Note [19]
Aristote a parlé de la couleur du foie dans le livre iii des Parties des animaux, chapitre xii, mais n’en a pas déduit ce que disait Jean ii Riolan : il y a au contraire affirmé (comme Jean Pecquet dans le livre ii, v. note [10], Experimenta nova anatomica, chapitre i) que le cœur, et non le foie, est la source des veines et du sang. Il ne faut pas craindre le ridicule pour s’obstiner à faire dire à Aristote le contraire de ce qu’il a écrit.
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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