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Lamy, Guillaume .
Dissertation sur l'antimoine, dans laquelle la nature de ce mineral, & la cause de son principal effet sont clairement démontrez. Par Monsieur Lamy, docteur en medecine de la faculté de Paris. Seconde edition.
A Paris, chez Laurent d'Houry, rue S. Jacques, devant la Fontaine S. Severin, au S. Esprit. M. DC. LXXXVII. Avec approbation & permission., 1687.
Cote : BIU Santé Pharmacie 11453.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/histmed/medica/cote?pharma_011453
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[sans numérotation] [Dos]
[sans numérotation] [Plat supérieur]
[sans numérotation] [Page de titre]
3 Instruction au lecteur sur le sujet de ce livre & sur la querelle presente des medecins
[sans numérotation] Aprobation de Monsieur Fagon
[sans numérotation] Aprobation de Monsieur Moreau
[sans numérotation] Aprobation de Monsieur Bonnet
[sans numérotation] Advis au lecteur sur le chapitre douze de la premiere partie
[sans numérotation] Table des chapitres de la premiere partie
[sans numérotation] Table des chapitres de la seconde partie
[sans numérotation] Aprobation de Monsieur Cressé
1 Première partie. De la nature de l'antimoine, & de ses effets. Chapitre I. L'antimoine est un mineral composé d'un soulfre à peu prés semblable au commun, & d'une substance metallique
10 Chapitre II. Des vertus de l'antimoine crû
16 Chapitre III. Des vertus de l'antimoine preparé
22 Chapitre IV. Les vertus de l'antimoine consistent principalement dans la substance metallique
31 Chapitre V. Les metaux n'ont aucune action que quand ils sont unis avec des sels. L'antimoine est diaphoretique par son union avec le sel fixe du nitre
41 Chapitre VI. Pourquoy l'antimoine diaphoretique n'est point vomitif
44 Chapitre VII. Pourquoy l'antimoine diaphoretique estant long-temps gardé peut devenir vomitif
48 Chapitre VIII. Du bésoard mineral, & pourquoy il n'est point caustique ny vomitif
53 Chapitre IX. La substance metallique de l'antimoine devient vomitive par son union avec les acides
58 Chapitre X. Comment le vomissement est excité par l'antimoine, & comment il purge par les selles
64 Chapitre XI. De l'utilité du vomissement, & de l'avantage d'avoir un vomitif presque toûjours sûr
70 Chapitre XII. De la prudence qu'il faut avoir dans l'usage des vomitifs & des autres remedes
76 Seconde partie, de la nature des poisons, & que l'antimoine n'est point de leur nombre. Chapitre I. Ce que c'est que poison
82 Chapitre II. De combien de manieres les poisons peuvent entrer dans le corps
85 Chapitre III. De la maniere d'agir des poisons qui entrent par respiration ou transpiration
91 Chapitre IV. De la maniere d'agir des poisons qui entrent dans le corps par une playe
96 Chapitre V. De la maniere d'agir des poisons qui entrent par la bouche
101 Chapitre VI. L'antimoine ne peut estre mis au nombre des poisons qui tuent par la respiration ou par une playe
106 Chapitre VII. L'antimoine pris par la bouche n'est point un poison qui puisse faire mourir en bouchant les intestins, & par occasion de la pilule perpetuelle
113 Chapitre VIII. L'antimoine ne peut estre mis au nombre des poisons qui corrompent le sang
119 Chapitre IX. L'antimoine ne peut estre mis au nombre des poisons corrosifs
126 Chapitre X. Les metaux peuvent devenir corrosifs par leur union avec les sels acides
134 Chapitre XI. Le mercure est le plus dangereux de tous les metaux. Les sels fixes & volatiles ne deviennent point corrosifs avec les acides comme les metaux
140 Chapitre XII. Le nom de poison ne convenant point à l'antimoine, c'est un veritable purgatif qui a l'effort du vomissement pres, n'est pas plus dangereux que le sené, & est beaucoup moins à craindre que la coloquinte
147 Chapitre XIII. Réponse aux objections tirées des effets de l'antimoine
161 Chapitre XIV. Réponse aux objections tirées des principes qui composent l'antimoine, & de ce que dans la terre il est voisin d'autres poisons
169 Chapitre XV. Réponse aux objections tirées de l'authorité de quelques anciens chymistes
176 Chapitre XVI. Conclusion de l'ouvrage où l'on prouve aux personnes de bon sens qui mesme n'ont point d'estude que l'antimoine n'est pas un poison, mais un bon remede
[sans numérotation] Fautes survenuës à l'impression
[sans numérotation] [Plat inférieur]
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