessus le pansement, avant de faire l'appareil, un large carré de taffetas beaucoup plus grand que la future fenêtre ; quand celle-ci est ouverte, on fend en croix le taffetas, dont on rabat les pans sur les montants de l'ouverture. (En pointillé les dimensions du carré de taffetas)]

Image : Fig. 230. Coupe du pansement

Image : [Fig. 231. Le talon doit être logé dans une sorte de cavité du plâtre, de telle sorte qu'il n'y ait pas de contact entre les téguments et le plâtre / Fig. 232. Coupe d'un appareil au niveau des malléoles, pour montrer les gouttières qu'on modèle en arrière des malléoles, tout en laissant le tendon d'Achille flotter dans un creux du plâtre]

Image : Fig. 233. Face postérieure de la partie iliaque de l'appareil plâtré / Fig. 234. L'attelle A, recouvrant l'anse de contre-extension, forme plateau d'appui par l'ischion

Image : Fig. 1. Planchette de bois découpée suivant la forme de la face palmaire des premières phalanges des 4 derniers doigts et percée de 2 trous correspondant aux 2e et 4e espaces interdigitaux / Fig. 2. Un drain de caoutchouc (n° 30 au moins) passe par chacun des trous de la planchette. Chaque brin à 15 centimètres de longueur

Image : Fig. 3. Une ficelle réunit les 2 extrémités du drain et se prolonge sur une longueur de plusieurs décimètres portant de nombreuses boucles / Fig. 4. Pour éviter la pression douloureuse du caoutchouc entre les doigts, on enroule à la racine des doigts, une mèche d'amadou, méche à briquet assez épaisse / Fig. 5. La planchette étant placée sur la face palmaire des premières phalanges des 4 derniers doigts, on fait passer le drain dans le 2e et le 4e espaces interdigitaux et avec une épingle on fixe la ficelle à la manche de la veste attirée aussi bas que possible. Poignet et phalanges doivent rester en légère hyperextension / Fig. 6. Quand la manche est déjetée, après deux ou trois jours, on remplace l'épingle par deux boutons / Fig. 7. Si la manche est trop longue et glisse, ou trop large et tourne, vous lui donnez avec des épingles les dimensions convenables

Image : Fig. 8. Muni de son appareil, le blessé, peut grâce à ses inter-osseux (cubital), étendre ses 1re et 2e phalanges et par conséquent se servir de sa main et de ses doigts

Image : Fig. 235 à 239. Les cas de fractures pouvant être traitées par l'appareil plâtré seul (fig. 235 à 239) / Fig. 240 à 243. Les cas de fractures qui nécessitent à la fois le plâtre et l'extension continue, le plâtre ne pouvant, à lui seul, vous garantir contre tout déplacement (glissement) ultérieur (fig. 240 à 243)

Image : [Fig. 244. Lorsque le plâtre n'est pas très bien modelé sur la ceinture pelvienne, il peut toujours se produire un mouvement notable de bascule du bassin qui laisse s'abaisser le côté malade et, par suite, le chevauchement se reproduira. En grisé la position de correction : en pointillé la position défectueuse que peut prendre le bassin / Fig. 245. Et même avec un plâtre très bien modelé, on n'est pas certain de maintenir intégralement la correction]

Image : Fig. 246. Comme quoi le modelage de l'ischion est trop souvent illusoire / Fig. 247. (Extension et contre-extension sont indépendantes du plâtre) / Fig. 248. (Le plâtre fait corps avec le fragment supérieur)

Image : Fig. 249. Le plâtre fait corps avec le fragment inférieur / Fig. 250. Mode d'action de cette technique

Image : Fig. 251. Fracture datant de 16 jours. La voici au moment de l'application du plâtre / Fig. 252. La même, six semaines plus tard, à l'enlèvement du plâtre auquel on avait associé une extension continue de 30 kilos / Fig. 253. Fracture du col fémoral avant réduction et traitement

Image : Fig. 254. Le même cas (voir fig. 253) après réduction et traitement par le plâtre seul. Guérison anatomique et fonctionnelle absolument idéale

Image : A. Tige de graphite. B. Tige de cuivre garnie du pinceau de soie C. Pôles D et E garnis de peau ou de ouate mouillées par où pénétre le courant chez le malade

Image : Fig. 1. (modèle déposé). Gouttière droite / Fig. 2. Gouttière coudée en avant / Fig. 3. Gouttière coudée en arrière

Image : Fig. 4. Variante de la fig. 3 / Fig. 5. Gouttière roulée / Fig. 6. Gouttière pliée en deux (variante) / Fig. 7. Gouttière déployée

Image : Fig. 8. Gouttière avec baguette taraudée