Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
5e de 6 parties, note 41.
Note [41]

Croyant faire enrager Jean Pecquet, mais non sans une certaine confusion, Jean ii Riolan faisait allusion à trois ouvrages qui avaient loué Jacques Mentel pour avoir découvert le réservoir du chyle {a} et pour être descendant de Jean Mentelin, supposé inventeur de l’imprimerie à Strasbourg :

  1. Mentel lui-même, dans sa de vera Typographiæ Origine Parænesis (Paris, 1650), où il n’est pas question des voies du chyle ; {b}

  2. les Experimenta nova anatomica de Pecquet dans leur chapitre vi (conclusion), édition de 1651 (v. sa note [6]), et dans la lettre de Mentel, addition de 1654 (v. sa note [30]) ;

  3. la première partie du Clypeus de Guillaume de Hénaut (Rouen en 1655, peu avant les Responsiones duæ), que Riolan croyait être Mentel, alors qu’il s’agissait à mon avis de Pecquet, cherchant essentiellement à contrer les solides critiques de Charles Le Noble.


    1. Hormis Riolan, dans ce paragraphe, personne n’a jamais prétendu que Mentel avait mis au jour les lactifères thoraciques.

    2. V. note [10], Clypeus, première partie.

V. note [39], Responsio ad Pecquetianos, 2e partie, pour le peintre Apelle qui, au dire de Pline l’Ancien, se cachait derrière son tableau pour savoir ce qu’en pensaient ceux qui le regardaient.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Jean ii Riolan
Responsiones duæ (1655),
Responsio ad Pecquetianos
5e de 6 parties, note 41.

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(Consulté le 11/12/2025)

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