Texte : Observationes de Venis lacteis (1655).
4. Appendice de la lettre
de Jean ii Riolan à
Charles Le Noble, note 19.
Note [19]

Aristote a parlé de la couleur du foie dans le livre iii des Parties des animaux, chapitre xii, mais n’en a pas déduit ce que disait Jean ii Riolan : il y a au contraire affirmé (comme Jean Pecquet dans le livre ii, v. note [10], Experimenta nova anatomica, chapitre i) que le cœur, et non le foie, est la source des veines et du sang. Il ne faut pas craindre le ridicule pour s’obstiner à faire dire à Aristote le contraire de ce qu’il a écrit.

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Jean Pecquet et la Tempête du chyle (1651-1655), édité par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – Texte : Observationes de Venis lacteis (1655).
4. Appendice de la lettre
de Jean ii Riolan à
Charles Le Noble, note 19.

Adresse permanente : https://numerabilis.u-paris.fr/editions-critiques/pecquet/?do=pg&let=1063&cln=19

(Consulté le 10/12/2025)

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