Note [1]
Hyginus Thalassius reprenait en le déformant le début de la première Responsio de Jean ii Riolan, qui le lui a reproché : v. notes [2]‑[3] de ses Responsiones ad Pecquetianos, 3e partie.
Ma traduction a laborieusement interprété le latin de tout ce chapitre, dont la syntaxe et les élisions sont déroutantes. La gaucherie de Pierre De Mercenne, même dissimulé derrière le pseudonyme d’Hyginus Thalassius, tient probablement à son audace d’attaquer aussi délibérément le très vénérable premier maître de la Compagnie médicale parisienne, dont Petrus de Mersenne n’était (sur le tableau du 20 novembre 1653, Commentaires F.M.P., tome xiv, page 68) que le 82e des 110 docteurs régents.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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