| Note [9] | |
Après avoir été blâmé par Jean ii Riolan en 1652 (v. note [10], première Responsio, 4e partie), Jean Pecquet a corrigé ici, en 1654, sa grossière bévue sur le mouvement péristaltique, quand il avait écrit en 1651, page 77 : Ita Persitalticus, si quis admitti debeat, neque enim uspiam à nobis in Animantibus vivis deprehensus est, Intestinorum motus… V. note [6], Dissertatio anatomica, chapitre x, pour la faiblesse de la démonstration de Pecquet sur la vasoconstriction. |
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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
Texte : Jean Pecquet Dissertatio anatomica de circulatione sanguinis et motu chyli (1651) Chapitre xi, note 9. Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=0031&cln=9 (Consulté le 07/12/2025) |