Image : Fig. 1

Image : Fig. 2

Image : µ . ß. . . , 2 avril 1938. (Dernier travail clinique et photographie de m. G. Villain). Diamètre frontal au niveau des tubérosités ; haut 39 m/m ; bas 64 m/m

Image : Fig. 1. — Dispositif utilisé pour les essais de traction sur éprouvettes de céramique / Fig. 2. — Le calibrage d'éprouvettes carrées ou rectangulaires nécessite la retouche de deux faces des prismes. Avec la forme triangulaire, il suffit de retoucher une seule fois

Image : Fig. 3. — Gouttière de maillechort utilisée au début de nos essais pour préparer les éprouvettes / Fig. 4. — L’éprouvette est cuite nue sur un lit de quartz pulvérisé

Image : Fig. 5. — Moule pour la condensation des éprouvettes

Image : Fig. 6. — Dispositif utilisé pour comprimer les éprouvettes / Fig. 7. — Conditions des essais de flexion : les appuis sont écartés de 20 m/m

Image : Fig. 8. — Dispositif pour placer les éprouvettes sous la machine servant à mesurer la résistance à la flexion

Image : Fig. 9. — Machine utilisée pour nos premiers essais de flexion, puis abandonnée en raison de son imprécision

Image : Fig. 10. — Machine utilisée pour tous les essais de flexion dont les résultats furent retenus pour cette communication

Image : Fig. 11. — Dans la condensation au pinceau la pellicule liquide est importante, mais la bonne orientation des grains peut permettre à la cuisson au prix d ’un grand retrait de rétablir d’excellents rapports de surface entre les grains / Fig. 12. — Dans la condensation par Vibration l’attraction capillaire est maximum, les rapports des surfaces intergranulaires sont parfaits, ainsi que l'orientation des grains. La pellicule liquide est réduite au minimum / Fig. 13. — Dans la condensation par Compression, la disposition granulaire est anarchique, les rapports des surfaces sont mauvais, l’attraction capillaire joue mal et les grains mal orientés sont fixés par La compression

Image : Fig. 1. — Fracture apicale de l’incisive centrale droite ; le fragment fracturé a été déplacé par Un kyste développé aux dépens de l’incisive latérale (Observation)

Image : Fig. 2 . — Fracture à l’union du 1/3 cervical avec les 2/3 apicaux (Observation II) / Fig. 3. — Fracture radiculaire de l’incisive centrale par Suite d’un traumatisme remontant à 15 ans ; pulpe vivante ; kyste sur l’incisive latérale / Fig. 4. — Fracture coronaire de l’incisive latérale droite, fracture radiculaire des deux incisives centrales ; pulpe vivante dans ces deux dents (Observation IV) / Fig. 5 a (1929) / Fig. 5 b (1930) / Fig. 5 c (1932) / Fig. 5 d (1937)

Image : Fig. 6. — L’incisive centrale gauche dont la radiographie in situ est reproduite figure 3. La dent a été enlevée avec les parois alvéolaires restantes, les autres parties ayant été résorbées par Le kyste formé à l’apex de l’incisive latérale ; celui-ci, ayant détruit la face palatine de l’os sans traverser sa face vestibulaire, a résorbé entièrement les faces linguales et mésiales de l’alvéole de l’incisive centrale derrière laquelle il s’étendait

Image : Fig. 1 / Fig. 2