Histoire des Sciences médicales

La revue Histoire des sciences médicales est l'organe officiel de la Société française d’histoire de la médecine (SFHM) depuis 1967. Pour consulter les archives de la SFHM avant 1967 : Cf. https://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/archives-de-la-sfhm/

Cette revue, trimestrielle jusqu’en 2018, est devenue annuelle à partir de 2019 (avec le Tome LIII, qui correspond en fait au premier tome des parutions annuelles). Les numéros suivants sont indiqué par Tome II pour 2020, Tome III pour 2021, etc.

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1997, Vol. 31 (2)	(PDF complet : 69 Mo)
[Sommaire] (PDF 640 Ko) Pour citer cet article [Sommaire] In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 99-100 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0099.pdf	99-100
[Vie de la Société] . Compte rendu de la séance du 19 octobre 1996. / Compte rendu de la séance du 16 novembre 1996. / Compte rendu de la séance du 14 décembre 1996. (PDF 5486 Ko) Pour citer cet article [Vie de la Société] . Compte rendu de la séance du 19 octobre 1996. / Compte rendu de la séance du 16 novembre 1996. / Compte rendu de la séance du 14 décembre 1996. In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 101-110 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0101.pdf	101-110
Séance provinciale de Lille organisée par la Société de l'histoire de la médecine de la Faculté libre, la Société de l'histoire de la médecine de la Faculté d'Etat, la Société française d'histoire de la médecine. Faculté libre de médecine de Lille. Amphithéâtre Féron-Vrau. 22 juin 1996.
Mocq, Jean-Marie. - La Faculté de médecine de Douai et les Ecoles de chirurgie des origines à la Révolution. [The Faculté de médecine de Douai and the schools of surgery from their origins to the Revolution.] (PDF 6182 Ko) The University of Douai and its College of medicine were founded on January, 6th 1560. A Bull written by Pie IV made official the request of Philip II, King of Spain to own a roman catholic University in a French speaking country in order to face the universities more or less devoted to the Reformation. Two, then three royal chairs taught not only medicine, but also the art of surgery and anatomy. The influence of the College of medicine in Douai was the same as the other 22 Colleges that existed in France in the beginning of the 18th century. Pour citer cet article Mocq, Jean-Marie. - La Faculté de médecine de Douai et les Ecoles de chirurgie des origines à la Révolution. [The Faculté de médecine de Douai and the schools of surgery from their origins to the Revolution.] In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 111-122 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0113.pdf	111-122
Gérard, Alain. - Rôle des hôpitaux militaires de Lille dans l'enseignement médical. [Lille military hospitals leading role for medical teaching.] (PDF 3129 Ko) From 1693 and further, military surgeons were teaching anatomy and surgery to Lille civilian students. During French Revolution, Military Hospital was the single medical, surgical and pharmaceutical school inside Lille. Future civilian practitionners made use of it until 1803. Military Hospital teachers provide four of six professors in the Pregraduate Medical and Pharmaceutical School which was opening here in 1852. Pour citer cet article Gérard, Alain. - Rôle des hôpitaux militaires de Lille dans l'enseignement médical. [Lille military hospitals leading role for medical teaching.] In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 123-128 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0123.pdf	123-128
Liefooghe, Jacques. - Histoire de la Faculté libre de médecine de Lille, des origines à nos jours. [History of the Faculté libre de médecine de Lille, from its origins to the present day.] (PDF 7348 Ko) The catholic University of Lille and its five Faculties, including the “Faculté de médecine et de pharmacie”, were grounded by catholic people of the northern France as opposed to scientism, materialism and aggressive atheism of that epoch. Philibert Vrau and his brother in law Camille Feron-Vrau, M.D. names are linked to the founding. From 1876 to 1910, that medical school passed through very difficult years due to a strong anticlerical opposition. World War I diminished the tense atmosphere and the medical school serenely expanded up to 1957. Then, hospital and university administrative reforms gave new disturbances on account of french laws unsuitability for “free” medical structures. The 1971 law opened a new era establishing an official agreement with the State University. Thus the “Faculté libre de médecine” became able to improve its peculiar activity. Pour citer cet article Liefooghe, Jacques. - Histoire de la Faculté libre de médecine de Lille, des origines à nos jours. [History of the Faculté libre de médecine de Lille, from its origins to the present day.] In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 129-140 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0129.pdf	129-140
Petit, Henri. - De la Cité hospitalière au Centre hospitalier et universitaire de Lille (1930-1996) (résumé). [About the Cité Hospitalière at the Hospital and Unviersity Center of Lille.] (PDF 995 Ko) Jusqu'en 1954, les services médicaux universitaires lillois se répartissaient pour l'essentiel entre l'Hôpital St Sauveur fondé en 1216 mais dont les bâtiments vétustes dataient du XVIe au XIXe siècle et l'aile gauche de l'Hôpital de la Charité ouvert en 1876 tandis que la Faculté mixte de médecine et pharmacie occupait des locaux exigus dont la construction avait débuté en 1880. Après les souffrances de l'occupation et les destructions de la guerre 1914-1918, la ville de Lille est en plein renouveau dans les années 20. Roger Salengro est élu maire de Lille à 35 ans, en 1925. Le Professeur Oscar Lambert, titulaire de la Clinique Chirurgicale de l'Hôpital St Sauveur devient vice-président de la commission administrative des hospices en 1926 à l'âge de 54 ans. Cet homme d'action à forte personnalité élabore un projet de “Cité Hospitalière” regroupant sur un site unique tous les hôpitaux et hospices de Lille dispersés dans l'agglomération autour d'une nouvelle Faculté de médecine. Il rallie à sa cause le député maire, le recteur Albert Chatelet, le Doyen Charles Dubois: la décision est prise lors de la commission administrative du 14 décembre 1929. Le terrain est choisi, 60 hectares au sud-ouest de Lille entre la porte de Béthune et la porte d'Arras. Un avant-projet est demandé à l'architecte Paul Nelson, né à Chicago en 1895 qui s'inspire du tout nouveau Columbia Medical Center de New York pour proposer un très grand hôpital “arbre” où les services hospitaliers, les consultations externes et la Faculté de médecine seront en fusion parfaite. Fin 1933, est ouvert le concours d'architecture où sont admis à concourir trente architectes ou association d'architectes sur cinquante-trois candidatures parmi ceux-ci, Auguste Perret, Charles Lemaresquier, Jean Walter et les architectes lillois, Louis Cordonnier, Emile Dubuisson... En juin 1934, sous la présidence de l'architecte Tony Garnier, le jury choisit le projet Walter, associé à Cassan et Madeline, très ressemblant à l'Hôpital Beaujon que ce cabinet vient de construire. Le projet est modifié pour s'inspirer de celui de Nelson sous forme d'un anneau géant avec 2 étoiles à 5 branches. La construction débute en février 1936 et est interrompue par la guerre fin 1939 alors que le gros oeuvre est terminé. Une commission d'achèvement de la Cité Hospitalière est créée en 1949 composée du Professeur Claude Huriez, Vice-président de la commission administrative, du Doyen Pierre Combemale et de Henri Salengro, Directeur des travaux de la ville de Lille, jeune frère du maire Roger Salengro dont le suicide après une campagne de calomnie en 1936 a marqué les Français. La rentrée universitaire 1951-1952 est effectuée dans la nouvelle Faculté, le bloc hospitalier Est ouvre en 1954 et le bloc Ouest en 1958. La troisième étape de modernisation et d'humanisation est actuellement en cours, les architectes Reicher et Robert ayant été en 1992 lauréats du concours. Ce Centre Hospitalier et Universitaire, conçu trente ans avant la loi Debré de 1958 sur les CHU, a permis en 1996 le regroupement des hôpitaux lillois dépendant du CHRU, soit un ensemble de 3 000 lits répartis en 7 hôpitaux: Hôpital Albert Calmette (1936), Hôpital Claude Huriez, nom donné au bâtiment construit par Jean Walter, Hôpital Swyghedauw (1968), l'Hôpital Cardiologique (1978), l'Hôpital Roger Salengro (1983), l'Hôpital mère et enfant “Jeanne de Flandre” (1996) sans oublier le Centre anti-cancéreux Oscar Lambret (1955). La Faculté de médecine à laquelle vient d'être donné le nom du Doyen Henri Warembourg est divisée en deux pôles, le pôle Recherche dans la Faculté ouverte en 1951 qui aura vu se succéder quarante-cinq générations d'étudiants en médecine et le pôle Enseignement dans une nouvelle Faculté de médecine ainsi que l'hôpital Jeanne de Flandre qui ont été inaugurés par le président de la République le 7 juin 1997. Soixante-dix ans après, le rêve d'Oscar Lambert est devenu réalité. Pour citer cet article Petit, Henri. - De la Cité hospitalière au Centre hospitalier et universitaire de Lille (1930-1996) (résumé). [About the Cité Hospitalière at the Hospital and Unviersity Center of Lille.] In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 141-142 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0141.pdf	141-142 Résumé
Muller, Pierre H.. - Histoire de la médecine légale à Lille. [History of legal medicine in Lille.] (PDF 4371 Ko) Pour citer cet article Muller, Pierre H.. - Histoire de la médecine légale à Lille. [History of legal medicine in Lille.] In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 143-150 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0143.pdf	143-150
Boulinier, Georges. - En passant par le Nord: la dynastie des Laveran (des chirurgiens dentistes au prix Nobel de médecine). [Through the North of France: Laveran's dynasty (from the dentist surgeons to the 1907 Nobel prize of Medicine).] (PDF 5335 Ko) The historians of dentistry met two men named Laveran - both with unknown surnames - among the 18th century Parisian “experts” for teeth. Having discovered some notarial documents concerning them, the author was anxious to know more about them and was driven to investigate their possible relationship with Alphonse Laveran, who was born however more than one century later. A special impulse to this research resulted from the fact - learnt from the Lille Archives - that Louis Laveran, the grand-father of Alphonse, was born in the same tiny place as one of the two Parisians mentioned above, and was himself a dentist surgeon. At last, the author could identify the ties existing between these Laverans, and collect a lot of informations about their family, from which a selection is given here. In short, the great-great-grand-father of Alphonse was established as a weaver in a small town of the South-West of France (Montesquieu-Volvestre, Haute-Garonne). Among his sons were the two Laverans mentioned above, who became dentist surgeons in Paris. One of them was Pierre Laveran. He was the specialist who was called to straighten the teeth of the young archduchess Marie-Antoinette, before her wedding with the future Louis XVI, in 1770. Then he was appointed as the dentist surgeon of Their Imperial and Royal Majesties in Vienna. Married with Anna Theresia Peshka, he died there in 1796, leaving four children born between 1781 and 1787. His brother was Jean-Baptiste Laveran (1732-1816). He was one the founders of the Société de médecine de Paris in 1796. A third son, Joseph, remained at Montesquieu-Volvestre as a weaver. But one of his sons, Louis Laveran (1763-1838), became a dentist surgeon like his uncles. This Louis married Theresia David in Bruges (modern Belgium), and will die in Dunkerque. He had in Lille his first son, Charles Joseph (1796-1843), who followed a medical career, and then several other children born in Dunkerque. Among them was Louis Théodore Laveran (1812-1879), who will be a brilliant military doctor, the director of the Paris Val-de-Grâce medical school, and the father of the future Nobel prize. Pour citer cet article Boulinier, Georges. - En passant par le Nord: la dynastie des Laveran (des chirurgiens dentistes au prix Nobel de médecine). [Through the North of France: Laveran's dynasty (from the dentist surgeons to the 1907 Nobel prize of Medicine).] In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 151-160 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0151.pdf	151-160
Histoire de la Salpêtrière. Réunion commune de la Société française de neurologie, de la Société française d'histoire de la médecine et de la Société française d'histoire de la neurologie. Hôpital de la Salpêtrière. Amphithéâtre Charcot. 3 octobre 1996.
Bonduelle, Michel. - La Salpêtrière de Mazarin à Charcot. [The Salpêtrière from Mazarin to Charcot.] (PDF 5502 Ko) The edict of 1656 creating the Hôpital Général for sheltering the incapacitated and beggars assigned women to the Salpêtrière which kept its name of Petit-Arsenal (1636). Mazarin contributed generously to the construction. The completion of the facade (1756) imparted a final shape to the overall plan that had been uncertain for a long time. The Infirmerie générale (1780-1787) made a start toward medicalization, while the loges housed the insane under better conditions. For the Salpêtrière (named in 1837 Hospice de la Vieillesse-Femmes [Hospice for old Women]), it was the era of the alienists, renown for Pinel, his students and successors. In 1862 Charcot undertook the cultivation of its “inexhaustable resources”. A laboratory in the avant-garde of microscopy became the basis for the anatomo-clinical method. In ten years Charcot laid the foundations of neurology: multiple sclerosis, locomotor ataxia, physiological anatomy of the cord, amyotrophic lateral sclerosis, etc. After his work on motor localization (1875), hysteria became his prime subject. Between 1877 and 1881, he built a service that became a model: laboratories, related clinical departments, a polyclinic (an outpatient department, a short-term hospital). The creation in 1882 of the clinical chair for diseases of the nervous system crowned the enterprise. The formal lectures on Fridays and the Tuesday clinical conferences attracted an audience from around the world. Charcot and his school made the Salpêtrière synonomous with neurology. Pour citer cet article Bonduelle, Michel. - La Salpêtrière de Mazarin à Charcot. [The Salpêtrière from Mazarin to Charcot.] In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 161-170 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0163.pdf	161-170
Boucher, Maurice. - Evolution des idées sur la connaissance de l'aphasie (résumé). [Evolution of thought on aphasia.] (PDF 430 Ko) Après avoir rappelé l'historique sur la connaissance de l'aphasie, avant la Révolution française, l'auteur souligne le rôle (au début du XIXe siècle) de Gall et l'importance de la phrénologie, puis il souligne les idées de Jean-Baptiste Bouillaud, très localisateur, en face duquel va se dresser Flourens, pour qui “l'intelligence est une et le cerveau est un”. Dax Marc va montrer que ce sont les lésions de l'hémisphère gauche qui entraînent les troubles du langage, découverte faite aussi par Broca qui, en 1861, montre chez le malade Le Borgne, aphasique, l'existence d'une lésion de F3. Cette lésion sera retrouvée par Broca chez d'autres malades ayant la même séméiologie clinique, c'est-à-dire une aphénie, appelée aphasie par Trousseau. Tout le monde ne sera cependant pas immédiatement convaincu par ces opinions, même Charcot qui, secondairement, écrira qu'il ne connaît pas d'exceptions à la loi de Broca. Pendant ce temps, en Allemagne, Wernicke décrira l'aphasie sensorielle. La fin du XIXe et le début du XXe siècle seront marqués par l'opposition Déjerine-Pierre Marie, ce dernier niant le rôle de F3 dans l'aphasie motrice, et soulignant la faiblesse de l'intelligence chez les aphasiques. Ce sera ensuite le rôle très important d'Alajouanine et de son école, dans l'étude du langage et les apports des callosotomies dans le rôle linguistique de l'hémisphère mineur. Enfin, le cognitivisme apporte un éclairage nouveau dans l'étude du langage. Pour citer cet article Boucher, Maurice. - Evolution des idées sur la connaissance de l'aphasie (résumé). [Evolution of thought on aphasia.] In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 171-172 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0171.pdf	171-172 Résumé
Philippon, Jacques. - Histoire de la neurochirurgie à la Pitié Salpêtrière. [The development of neurological surgery at the Salpêtrière Hospital.] (PDF 4352 Ko) Some operations have been performed at 19th Century end by general surgeons; the most devoted to surgery of nervous system was probably A. Chipault. Neurosurgery truly began when Th. de Martel and C. Vincent, with Babinski's encouragements put together their experiences. One was a brilliant general surgeon and the other an experienced neurologist. They worked together for more than ten years; their working relationship became more and more competitive, and led to a complet break in 1929. At the time de Martel left the hospital and carry on with an intensive surgery activity into private practice. Vincent continued an exhausting life, completely devoted to neurosurgery, creating an internationally known neurosurgical school. An independant neurosurgical activity was developped at the Salpêtrière by D. Petit-Dutaillis, under the influence of G. Guillain. Later, a greater development was achieved with the arrival of J. M. Guillaume, a former neurologist trained by de Martel. At La Pitié, after C. Vincent death, the chair of neurosurgery was appointed to D. Petit Dutaillis, and in 1960 to M. David, a former Vincent student. Pour citer cet article Philippon, Jacques. - Histoire de la neurochirurgie à la Pitié Salpêtrière. [The development of neurological surgery at the Salpêtrière Hospital.] In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 173-180 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0173.pdf	173-180
Trillet, Marc. - Les écrivains d'Alajouanine. [Alajouanine's Writers.] (PDF 5034 Ko) Great scholar and enthusiastic bibliophile, Pr Alajouanine privileged relationships with three famous writers during his neurological career. Valery Larbaud and Léon-Paul Fargue were his patients and then became his friends Dostoievski's biography and works provided him with a penetrating look into the world of epilepsy. Pour citer cet article Trillet, Marc. - Les écrivains d'Alajouanine. [Alajouanine's Writers.] In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 181-188 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0181.pdf	181-188
Leroux Hugon, Véronique - Poirier, Jacques - Ricou, Philippe. - L'histoire de l'Ecole d'infirmières de la Salpêtrière. [The first nurses school at “La Salpêtrière” Hospital in Paris.] (PDF 7884 Ko) In 1870, D.M. Bourneville organized municipal lectures for parisian hospital staff in order to improve their inadequate training. It was carried on with that teaching till 1914, but owing to imperfected knowledge it was compelled to enlarge the project in opening the first nurses school inside “La Salpêtrière” (1907). Following the hospital staff reform (1903), a preliminary Commission was settled. That commitee was inspired by british or french experiments (private, parisian and provincial initiatives) for its accomplishement. The opening speech, in 1908, pointed out democratic recruiting and professional feature of the scool. A new career was offered to women where nurses would became physician assistants, devoted to him, but of necessity for their own skills. Pour citer cet article Leroux Hugon, Véronique - Poirier, Jacques - Ricou, Philippe. - L'histoire de l'Ecole d'infirmières de la Salpêtrière. [The first nurses school at “La Salpêtrière” Hospital in Paris.] In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 189-200 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0189.pdf	189-200
Cambier, Jean. - Histoire de la Salpêtrière: Alajouanine puis Castaigne, l'ouverture. [History of Salpêtrière: Alajouanine then Castaigne.] (PDF 3027 Ko) Pour citer cet article Cambier, Jean. - Histoire de la Salpêtrière: Alajouanine puis Castaigne, l'ouverture. [History of Salpêtrière: Alajouanine then Castaigne.] In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 201-204 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0201.pdf	201-204
Plessis, J.-L.. - Compte rendu de lecture. (PDF 1198 Ko) Pour citer cet article Plessis, J.-L.. - Compte rendu de lecture. In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 205-206 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0205.pdf	205-206
Ségal, Alain - Pallardy, G. - Lefebvre, Pierre - Saban, R. - Valentin, Michel - Puisségur, J.-C.. - Analyses d'ouvrages. (PDF 8530 Ko) Pour citer cet article Ségal, Alain - Pallardy, G. - Lefebvre, Pierre - Saban, R. - Valentin, Michel - Puisségur, J.-C.. - Analyses d'ouvrages. In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 207-218 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0207.pdf	207-218
Ouvrages et périodiques reçus. (PDF 3922 Ko) Pour citer cet article Ouvrages et périodiques reçus. In : Histoire des Sciences médicales, 1997, 31 (2), pp. 219-224 URL : http://www.biusante.parisdescartes.fr/sfhm/hsm/HSMx1997x031x002/HSMx1997x031x002x0219.pdf	219-224

Histoire des Sciences médicales

1997, Vol. 31 (2)