Note [35]
Jean ii Riolan revenait pour la troisième fois sur le même point (v. note [4] de la précédente section de sa première Responsio) en citant presque mot pour mot le pénultième paragraphe, page 85, chapitre xi de la Dissertatio anatomica parue en 1651. Jean Pecquet a supprimé cette phrase dans l’édition de 1654 (antépénultième paragraphe, pages 86‑87, du même chapitre xi).
Si la remarque de Riolan sur la persistance de lactifères encore visibles après la mort des bêtes et des pendus était exacte, on se demande alors bien pourquoi il n’a parlé de ces veines que dans son Anthropographie de 1649 (v. note [5], citation 2 de la susdite précédente section).
"Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron." est mis à disposition selon les termes de la
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