PrésentationMode d’emploiServices associésRéutilisations

Liste des pages

 
Périodique numérisé avec l'accord de la Société de pathologie exotique. Tous droits réservés.
Nombre de réponses : 1355 page précédente 501-750 page précédente
Planche I Séances de travail des réunions d'information. Section II. Étiologie des hyperéosinophilies des pays chauds. Étude comparée des hyperéosinophilies parasitaires et non parasitaires, par Robert Deschiens. Hyperéosinophilies parasitaires
Image : [R. Deschiens] Fig. 1. - Congestion et hémorragie de la surrénale (cobaye) dans l'intoxication vermineuse expérimentale. / Fig. 2. - Dégénérescence homogène des cellules réticulées de la surrénale (cobaye) dans l'intoxication vermineuse expérimentale
Planche II Séances de travail des réunions d'information. Section II. Étiologie des hyperéosinophilies des pays chauds. Étude comparée des hyperéosinophilies parasitaires et non parasitaires, par Robert Deschiens. Hyperéosinophilies parasitaires
Image : [R. Deschiens] Fig. 1. - Coupe V. 1597. Légère dissociation oedémateuse sous-glomérulaire. Fasciculée à cellules spongiocytaires subnormales (cobaye), dans l'hyperéosinophilie non parasitaire expérimentale. / Fig. 2. - Coupe V. 1597. Partie intérieure de la fasciculée, cellules jointives avec quelques grandes vacuoles (cobaye) dans l'hyperéosinophilie non parasitaire expérimentale
Planche V Séances de travail des réunions d'information. Section III. Clinique et thérapeutique des hyperéosinophilies des pays chauds. Les infiltrats pulmonaires chroniques non parasitaires à cellules éosinophiles, par J. Turiaf. I. - L'infiltrat pulmonaire chronique à cellules éosinophiles de l'asthmatique
Image : [J. Turiaf] Fig. 2. - Mme Ro... Pneumopathie chronique à cellules éosinophiles à évolution progressivement envahissante dans les deux champs pulmonaires et spontanément régressive chez une asthmatique
Planche VIII Séances de travail des réunions d'information. Section III. Clinique et thérapeutique des hyperéosinophilies des pays chauds. Les infiltrats pulmonaires chroniques non parasitaires à cellules éosinophiles, par J. Turiaf. I. - L'infiltrat pulmonaire chronique à cellules éosinophiles de l'asthmatique
Image : [J. Turiaf] Fig. 5. - Plage permettant de voir des lésions de type atélectasique et le type des altérations artérielles : dans un tractus interlobulaire épaissi, l'artère est le siège d'une véritable panartérite infiltrée d'éléments polynulcéés éosinophiles
Nombre de réponses : 1355 page précédente 501-750 page précédente