Céroplastie et céroplasticiens à Saint-Louis

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Cancer
 
Coll. Musée de l’hôpital Saint-Louis
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Cancers
Tuberculose
Le lupus vulgaire, forme de tuberculose cutanée, était une affection fréquente à la fin du XIXème. Le visage était la localisation la plus fréquente de la maladie identifiée notamment par la présence caractéristique de nodules dont l'aspect et la consistance rappelaient la gelée de pomme, suivis de lésions atrophiques évoluant vers des mutilations. Avant la découverte du bacille de la tuberculose, le lupus vulgaire était considéré comme la traduction cutanée d'une diathèse dite scrofuleuse prédisposant les malades qui en étaient porteurs à voir survenir un lupus vulgaire. Ce fut la découverte par Robert Koch, en 1882, du bacille de la tuberculose qui amena la disparition progressive de la notion d'une diathèse à l'origine de la tuberculose. Avant l'apparition des antibiotiques antituberculeux, le lupus vulgaire était couramment traité par application de produits caustiques, par curetage ou encore par la méthode des scarifications linéaires décrite par Richard Volkmann et perfectionnée à Saint-Louis par Vidal. Parmi les traitements généraux, l'huile de foie de morue puis la tuberculine furent largement utilisées. Toutefois, ce fut Finsen qui utilisant le rayonnement ultra-violet put obtenir en 1897 des résultats considérés comme spectaculaires dans le traitement du lupus vulgaire.
Coll. Musée de l’hôpital Saint-Louis
Tuberculose
Le lupus vulgaire, forme de tuberculose cutanée, était une affection fréquente à la fin du XIXème. Le visage était la localisation la plus fréquente de la maladie identifiée notamment par la présence caractéristique de nodules dont l'aspect et la consistance rappelaient la gelée de pomme, suivis de lésions atrophiques évoluant vers des mutilations. Avant la découverte du bacille de la tuberculose, le lupus vulgaire était considéré comme la traduction cutanée d'une diathèse dite scrofuleuse prédisposant les malades qui en étaient porteurs à voir survenir un lupus vulgaire. Ce fut la découverte par Robert Koch, en 1882, du bacille de la tuberculose qui amena la disparition progressive de la notion d'une diathèse à l'origine de la tuberculose. Avant l'apparition des antibiotiques antituberculeux, le lupus vulgaire était couramment traité par application de produits caustiques, par curetage ou encore par la méthode des scarifications linéaires décrite par Richard Volkmann et perfectionnée à Saint-Louis par Vidal. Parmi les traitements généraux, l'huile de foie de morue puis la tuberculine furent largement utilisées. Toutefois, ce fut Finsen qui utilisant le rayonnement ultra-violet put obtenir en 1897 des résultats considérés comme spectaculaires dans le traitement du lupus vulgaire.
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Tuberculose
Le lupus vulgaire, forme de tuberculose cutanée, était une affection fréquente à la fin du XIXème. Le visage était la localisation la plus fréquente de la maladie identifiée notamment par la présence caractéristique de nodules dont l'aspect et la consistance rappelaient la gelée de pomme, suivis de lésions atrophiques évoluant vers des mutilations. Avant la découverte du bacille de la tuberculose, le lupus vulgaire était considéré comme la traduction cutanée d'une diathèse dite scrofuleuse prédisposant les malades qui en étaient porteurs à voir survenir un lupus vulgaire. Ce fut la découverte par Robert Koch, en 1882, du bacille de la tuberculose qui amena la disparition progressive de la notion d'une diathèse à l'origine de la tuberculose. Avant l'apparition des antibiotiques antituberculeux, le lupus vulgaire était couramment traité par application de produits caustiques, par curetage ou encore par la méthode des scarifications linéaires décrite par Richard Volkmann et perfectionnée à Saint-Louis par Vidal. Parmi les traitements généraux, l'huile de foie de morue puis la tuberculine furent largement utilisées. Toutefois, ce fut Finsen qui utilisant le rayonnement ultra-violet put obtenir en 1897 des résultats considérés comme spectaculaires dans le traitement du lupus vulgaire.
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