Note [19]
Lucrèce, La Nature des choses, livre i, vers 639‑642 parlant d’Héraclite (v. note Patin 8/1359) :
« Chez les Grecs, il est célèbre pour son obscur langage, mais plutôt parmi les sots que parmi les sages qui cherchent la vérité ; car les gens stupides aiment et admirent toujours les idées qui se cachent sous des termes équivoques. »
V. note [45], première Responsio de Jean ii Riolan, 4e partie, pour l’obscurité de l’encre de sèche qui la protège contre les pêcheurs, empruntée à Ulisse Aldrovandi.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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